Après huit années passées à explorer les restaurants (branchés, traditionnels ou étoilés) et les bars (à vins, bières ou cocktails) pour les pages web et print de GQ France — et, avouons-le, pour son propre plaisir — la « Reine des Internets » autoproclamée a intégré l’équipe d'EnVols, le magazine d'Air France, en tant que rédactrice en chef digital. Aujourd'hui, elle est prête à déployer son expertise au sein de l'univers de Time Out Paris, où elle continue de mettre à l'honneur la culture et les délices de la ville.

Marine Delcambre

Marine Delcambre

Responsable éditorial et contenus digitaux

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News (13)

Ce docu dévoile les coulisses spectaculaires de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris 2024

Ce docu dévoile les coulisses spectaculaires de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris 2024

6 kilomètres de Seine transformés en Broadway aquatique, 116 délégations naviguant sur des bateaux-podiums, Céline Dion chantant L’Hymne à l’amour au sommet de la Tour Eiffel… Si vous faites partie des 22 millions de téléspectateurs ayant maté France 2 (ou des 1,5 million de spectateurs massés sur les quais) le 26 juillet dernier, vous savez déjà à quel point la cérémonie d'ouverture des JO 2024 a été un spectacle démesuré. Et pourtant, ce qu’il s’est passé en coulisses dépasse largement ce que vous avez vu à l’écran. La Grande Seine – L’Histoire complète, le documentaire réalisé par Manuel Herrero (et accessoirement l'époux de Karin Viard), vous emmène là où vous n’étiez pas invités : dans l’enfer des préparatifs. Qui ? Aux manettes de ce documentaire, Manuel Herrero, réalisateur français qui ne fait rien à moitié. Deux ans à traîner ses caméras entre les bureaux de création et les quais de la Seine, là où les répétitions s’enchaînent sous la pluie, la lune ou les (gros) coups de gueule. Sa mission ? Capturer l’âme d’un projet aussi dingue qu’improbable. Et puis, il y a Tony Estanguet, président du comité d’organisation, capitaine de ce navire olympique qui a tenu le cap, coûte que coûte, malgré les tempêtes logistiques. Toujours le mot pour galvaniser : « Ce documentaire met en lumière les possibilités sans limites lorsque l'ambition rencontre la persévérance. Pour la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, nous avons osé imaginer quelque chose d'audacieux
Retour vers le passé : le PSG ressort le maillot mythique de la saison 2001-2002

Retour vers le passé : le PSG ressort le maillot mythique de la saison 2001-2002

Si vous êtes un amateur de football ou simplement un fan du style rétro, cette réédition risque de faire battre votre cœur plus vite qu’une frappe de Thierry Henry. Le Paris Saint-Germain ressuscite une page mythique de son histoire en reproduisant, dans le cadre de sa collection "Héritage" lancée en 2022, le maillot domicile de la saison 2001-2002. Un modèle qui a marqué les esprits et incarné une époque dorée du club, portée sur le terrain par des figures légendaires comme Ronaldinho, Jay Jay Okocha, Nicolas Anelka, Bernard Mendy et José Aloisio. Chacun d’eux, avec son style de jeu unique, a fait rêver les supporters et laissé une empreinte indélébile. Ronaldinho, lui, a été un véritable révolutionnaire du football français et mondial. Son arrivée au PSG, avec ses dribbles hypnotiques, ses passes de génie et son sourire inaltérable, a ouvert une nouvelle ère pleine de spectacle. Le Brésilien a secoué les défenses et transformé chaque match en show. Ses exploits sont devenus des moments gravés dans les mémoires des fans parisiens. Un héritage rouge et bleu qui continue de fasciner au-delà du terrain Le maillot ne se contente pas de flirter avec le passé : il crie l’héritage du PSG. Forcément, il conserve les couleurs iconiques du PSG : le bleu, le rouge et le blanc. Le flocage du nom de Ronaldinho est proposé en édition limitée. De quoi transformer la pièce en un objet de collection. Et en même temps, on comprend : le porter, c’est revivre la magie des gestes fous qui ont é
Ce steak house parisien est officiellement l'un des meilleurs du monde

