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Photograph: Alison Slattery
Photograph: Alison Slattery

50 meilleurs restaurants de Montréal

Montréal est une destination gastronomique connue dans le monde entier. Pour un vrai goût de la ville, voici les meilleurs restaurants à Montréal aujourd’hui.

Tommy Dion
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MISE À JOUR, novembre 2024 : Bienvenue dans la sélection soigneusement élaborée par Time Out des meilleurs restaurants de Montréal, offrant actuellement les plats les plus délicieux de la ville, servis avec une expertise inégalée. Cette liste vise à vous tenir informé de l'effervescence culinaire de la ville — ou les nouveaux restaurants de Montréal à essayer dès que possible — et à vous donner un aperçu de ce qui se passe actuellement.

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Time Out Market Montréal

Situé dans le centre commercial Centre Eaton de Montréal, le Time Out Market Montréal, qui s'étend sur 40 000 pieds carrés, propose des offres alimentaires animées par certains des meilleurs chefs et restaurants de la ville, aux côtés de 6 bars, et de zones de spectacle pour les talents locaux. 

Les meilleurs restaurants de Montréal

1. Mon Lapin

À quoi s’attendre: Le vieil adage selon lequel les bonnes choses arrivent dans de petits paquets n'est que trop vrai lorsqu'on considère ce minuscule mais formidable bar à vin créé par une ancienne équipe de Joe Beef. Les prodiges Marc-Olivier Frappier et Jessica Noël font tourner l'or en cuisine, tandis que la sommelière Vanya Filipovic fait couler le vin à flot, et il est rare qu'un siège reste vide ici.

Pourquoi y aller: Pour expérimenter une nouvelle facette de la team Joe Beef, leur cuisine du marché saisonnière en petites assiettes.

2. Okeya Kyujiro

À quoi s'attendre : Les expériences culinaires performatives à Montréal ne sont pas vraiment courantes, et c'est peut-être parce que ce n'est pas le style préféré des montréalais. Mais quand c'est bien fait, c'est merveilleux. Quoi de mieux que la précision que l'on trouve dans un service omakase, alors ? Les repas élaborés du chef japonais Takuya "Tom" Matsuda, composés de plusieurs plats, comprennent 20 plats et une cérémonie du thé qui est une danse superbe à laquelle vous aurez du mal à trouver des défauts.

Pourquoi y aller : L'expérience théâtrale de l'omakase, juste une fois.

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3. Le Mousso

À quoi s’attendre : Se laisser emporter par une cuisine qui ose et qui n’a pas peur de briser les conventions et de provoquer, tout en amenant l’art de la gastronomie à un autre niveau. Au gré de ses talents à la fois créatifs et artistiques, le chef Mousseau-Rivard n’a pas perdu de temps à être acclamé par la critique, notamment sacré « Grand de demain » par le prestigieux guide Gault & Millau, puis de remporter la palme du Restaurant de l’année au Québec par le Gala Les Lauriers. Ingrédients d’exception, techniques modernes où plusieurs techniques de fermentation sont appliquées, présentations singulières, service singulier.

Pourquoi y aller: Vous n’aurez d’autre choix que de vous laisser guider par le chef, avec l’unique menu dégustation.

4. Cabaret l’Enfer

À quoi s’attendre : Celui qui a tenu les rênes pendant plusieurs années au restaurant Le Mousso a vu la pandémie comme une chance à saisir pour ouvrir sa propre maison. Massimo Piedimonte, sacré « One To Watch Young Chef » par Canada’s Best 100 Restaurants en 2019, a une forte personnalité, qui se traduit dignement dans sa cuisine. Ici, une cuisson n’est pas qu’une simple cuisson. Un jus n’est pas qu’un jus élémentaire. Vous aurez compris, rien n’est pris à la légère. Les protéines subissent bien souvent 2, 3, parfois 4 techniques de cuisson avant d’atterrir dans l’assiette. Les jus, sauces, purées et réductions brillent de par leur complexité, renferment à eux seuls maintes étapes et fermentations. On se laisse prendre par la valse avec un accord vins instigateurs de belles surprises.

Pourquoi y aller : des créations plus percutantes d’une assiette à l’autre — parfois même déboussollantes, mais toujours agréables. Un menu dégustation révélateur, qui ne laissera personne indifférent.

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5. Toqué!

À quoi s’attendre : Le restaurant Toqué! est certainement l’une des raisons pourquoi Montréal est une destination gastronomique incontournable en Amérique du Nord. Une soirée à la grande table du chef de renom Normand Laprise ne laisse personne indifférent : le Graal du raffinement, une technicité hors pair et un service infaillible. 

Pourquoi y aller : Une cuisine ultra locale raffinée, aux techniques françaises parfaitement exécutées. On prend le menu dégustation !

6. Park

À quoi s’attendre: Parmi le panthéon de chefs montréalais qui ont accédé à la célébrité culinaire, on y retrouve Antonio Park, et son restaurant éponyme. Formé par les grands maîtres du Japon, chef Park fait appel également à ses racines coréennes et argentines pour créer l’expérience du Park. On retrouve un amalgame des 3 influences sur le menu. Les sushis ici sont les premiers de classe, auprès des classiques coréens et des grillades de choix. Chef Park livre tout ce que le restaurant offre avec excellence, qu’on ait envie de terre ou de mer.

Pourquoi y aller: Pour l’un des rares endroit à offrir un menu-dégustation omakase, et sinon, pour le meilleur sushi en ville.

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7. Alma

À quoi s’attendre : Le restaurant Alma propose un concept qui a de quoi faire rêver tous les épicuriens et épicuriennes du Québec. Un menu carte blanche 7 à 9 services permettant au chef Juan Lopez Luna d’exprimer sans filtre ses aspirations et son histoire d’amour avec le Mexique, la Catalogne et Montréal — le tout avec les meilleurs ingrédients sur le marché —, aux côtés de sa douce moitié Lindsay qui survole élégamment la salle comme une ballerine étanchant la soif des convives de précieux vins nature catalans. Un anchois qualité premium déposé sur une croquette d’effiloché de bœuf pave savamment la voie à un pimpant aguachile de pétoncle et de rabiole. Une déclinaison de tortillas fraîches (ici en taco, là en tetela), une pieuvre grillée, une douceur au dulce de leche… Les idées sont fortes et se traduisent magistralement dans les assiettes et les verres.

Pourquoi y aller : Une prise en charge sans souci, mais pas sans régal ! Aussi, l’omakase (menu dégustation) de tacos tous les premiers dimanches du mois.

8. Moccione

À quoi s’attendre : Des plats qui en disent long sur le passé du chef Luca Cianciulli dans la cuisine du restaurant Toqué !, mais également son amour pour les produits et les traditions italiennes. Un savoir-faire et une rigueur qui se traduisent autant à travers des sauces incroyablement riches et complexes surplombants des pâtes toujours cuites à perfection, que la simplicité d’un juste carpaccio de bœuf. On boit bio, on boit raisonné, mais on boit surtout du bon nectar italien ! 

Pourquoi y aller : Les meilleurs maccheroni bolognaise de Montréal, qui suivront un pain-beurre-anchois à leur manière, peut-être quelques arancinis, des légumes de saison et le carpaccio de bœuf.

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9. Mastard

À quoi s’attendre : Une cuisine gourmande où les légumes de saison, viandes et poissons issus d’agriculture locale sont à l’honneur et apprêtée comme nulle part ailleurs. Une moitié de tomate ancestrale ensevelie d’herbes, qui baigne dans un gras de bœuf fumé servi bien chaud. Un poireau braisé en croûte d’épices avec une crème moutarde à l’ancienne et jus de viande. Un « steak » de céleri-rave dans un bouillon de jambon fumé et beurre noisette, surmonté d’œufs de poisson. Avec Mastard, le chef propriétaire Simon Mathys peut enfin exprimer la totalité de son talent — et son imagination — sans barrière. C’est beau à voir, mais encore plus incroyable à vivre.

Pourquoi y aller : Le menu dégustation 6 services pour réellement goûter la médecine du chef, avec un essentiel service de pain supplémentaire pour profiter de sa générosité en terminant chaque assiette en bonne et due forme.

10. Île Flottante

À quoi s’attendre: Ce restaurant, anciennement les Deux Singes de Montarvie, a d’abord grimpé la grille de TripAdvisor pour se faire connaître. Les propriétaires Nada Abou Younes et chef Sean Murray Smith ont changé le nom de l’établissement pour un peu de renouveau. Pourquoi? Le nouveau concept est un menu de dégustation, se concentrant sur les légumes, qui ferait sourire même Alain Passard pour la délectabilité de ses innovations.

Pourquoi y aller: Pour le menu-dégustation à 3 service (45,00$) pour une belle soirée mais pour les 7 services (85,00$) pour vraiment en profiter.

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11. Maison Boulud

À quoi s’attendre: Situé dans le chic Ritz-Carleton, on ne peut blâmer la Maison Boulud d’être un tantinet, eh bien, ritzy. On ne s’attend à rien de moins du fameux chef, restaurateur et trésor national français Daniel Boulud. Chaque parcelle de ce restaurant est impeccable, du décor intérieur mariant le verre, l’acier et le bois à la rigueur du travail des cuisiniers. Considéré comme le restaurant-trophée des riches genses, c’est indéniablement une destination des plus raffinée où se gâter avec le menu-dégustation ou les choix à la carte.

Pourquoi y aller: Pour leur expertise indéniable dans leur domaine, il ne nous reste plus qu’à lever nos petits doigts.

12. Joe Beef

À quoi s’attendre : Une cuisine incroyablement gourmande, maîtrisée et décomplexée, qui rend magnifiquement honneur aux grands classiques français. C’est le paradis de la viande, des fruits de mer, et… de l’abondance ! Nul besoin de mentionner que la carte des vins rend honneur à cette grande institution de Montréal.

Pourquoi y aller : Les fruits de mer (dites bonjour au fameux spaghetti au homard), la côte de bœuf, les escargots de Bourgogne.

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13. Hoogan et Beaufort

À quoi s’attendre: Ce restaurant situé à Rosemont offre un raffinement rustique pour la cuisine à feu ouvert du chef Marc-André Jetté et William Saulnier; le menu excelle à tout ce qui est grillé, caramélisé, rôti ou fumé. Il est simple de retrouver le goût du feu de bois à Montréal, mais de trouver un restaurant où le goût est aussi délicieux qu’à Hoogan et Beaufort l’est beaucoup moins. Pour compléter l’expérience que vous offre cet endroit, prenez place au bar central pour avoir la vue sur la cuisine tout en sirotant un vin ou une bière d’importations privées.  

Pourquoi y aller: Un des meilleurs pour une cuisine à feu ouvert innovante.

14. Vin Papillon

À quoi s’attendre : Un céleri-rave traité comme un rôti de bœuf, des carottes fumées comme un smoked meat — servi à l’intérieur d’une pâte à chou pour nous rappeler un éclair —, des fruits de mer apprêtés de brillantes manières, le fameux jambon de Bourgogne, sans oublier une carte des vins à faire rêver. Les plats, de portion assez moyenne, sont faits pour être partagés : parce lorsqu’il n’y a pas de partage, il n’y a pas de plaisir !

Pourquoi y aller : Le jambon de Bourgogne, les plats de légumes et une carte des vins exceptionnelle. 

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15. La Chronique

À quoi s’attendre: Depuis l’ouverture en 1995, Olivier de Montigny, sommelier Jonathan Sitaras et le chef-propriétaire Marc de Canck nous livrent une gastronomie française toute en splendeurs. Dans ce restaurant au décor épuré et minimaliste, avec une salle à dîner privée à la mezzanine, vous n’y trouverez pas un plat qui puisse vous décevoir. Des midis tardifs aux choix de menus simplifiés sans en être diminués, jusqu’aux longues soirées arrosées de vin entre des plats de foie gras de canard et de pintade exquise, on témoigne ici du rayonnement de la gastronomie française à son meilleur. Rien de moins.