Ce steak house parisien est officiellement l'un des meilleurs du monde

Chez Time Out, on sait repérer un bon steak. Si bien qu’on vient de dévoiler notre liste des meilleurs steaks du monde. Des journalistes des quatre coins du globe ont mijoté ce classement qui couronne les morceaux les plus tendres et les restaurants les plus emblématiques. Et cette année, Paris n’a pas juste fait acte de présence : elle a carrément braisé la concurrence.  © Benedetta Chiala   Clover Grill de Jean-François Piège sacré dans le top 10 des meilleurs steaks au monde C’est Clover Grill, le repaire de Jean-François Piège (notre chronique, par ici) planqué à deux pas des Halles, qui s’empare de la cinquième place de notre palmarès mondial. Ici, on ne plaisante pas avec la viande : imaginez des morceaux d’exception – bœuf de Galice fondant, Wagyu japonais marbré ou Black Angus savoureux – caressés par les braises d’un charbon de bois joyeusement maîtrisé.    Clover Grill       © Clover Grill Ajoutez à cela une ambiance chic sans être guindée, des sauces qui tapent dans le mille, et des beurres aromatisés qui élèvent chaque bouchée à un niveau quasi spirituel. Le résultat ? Un repas qui vous colle le sourire pour le reste de la semaine. Alors oui, Agadir, Miami et Lisbonne squattent le podium, mais soyons honnêtes : un steak à la parisienne chez Piège, c’est autre chose. Le genre d’adresse où même un végétarien hésiterait à changer de camp. Une cinquième place largement méritée donc. Petite surprise : à la dixième place, Le Relais de Venise l’Entrecôte, une chaî
Une de nos boulangeries chouchoutes sort sa boîte à biscuits de Noël (avec tous nos gâteaux préférés dedans)

Une de nos boulangeries chouchoutes sort sa boîte à biscuits de Noël (avec tous nos gâteaux préférés dedans)

Si Noël avait une odeur, ce serait celle de Mamiche. Cette année, la boulangerie star du 9e fait revivre sa célèbre boîte à biscuits de Noël. Le principe est simple : vous passez dans une des deux boutiques, vous choisissez vos gâteaux préférés, et vous repartez plus heureux qu'en arrivant. Le coffret coche toutes les cases : du biscuit maison à l’odeur envoûtante, une sélection qui plaira autant aux kids qu’aux becs sucrés exigeants, et un packaging ultra-chou signé Odds Studio. Côté recettes, on retrouve les best-sellers qui font saliver chaque année, mais aussi de petits nouveaux. À la volée, par exemple : le mini kouglof (une brioche au beurre garnie de raisins secs et roulée dans du sucre à la cannelle), les thumbprint cookies au goût de cacahuète et graines garnis d’une confiture de framboise maison, le spéculoos craquant à la cannelle rehaussé d’un glaçage citronné, ou encore les "Mims" à l’orange, qui allient génoise aérienne, confiture d’agrumes et nappage chocolat. Cerise sur la guimauve : c’est dispo jusqu’au 31 décembre, donc parfait pour être glissé sous le sapin (ou à déguster avant l’overdose de bûches). Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par MAMICHE (@boulangeriemamiche) Où ? 45 rue Condorcet, 9e / 32 rue du Château d’Eau, 10eQuand ? jusqu’au 31 décembreCombien ? Prix selon la sélection Retrouvez par ici la recette des brownies de chez Mamiche.
Louis Vuitton installe un carrousel au beau milieu de la Place Vendôme

Louis Vuitton installe un carrousel au beau milieu de la Place Vendôme

Si vous pensiez que la Place Vendôme était déjà assez bling, attendez de voir ce que Louis Vuitton y a planté pour Noël, juste en face de sa boutique. Un carrousel pas banal tourne en boucle jusqu’à janvier. Et ici, pas question de chevaux en bois traditionnels : la Maison mise sur des animaux sculptés à l’image de ses campagnes de fêtes, du léopard chic à l’escargot facétieux en passant par une girafe qui ferait pâlir d’envie le zoo de Vincennes.   © Francesco Luciani / Louis Vuitton   Pas qu’un joujou de luxe, c’est aussi un clin d’œil à l’histoire. Inspiré par le carrousel drapé de velours présenté par Georges Vuitton à l’Exposition Universelle de 1900, l’installation revisite l’esprit du voyage, cher à la Maison. Les animaux colorés s’élancent sous une pluie d’étoiles en monogramme, histoire de rappeler que Louis Vuitton ne fait jamais rien à moitié. © Francesco Luciani, Louis VuittonArchives Louis Vuitton Monter à bord, c’est embarquer pour un tour du monde enchanté. Un feu d’artifice final, perché au-dessus de la Place Vendôme, parachève ce voyage onirique. Pas besoin de passeport pour ce petit moment de poésie : tout se joue ici, au cœur de Paris. Pourquoi on y court ? Parce que c’est gratuit, déjà. Ensuite, parce que monter sur un carrousel de lévriers et d’autruches, au pied de la colonne Vendôme, c’est quand même plus classe qu’un tour de grande roue à la Foire du Trône.   © Francesco Luciani / Louis Vuitton   Où ? Place Vendôme, Paris 1er - Accès gratuitQuan
Un "1, 2, 3 Soleil" géant sur l'avenue des Champs-Élysées pour le retour du phénomène "Squid Game"