Pourquoi y aller: Pour sa qualité d’incontournable de la cuisine française, on y va pour profiter du menu-dégustation inspiré par tout ce qu’il y a de plus frais.

16. Montréal Plaza

À quoi s'attendre : L'imprévisibilité est le nom du jeu au restaurant de Charles-Antoine Crête et Cheryl Johnson, qu'il s'agisse du décor intérieur ou de ce qui se trouve dans l'assiette. Il n'a pas fallu longtemps après son ouverture en 2015 pour que cet endroit reçoive des éloges pour la science folle qu'il apporte à sa nourriture. Libéré des pièges du conventionnel et de l'expérimental à outrance, le Montréal Plaza porte le fer pour trouver l'équilibre parfait entre les deux. Faites-vous une place, commandez le menu à partager pour deux, et tenez-vous bien.

Pourquoi y aller : Pour être dérouté par une expérience de restaurant de la manière la plus attachante qui soit.

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17. Bouillon Bilk

À quoi s’attendre: C’est un des rares bastions à Montréal pour une expérience culinaire immaculée; les nappes blanches et l’argenterie polie donnent le ton. On admire le Bouillon Bilk pour l’exécution sans failles de la gastronomie française moderne.  Un décor tout à fait minimaliste, sans être trop sévère, abrite les opérations austères de François Nadon et Mélanie Blanchette, dont le service revalorise nos occasions spéciales et rehausse nos soirées décontractées. Ça vaut la peine de casser sa tirelire pour un service complet accompagné d’importations privées.  

Pourquoi y aller: Les plats du midi témoignent d’un tout différent menu à presque moitié prix, sans en diminuer la qualité!

18. Hélicoptère

À quoi s’attendre : En combinant une formation classique rigoureuse et un vent de jeunesse, on obtient un joyau de la restauration, installé dans le grésillant quartier de Hochelaga-Maisonneuve. Chef David Ollu et son équipe assurent un service et une nourriture impeccables, à prix très honnête, et ce, autant au restaurant qu’au café Hélico, son voisin plus modeste.  

Pourquoi y aller : La succession des petits plats haut en saveurs et en couleur du menu dégustation, avec un extra pain challah pour bien nettoyer les assiettes.

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19. Monarque

À quoi s’attendre : L’annonce de l’ouverture de cette brasserie gastronomique du Vieux-Montréal a été repoussée à un point tel qu’on a presque perdu espoir, mais finalement, attendre en a valu le coup. Un pas à l’intérieur, un verre de son cellier, une bouchée de son menu et on était gagnés par le projet de Jérémie et de Richard Bastien. Tout est éblouissant à cette adresse épurée, surtout du côté des standards français comme la salade niçoise, la bouillabaisse, un demi poulet de Cornouaille ou de la ratatouille infusés de saveurs cosmopolitaines voire insolites.

Pourquoi y aller : D’abord pour se reposer sur ses lauriers et de manger au nouvel établissement qui révolutionne la scène culinaire montréalaise, puis pour s’abandonner à de la fine gastronomie.

20. Le Tuck Shop

À quoi s’attendre: Le Tuck Shop, c’est l’histoire classique de jeunes chefs et d’entrepreneurs qui ont mis le quartier Saint-Henri sur la carte. La mission de créer un resto honnête avec un menu saisonnier de 2010 a depuis amassé une clientèle partisane et croissante en salle comme pour le service de traiteur. Ce resto nous tient également en suspense, il faut garder l’œil sur leur page Twitter pour rester à l’affut des nouvelles créations.

Pourquoi y aller: On prend place à la terrasse au jardin pour un service en retrait de tout, sinon au bar cru pour s’empiffrer d’huîtres.

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21. Beba

À quoi s'attendre : Les frères Ari et Pablo Schor ont fait tourner bien des têtes lorsqu'ils ont pris ce petit restaurant de coin de rue pour écrire une chanson d'amour à leurs racines argentines avec des ingrédients québécois locaux et saisonniers - un mandat que le chef Ari tient de son passage au Liverpool House, sans doute. Il est impossible de classer cet endroit comme un restaurant strictement argentin, même si les empanadas sont excellentes. L'italien et l'espagnol s'invitent ici et là dans le menu de manière satisfaisante, avec des verres de choix de vins naturels.

Pourquoi y aller : Pour l'intimité du service et du menu, il est préférable de demander au serveur de vous emmener faire un tour et de laisser la cuisine faire son travail.

22. Damas

À quoi s’attendre: Le chef-propriétaire Fuad Alnirabie a su gagner le cœur de ses loyaux partisans avec son restaurant moyen-oriental, véritable chanson d’amour toute en notes de pistaches, de sumac, de pomme-grenades et de piments d’Alep. Malgré une scène culinaire qui revendique sans cesse le nouveau, il est important de garder en tête ceux qui continuent d’exécuter les classiques de façon extraordinaire. Un large festin ici pourra s’avérer coûteux, mais rien n’apaise plus qu’un rafraîchissant verre d’arac sur un estomac plein.

Pourquoi y aller: Pour la meilleure bouffe syrienne en ville, des mezzes froids aux grillades.

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23. Candide

À quoi s’attendre: Nul doute qu’à Montréal, plusieurs restaurants sont fiers d’offrir des menus qui changent avec les saisons, mais rares sont les chefs qui adhèrent aussi strictement à cette politique que le chef John Winter Russel du Candide. Le menu localement inspiré change tous les mois et l’endroit est considéré comme une destination primée pour sa cuisine du marché. Le menu-dégustation de 4 services offert à 55,00$ donne le ton pour une soirée des plus classe, surtout lorsqu’on considère la précision du service offert dans l’ancien presbytère d’une école du dimanche.

Pourquoi y aller: Avec la tournure saisonnière du menu, le meilleur temps pour visiter est bien sûr l’été lorsque plus d’aliments de choix sont disponibles.

24. Club Chasse et Pêche

À quoi s'attendre : Il y a toujours des restaurants qui rivalisent pour être la nouvelle tendance de la scène, mais des restaurants comme Le Club Chasse et Pêche prouvent que l'expertise finit par l'emporter. Les fondateurs, le chef Claude Pelletier et le maître d'hôtel Hubert Marsolais, n'ont pas mis longtemps à acquérir une solide réputation pour leurs compétences de choix en matière de service, de nourriture et de boissons. Situé dans l'historique Château de Ramezay, dans le Vieux-Montréal, l'ambiance de cet espace respire la gastronomie montréalaise à son meilleur.

Pourquoi y aller : Dîner sur la terrasse du jardin en été est la cerise sur le gâteau.

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25. Le Filet

C’est sans éclaboussure ni feux d’artifice que le restaurant Le Filet s’est établi comme une destination gastronomique inébranlable de choix à Montréal, notamment grâce à une stabilité irrévocable — autant en cuisine qu’au service. Le menu brille par ses classiques indémodables : huîtres au gratin de miso, tartare de thon, pieuvre parfaitement grillée servie avec sauce vierge et garnitures de saison, linguine à l’encre de seiche aux fruits de mer, gemelli à la joue de veau braisée avec foie gras… Le juste milieu entre la délicatesse et la gourmandise, un des meilleurs services en ville, sans oublier la finale sucrée signée par la talentueuse pâtissière Massami Waki fait de cet établissement un choix incontournable parmi les amateurs de cuisine haut de gamme à Montréal.

26. Foxy

À quoi s'attendre : Ouvert en 2015, le restaurant au design épuré des chefs Leigh Roper et Vincent Russel est communément regardé pour son accent sur la livraison de plats avec un élément de feu ouvert. Cela signifie que le surf, le turf et une sélection de pains plats chauds constituent une sélection corsée bonne pour toute saison. Tout, de la feta aux saucisses, est fait sur place, et grâce aux efforts de la chef pâtissière Vanessa Laberge et du boulanger Marc-André Cyr, chaque repas est agréablement complété.

Pourquoi y aller : Les viandes grillées au menu sont parmi les meilleures de la ville, du poulet rôti aux steaks du hangar.

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27. Elena

À quoi s’attendre: Cette nouvelle venue, de la même équipe qui nous a présenté Nora Gray plus co-propriétaire Marley Sniatowsky, vole la vedette à Montréal. Les pizzas, louangées à travers le pays pour leur confection au four à bois, sont excellentes, tout comme les plats à partager et les charcuteries. La qualité de la nourriture se frotte aux cocktails classiques, le tout servi dans une ambiance italienne moderne et chic.

Pourquoi y aller: Leur pizza napolitaine suffit amplement, mais on essaie aussi leur bar et vin et le comptoir des mets pour emporter au Club Social P.S. à l’arrière.

28. McKiernan

À quoi s’attendre : Les supergroupes du monde de la restauration ont généré pas mal d’éloges au cours des cinq dernières années, mais on vous garantit que peu arrivent à la cheville de celui-ci. Joe Beef et Maison Publique, deux restaurants hyper-reconnus, ont fait équipe pour créer ce restaurant de style cafétéria qui sert le déjeuner, le dîner et le souper avec le soin et le goût qui vous font saliver aux adresses mères. Si vous êtes du genre à lever le nez sur les soupes, les salades et les sandwiches, on est prêts à gager que ça va changer après une bouchée ici.

Pourquoi y aller : Pour vivre l’équivalent de visiter un chef à la maison qui vous offre un sandwich qui change votre vie

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29. Provisions Bar à Vin

À quoi s'attendre : Les chefs Hakim Rahal et Pablo Rojas ont été touchés par la pandémie lorsque le "premier" Provisions a dû fermer ses portes, mais depuis qu'ils se sont consacrés entièrement à leur établissement axé sur le vin, tout s'est passé comme sur des roulettes. Avec un accès encore plus étroit à leurs propres opérations de boucherie, cet endroit est en train de rendre à lui seul le steakhouse cool à nouveau (même s'ils ne l'admettront jamais), en le combinant avec un service décontracté mais raffiné et un décor martelé de tôle et de comptoir que l'on trouve dans les établissements les plus branchés de Montréal.

Pourquoi y aller : Bon pour les longues soirées arrosées de vin avec des steaks et des huîtres, ainsi que pour les sandwichs à emporter pendant la journée.

30. Bistro La Franquette

À quoi s’attendre : Se détachant légèrement de l’écosystème des restaurants haut de gamme, Renée Deschenes, Louie Deligianis et Blake Hickerson ont créé un hommage honnête au bistrot classique et les résultats sont stupéfiants. Le nom est révélateur, puisqu’il vient de l’expression « à la bonne franquette », le pendant informel des nappes blanches des établissements plus haut de gamme ; la nourriture et les boissons sont toutes présentées honnêtement, mais elles portent en elles toute l’expérience accumulée. On parle beaucoup de nourriture « simple », mais ici, ce qui est simple prend un sens nouveau qui mérite d’être découvert.

Pourquoi y aller : Des classiques gourmands, honnêtes, parfois réinventés. Un des meilleurs onglets de bœuf surmonté d’un beurre composé aux herbes, et ne passez pas droit aux desserts de la cheffe pâtissière Olive Park.

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31. Nora Gray

À quoi s’attendre: Malgré les abondantes offrandes traditionnelles de la Petite Italie, lorsqu’il vient le temps de déguster les meilleures pâtes en ville, c’est au restaurant Nora Gray qu’on se déplace, véritable ode à l’Italie du Sud de Ryan Gray et d’Emma Cardarelli. L’attention aux détails depuis son ouverture en 2011 font de ce resto-bar intime un incontournable pour ses plats et ses cocktails tant classiques que ludiques, et pour sa liste de vins plus longue que le bras.    

Pourquoi y aller: Pour une expérience italienne moderne qui excelle en toutes choses, de l’antipasti au dolci.  

32. Le Serpent

À quoi s’attendre: Chef Claude Pelletier nous livre un autre restaurant extraordinaire. Le Serpent sort puissamment de sa cage avec une tendance italienne à son menu. Que ce soit pour les entrées crues ou chaudes, l’emphase est mise sur les risottos, les pâtes, les viandes et les fruits de mer.  Il a aussi surement inspiré l’informel bar à pâtes Il Miglio, situé au Plateau. Le Serpent livre un wow après l’autre avec ses ingrédients fait maison impressionnants. L’intérieur aussi est magnifique!

Pourquoi y aller: Pour se frotter à un des groupes de restauration les plus hots en ville, et pour les desserts du chef-pâtissier Masami Waki

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33. Garde-Manger

À quoi s’attendre: Venez pour le service, restez pour la folie furieuse! Le spot de Chuck Hughes est reconnu pour l’expérience la plus débridée à avoir au Vieux-Port; on est loin de l’ambiance créée par plusieurs dans ce quartier. Tout le monde vous dira que ce resto est achalandé et avec raisons; les piles de fruits de mers frais et les plats familiers, comme le pieuvre, les croquettes McChuck et le poisson du jour, font de cette perle rare un endroit où les bons temps coulent à flot.

Pourquoi y aller: Pour l’expérience aussi festive et bruyante qu’un restaurant puisse être avec toute l’extravagance qui lui soit permise.

34. Kitano Shokudo

À quoi s’attendre: Il ne fait nul doute qu’il est possible de manger de l’excellente nourriture japonaise traditionnelle à Montréal. Dans la ribambelle de sushis et de ramens disponibles en ville, peu ont su rehausser leurs techniques de gastronomie japonaise avant que le groupe derrière le Otto Yakitori n’ouvre cet endroit. Les techniques et le savoir-faire du chef Hiroshi Kitano, appliqués au concept bistro, donnent lieu à des créations culinaires inédites. Il renverse la tendance de fusionner la cuisine japonaise aux cuisines du monde, préférant plutôt appliquer les techniques nippones aux ingrédients retrouvés dans les cuisines françaises ou italiennes.  

Pourquoi y aller: Pour le restaurant japonais le plus unique en ville.

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35. Knuckles

À quoi s’attendre : Un menu concis, attentionné et intelligent, où l’omniprésence des légumes côtoie pâtes fraîches maison et vins nature. Le modeste local laisse place à une ambiance chaleureuse, très propice aux partages et où vous n’aurez plus envie de quitter. D’ailleurs, le « Knuckles », à savoir ce petit panzerotti bien dodu, brûlant de fromage et de sauce tomate à l’intérieur, est un réel incontournable et saura bien mettre la table pour la suite des choses. Chaque visite au Knuckles est le préambule parfait où (très) bien manger, bien boire et avoir du plaisir !

Pourquoi y aller : Laisser votre soirée entre les mains de l’équipe sera votre meilleur moyen de goûter la médecine du Knuckles.

36. Heni

À quoi s'attendre : Une cuisine qui rend adroitement les lettres de noblesse aux traditions gastronomiques des régions SWANA (Asie du Sud-Ouest et Afrique du Nord), par un talentueux chef qui brille de par sa rigueur et polyvalence. Mariant raffinement et dépaysement, chaque plat nous transporte dans un monde arabe et méditerranéen, tout en profitant des meilleurs ingrédients de saison du Québec.  

Pourquoi y aller : pour une soirée remplie de découvertes, autant dans l’assiette que dans le verre. Vous pourrez y déguster possiblement le meilleur kibbeh nayyeh de la ville, en accord parfait avec un vin libanais.

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37. Jatoba

À quoi s’attendre : Situé en plein cœur du centre-ville, le restaurant Jatoba brille de par sa constance, en exécutant des plats d’inspiration asiatique tout simplement béton. Le chef Olivier Vigneault est au sommet de son art, et c’est beau à voir. On ne doit pas se laisser intimider par le menu comportant près de 50 items, mais plutôt choisir avec une conscience libre : ici, tout est délicieux. Entre l’incontournable salade de chou-rave, homard et truffe, le « egg roll » de bœuf avec foie gras en entrées et la morue, le bœuf wagyu ou le homard légèrement pané sauté au wok, il faut laisser le chef s’exprimer à travers son plateau de sashimi taillé d’une main de maître.

Pourquoi y aller : les rendez-vous romantiques ont autant leur place que les soirées plus festives entre amis. On est assuré de manger extrêmement bien, dans une ambiance branchée.

38. Cadet

À quoi s’attendre : On peut comprendre si les Montréalais deviennent amers à la mention de ce restaurant, mais on ne peut plus le garder pour nous : Cadet est bon, et c’est péché de ne pas y manger. Son cousin Bouillon Bilk reçoit pas mal d’attention — et avec raison, considérant ses accolades — tandis que Cadet se fait mettre de côté à cause de sa devanture quelconque. Si vous faites partie de ceux qui le snobent, on n’aimerait pas être à votre place! Tout ce qui est au menu vient pour un rien si on considère le ratio prix-pour-précision : la cuisine de Cadet joue ses meilleures cartes peu importe l’assiette.

Pourquoi y aller : C’est un restaurant uber bien situé au centre-ville qui livre des mets haut de gamme dans un décor décontracté

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39. Pichai

À quoi s'attendre : Ce restaurant thaïlandais, créé par Jesse Grasso et Jesse Mulder, a été présenté comme la contrepartie plus correcte de la boutique de curry Pumpui, plus décontractée, dans la Petite Italie. Le nom, après tout, signifie "grand frère". Cela dit, les plats proposés ici demandent plus d'engagement, le mieux étant de réunir des amis autour de quelques bouteilles pour déguster des plats épicés de salade de chou-fleur laab dok kalaam avec du riz gluant, du poisson entier et des demi-poulets cuits au tamarin, des palourdes et du basilic thaïlandais hoy lai pad nam prik pao, et des bols de kuat teow à avaler.

Pourquoi y aller : Pour non seulement goûter à la cuisine thaïlandaise, mais aussi pour la secouer un peu et faire monter les choses d'un cran.

40. Graziella

À quoi s’attendre : Une fine cuisine traditionnelle italienne à la fois délicate, recherchée et gourmande. Au sommet de son art, la cheffe Graziella n’a pas peur s’inspirer de plats régionaux de l’Italie qui nous ait un peu moins connu, puis d’en faire une réinterprétation magistrale. En ajoutant une carte de nectar italien exceptionnelle et un service des plus courtois et professionnel, tous les ingrédients sont présents pour passer une soirée mémorable.

Pourquoi y aller : Antipasti, primi, secondi, avec un rouge soigneusement suggéré par l’équipe pour bien enrober le tout. Ne ratez rien. À noter qu’en saison, les pâtes au homard sont majestueuses — et si vous apercevez le osso buco, n’en faites pas qu’une option !

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41. Ferreira Café 

À quoi s'attendre : Le Ferreira Café est un exemple de constance en maintenant les plus hauts standards de la gastronomie montréalaise, autant en cuisine qu’au service. Celui qui a mis la cuisine du Portugal sur la carte de Montréal, Carlos Ferreira, a su traverser le temps (et les modes) avec brio, notamment grâce à la qualité des produits qui entre dans sa cuisine, ainsi qu’au service hors pair. Une institution qui rend fidèlement honneur au Portugal depuis presque 30 ans ! 

Pourquoi y aller : pour les poissons et fruits de mer les plus frais, apprêtés à la manière portugaise de Montréal.

42. Les Street Monkeys

À quoi s’attendre: La cuisine cambodgienne faisait gravement défaut à Montréal avant l’arrivée du Street Monkeys. Le chef Tota Oung nous gâte avec son resto façonné d’après une ruelle étroite et animée de Phnom Pehn. L’éventail complet de saveurs est là; chaque plat, épicé à votre goût, déborde de notes de citronnelle, de galanga, d’ail et de gingembre. De la salade de papaye frite au poisson Amok, cet endroit ne manque pas de plats impressionnants tout droit débarqués de la mère-patrie.

Pourquoi y aller: Avec le ceviche aux crevettes et wasabi, les ailes de poulet farcies ou même avec l’un des fabuleux cocktails doux-acidulés, la question ne se pose plus.

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43. Jun I

À quoi s’attendre: Pour les meilleurs sushis de la ville, on se tourne vers chef Junichi Ikematsu et son restaurant pseudo-éponyme. Malgré la qualité au top de sa classe en fonction des sushis, makis et sashimis, les zenzais le sont aussi, leurs saveurs allant au-delà du traditionnel. Peu importe votre choix, chaque morceau de fruit de mer est ici traité avec expertise.

Pourquoi y aller: Pour les meilleurs sushis à Montréal, une vraie bonne affaire!

44. Bonheur d’occasion

À quoi s’attendre : Le menu attire l’attention, le service à la fois amical et professionnel nous fait rester, alors que la générosité et la qualité des assiettes nous font revenir : le Bonheur d’occasion est un vrai bijou de l’infatigable quartier Saint-Henri. Ici, le bonheur frappe fort. On y retrouve autant la légèreté d’un poisson cru et la fraîcheur d’un plat de légumes que la gourmandise assumée d’un boudin grillé et d’une pintade servie en sauce accompagnée des meilleurs ingrédients de saison. L’assiette chaude de fruits de mer est quant à elle un incontournable, tout comme le craquant millefeuille érable et mélilot.

Pourquoi y aller : L’assiette chaude de fruits de mer, le secret le mieux gardé (à ce prix !) de la ville !

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45. Chez Jean-Paul 

À quoi s'attendre : Possiblement trop audacieux pour s’afficher comme restaurant de quartier, je dirais que Chez Jean-Paul est un restaurant de destination, qui mérite définitivement le détour — surtout pour ceux qui aiment surprendre leurs papilles. Ambiance relaxe où l’on s’entend parler, des créations flirtant la témérité, incroyablement assumées et maîtrisées. Des oursins prenant des airs de « poulet du dimanche », des couteaux de mer associés à un effiloché de pied de porc, une spectaculaire langue de veau braisée côtoyant palourdes et morilles… Il faut absolument prendre l’omble chevalier, plat phare du restaurant.

Pourquoi y aller : vivre et goûter l’audace du chef Isaël Gadoua, tout en se sentant comme à la maison grâce à l’ambiance décontractée et confortable.

46. Ibericos

À quoi s’attendre : Savourer l’élégance, la simplicité, mais aussi toute la gourmandise de la cuisine espagnole. Le menu évoluant au fil des saisons rend à la fois honneur aux classiques espagnols — croquetas, tortilla, bomba —, que les produits du Québec figurant sous la section tapas, ou accompagnant poisson, fruits de mer et paëlla.

Pourquoi y aller : On prend un malin plaisir à savourer le meilleur jambon ibérique en ville accompagné d’un pan con tomate, de quelques croquetas, suivi d’une tournée de tapas typique de Barcelone. Puisqu’on y est, on termine avec l’incontournable paëlla.

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47. Fleurs et Cadeaux

À quoi s’attendre : De savoureuses nouilles udon qui glissent tendrement en laissant les lèvres suintantes ; un bol chirashi qui peut s’afficher comme l’un des meilleurs de la ville grâce à la fraîcheur et l’admirable coupe des poissons, ainsi que la juste température et assaisonnement du riz ; un canard vieilli en croûte de miso grillé puis carbonisé à la minute qui reste gravé en mémoire. Une soirée chez Fleurs et Cadeaux se doit être arrosée d’au moins un verre de saké issu d’une impressionnante carte, mais les amateurs de bières, cocktails ou vins nature seront tout aussi bien servis. Le service est décontracté, l’ambiance est d’une informalité décomplexée et assumée.

Pourquoi y aller : La fraîcheur du bol chirashi, la gourmandise des nouilles udon et la complexité du canard vieilli.

48. Marconi 

À quoi s'attendre : Voici un restaurant qui roule sa bosse sans trop fait de bruit depuis 2016, qui mérite dorénavant la distinction de « bijou de quartier ». Le chef Mehdi Brunet-Benkritly a fait fondre le quartier avec ses créations suivant le fil des saisons, toujours sous le signe de la gourmandise. Le Marconi est marqué par des techniques bétons inculquées notamment au Toqué!, de la (juste) décadence maîtrisée au Pied de Cochon, et la sagesse trouvée à New York au Fedora et Chez Sardine.

Pourquoi y aller : la plus gourmande toast aux champignons de Montréal, sans oublier l’œuf mimosa au miso en apéro.

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49. Le Virunga

À quoi s’attendre : Montréal est l’une des villes les plus diverses pour sa variété d’influences gastronomiques du monde entier, et Le Virunga met ses bases panafricaines à l’avant-scène de son menu. La chef Maria de Fria, formée au cours de ses voyages en Afrique sub-saharienne, nous livre des plats inspirés, comme les filets de poissons en croûte de noix, les épaules de veau et les queues de bœuf. Peu de restaurants vous feront autant voyager.

Pourquoi y aller : pour le fabuleux penchant du chef à mélanger et renverser ses influences culinaires, rendant chaque visite différente de la prochaine.

50. Dobe & Andy

À quoi s'attendre : Ouvert à l'origine en 1982 sous le nom de Fung Lam, Dobe & Andy est un établissement de style diner qui a été le premier de la ville à servir des barbecues à la mode de Hong Kong (à déguster avec du riz et leur savoureux mélange haché de gingembre, d'ail et d'oignons sur le dessus). Aujourd'hui dirigé par les frères Eric et Edmund Ku, l'endroit est devenu une destination de Chinatown qui mérite des visites répétées pour toutes sortes de classiques chinois, mais aussi pour s'amuser en préparant une version chinoise du hot chicken de Nashville, par exemple.

Pourquoi y aller : Pour un endroit qui combine les classiques avec l'ingéniosité dans Chinatown, sinon pour le meilleur BBQ de style Hong Kong en ville.

Time Out Market Montréal

Pâtisserie

C'est ici que le traditionnel café-beigne monte d'un cran. Les cafés impeccables, faits des grains provenant de la Société Canadienne de Torréfaction de Montréal sont servis avec des beignets briochés ou des biscuits frits si incroyables, vous n’en trouverez nulle part ailleurs en ville. 

En vedette : Des beignes brioché et des « sconuts », quand un beigne épouse un scone.

Comptoir Néo Japonais

Attendez-vous à retrouver les plats les plus populaires de ce restaurant du Village, notamment des plateaux d’oshizushis pressés, des sashimis d’une fraîcheur irréprochable et des makis savoureux, des bols poké regorgeant d’ingrédients délicieux et d’innombrables spécialités de la cuisine de rue japonaise classique.

En vedette : L'Oshizushi, sushi style oshi (pressé) & aburi (torché).

  • prix 2 sur 4

Comptoir Japonais

Le restaurateur Hideyuki Imaizumi et le chef kaiseki Tetsuya Shimizu ont ici uni leurs forces pour fonder l’un des meilleurs restaurants japonais en ville. 

En vedette : Attendez-vous à manger bol après bol de ramen savoureux et de cari donburi.

  • prix 2 sur 4

Cantine vietnamienne

On y trouve des versions réinventées de la cuisine de rue, comme un carpaccio de bœuf avec croustilles aux crevettes, et des bols de pho traditionnels. Cette cuisine capte les saveurs et arômes de la cuisine vietnamienne, tout en offrant des créations inédites. 

En vedette : Essayez leur trempette à la française vietnamien inoubliable, composé d'un banh mi et d'un bouillon de boeuf.

Comptoir indien

Depuis 1985, Le Taj est l'une des premières destinations gastronomiques indiennes en ville, une institution dont la longévité est due à la touche montréalaise qu'elle apporte à chacun de ses plats, et y manger est une expérience locale essentielle.

En vedette : Leur pain Naan léger, de leur irrésistible poulet au beurre, ou encore du kebab rôti au four tandoori ou d'une assiette de biryani Delhi.

  • prix 2 sur 4

Cuisine haïtienne & caraïbéenne

L’approche passionnée de la cuisine antillaise de Paul Toussaint fait plaisir aux Montréalais depuis son retour d’Haïti en 2017. Ici au marché, il sert la cuisine savoureuse et réconfortante de son pays nata.

En vedette : Du griot grésillant, des pikliz piquants, des côtes levées succulentes au rhum et ananas, ainsi que des accompagnements comme des acras ou des plantains frits.

  • prix 2 sur 4

Cuisine pancanadienne

Dans ce nouveau concept, on découvre un monde remodelé par Yen à travers un menu de classiques réimaginés, des cocktails de crevettes au steak frites. Alliant un esprit éclairé à des compétences purement intuitives, Yen n'est pas seulement une étoile montante de la restauration canadienne, il est une constellation en soi.

En vedette : Bourgots au beurre avec un aïoli au nori

Brasserie d'ici

Découvrez le savoir-faire du chef Jean-Sébastien Giguère, acquis dans certains des meilleurs restaurants du pays, grâce à des plats d'exception qui revisitent les classiques de la brasserie française avec des accents résolument locaux.

Plat signature : MTL Giant Guédille

  • prix 2 sur 4

Grillades du continent par chef Paul Toussaint

Le menu est un voyage continental à travers les techniques de barbecue de deux hémisphères, combinant l'Amérique du Nord, centrale et du Sud : Il commence au nord avec le méchoui à la broche et la viande fumée classique de Montréal, passe par les États-Unis et se termine par des spécialités et des délices comme le jerk des Caraïbes, l'asado argentin et le churrasco brésilien.

En vedette : Brisket et ribs

Burgers & Poutines

Simon Jodoin-Bouchard, alias le roi du smash burger, prouve que ses galettes de bœuf (qui ont remporté des prix) sont indéniablement là pour rester : Montréal a non seulement succombé aux burgers croustillants à l'extérieur et juteux à l'intérieur, mais aussi passionné des autres recettes décadentes de génie du chef comme les frites chili.

Plat signature : Big Time Burger, créé exclusivement pour le Time Out Market Montréal.

  • prix 2 sur 4

Pâtes artisanales

L’attention aux détails est une des qualités les plus vertueuses de la cuisine italienne. Quelques boulettes de viande couvertes d’une petite cuillerée de sauce se transforme en bouchée succulente. Sous l’œil attentif de Claude Pelletier, Il Miglio a été fondé par le talentueux chef Michele Mercuri et le cuisinier de renom Giovanni Rasile, l’artisan responsable des délicieuses pâtes du restaurant Le Serpent.

En vedette : Des pâtes fraîches ou des antipasti, sont tous faits avec des produits saisonniers péparés à la perfection.

  • prix 2 sur 4

Pizzeria

Moleskine est le chef de file de la nouvelle vague des pizzérias de style napolitain de Montréal. Le chef Frédéric St-Aubin propose un mélange d’ingrédients traditionnels et de saison. C’est étonnant à quel point c’est frais, réconfortant et stimulant.

En vedette : Les amateurs de pizzas classiques adoreront la Marguerite, Genovese ou la Salsiccia, préparées avec des ingrédients délectables.

Poulet portugais, poutine et natas

Depuis notre première dégustation du poulet portugais sortant chaud et fumant de cuisine en 2016 jusqu’à chaque délicieuse bouchée d’aujourd'hui, cette churrascaria offre toujours de la qualité, encore et encore. C’est le petit dernier d'une série de destinations vénérées, mais sans aucun doute, les Ferreira sont des ambassadeurs de la gastronomie portugaise à Montréal.

En vedette : Le poulet portugais grillé et la poutine au poulet.

Taverne espagnole à tapas

Ibéricos est un avant-goût de l’Espagne. De Caracas à Saint-Sébastien en passant par Montréal, le chef Haissam Souki Tamayo a travaillé dans des restaurants étoilés Michelin et aux côtés de chefs légendaires pour affiner son mariage entre la tradition espagnole et les produits du terroir québécois. Une somptueuse paella à la valencienne, un bocadillo de calmars qui ravira les amateurs de fruits de mer, des croquettes de morue croustillantes arrosées de sirop d'érable et un décadent cheesecake basque (caramélisé sur le dessus avec un intérieur riche et ultra-crémeux), ne sont que quelques plats inspirés de l’emblématique taverne espagnole à tapas du chef.

En vedette : paella

Sandwicheria

Les Montréalais adorent fréquenter cette sandwicheria familiale depuis son ouverture en 2018. La magie se produit lorsque des recettes du sud de l'Italie, transmises depuis trois générations, rencontrent des hoagies de style philly débordant d'ingrédients faits maison - jusqu'à la burrata maison, les frites coupées à la main et le basilic frais cueilli dans le jardin. Il ne suffit qu’une bouchée pour comprendre pourquoi ces sandwichs sont devenus emblématiques.

En vedette : le sandwich Porcetta

  • prix 2 sur 4

Le Time Out Bar n'est pas un endroit comme les autres pour déguster des cocktails. Nous avons mis la main sur des recettes de boissons provenant de dix bars exceptionnels de Montréal afin que vous puissiez goûter au travail des plus grands mixologues de la ville sans avoir à faire la tournée des bars.

  • prix 2 sur 4

Même si nous adorons la mixologie, rien ne vaut parfois un verre de bière, et c'est pourquoi nous avons rassemblé pour vous un éventail de microbrasseries québécoises - ainsi que quelques importations de qualité - à déguster. Vous trouverez ici une pinte brassée par des établissements tels que Dieu du Ciel, Archibald, Microbrasserie de Charlevoix et Pit Caribou, ainsi que quelques importations à essayer. N'oubliez pas de demander un vol !

  • prix 2 sur 4

Que vous soyez un grand œnophile ou simplement quelqu'un qui veut une boisson aussi raffinée que le plat que vous avez commandé, arrêtez-vous au bar à vin pour votre prochain verre de rouge, de blanc, de bulles, de pét-nat ou d'orange. Vous y trouverez une sélection diversifiée provenant du monde entier, de la Nouvelle-Zélande à la Grèce en passant par la France et l'Italie, ainsi que des options de notre propre cour, au Québec et en Ontario.

Que vous soyez le conducteur désigné, que vous ayez un mois de sobriété ou que vous ne vouliez tout simplement pas boire, nous sommes là pour vous. Au lieu d'opter pour un verre d'eau, nous avons composé un menu de boissons sans alcool qui réunissent des saveurs exceptionnelles, comme le Yuzu Smash avec du yuzu, du concombre et du citron vert, le Zingi à base de soda au gingembre, de fraise et de citron vert, une gamme de saveurs pour les sodas faits maison ou des "pintes" de kombucha qui déchirent.

Bar Laitier

Bar Laitier
Photograph: Geneviève Giguere

Si l'été à Montréal avait une saveur, ce serait celle de la crème glacée. Time Out Market Montréal apporte la crème de la crème de la ville au nouveau Bar Laitier du Market.

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