Un "1, 2, 3 Soleil" géant sur l'avenue des Champs-Élysées pour le retour du phénomène "Squid Game"

Le 1er décembre, Netflix et le Comité Champs-Élysées ont métamorphosé la plus belle avenue du monde en un terrain de jeu démesuré pour fêter le retour tant attendu de Squid Game le 26 décembre. Un hommage à la série de Hwang Dong-hyeok, où 456 participants, tirés au sort parmi des milliers de volontaires, ont pris d’assaut l’avenue, prêts à tout pour "survivre" – on s'entend. Sous l’œil implacable de Young-hee, la poupée géante, les joueurs en survêtement vert se sont affrontés dans un "1, 2, 3 Soleil" grandeur nature, où chaque mouvement coûtait cher.  Les équipes, menées par les créateurs de contenu Maghla, Just Riadh et Inoxtag, ont guidé leurs troupes dans cette expérience où stratégie et esprit d’équipe étaient la clé de la survie. Après une première manche, le grand public a eu droit à une seconde session pleine de rebondissements. Les vainqueurs – Inoxtag et 68 autres pélos – ont décroché le jackpot : un ticket VIP pour la projection de Squid Game Saison 2 au Grand Rex, le 10 décembre. Game over ? Pas encore. 456 candidats, un seul gagnant : qui survivra à l'enfer des jeux d'enfants ? Si vous êtes passés à côté du phénomène Squid Game, imaginez un monde où l’argent est le seul jeu qui vaille. Squid Game, c’est un pari ultime : 456 joueurs endettés, prêts à tout pour une fortune qui pourrait leur redonner une chance de recommencer à zéro. Sauf que les règles sont simples, et le prix du ticket d’entrée, inhumain. Jeux d’enfants revisités en pièges m
Le ticket d’or de NESO : un an de dîners étoilés signés Guillaume Sanchez, ça vous tente ?

Le ticket d’or de NESO : un an de dîners étoilés signés Guillaume Sanchez, ça vous tente ?

Cette année, NESO, le spot étoilé du chef Guillaume Sanchez planqué dans le 9ᵉ, sort le grand jeu. Imaginez Willy Wonka, mais avec du beurre demi-sel et des assiettes où les produits bruts dansent la valse avec un savoir-faire millimétré.  Pour chaque bon cadeau pour deux chopé sur leur site, un ticket d’or pourrait bien s’y glisser. Et la récompense ? Une année entière à déguster leurs créations perchées, une bamboche étoilée chaque mois pendant 12 mois. Oui, vous avez bien lu : 2025 sous le signe de la (très) bonne bouffe. Pourquoi c’est fou ? Parce que NESO, ce n’est pas juste un resto, c’est un trip sensoriel où la fermentation côtoie des produits français aux petits oignons, le tout pour des assiettes qui bousculent les repères. Ici, pas de fioritures superflues. Autrement dit, vous devenez membre VIP d’un club ultra-privilégié. Alors, que vous soyez en mission pour dégoter un cadeau de Noël qui sort du lot ou juste à la recherche d’une excuse béton pour tester cette table dont tout Paris cause, filez acheter un bon cadeau. Pas de ticket d’or ? Pas grave, vous repartez quand même avec une expérience qui reste en tête. Franchement, il y a pire. Où ? 3 Rue Papillon, 75009 Paris
Des repas gastronomiques au milieu d’un chantier haussmannien avec l’un des meilleurs chefs de sa génération

Des repas gastronomiques au milieu d’un chantier haussmannien avec l’un des meilleurs chefs de sa génération

Du 10 au 16 décembre 2024, We Are Ona déménage ses fourneaux dans un décor inédit : un appartement parisien éventré, en pleine mue, posé en majesté rue de Rivoli avec vue royale sur les Tuileries. Adresse qui devient une oeuvre d'art grâce à la vision d'Alexandre de Betak, surnommé le « Fellini de la mode », et à la direction artistique de Luca Pronzato, fondateur de We Are Ona. © We Are Ona Imaginez un joyeux capharnaüm où des moulures haussmanniennes cohabitent avec des échafaudages en acier, où un parquet grinçant flirte avec des murs à nu, et où l’effervescence d’un chantier devient le décor d'une expérience hors normes. Alexandre de Betak, pape de la scénographie immersive, s’empare de ce chaos organisé et le transforme en un tableau vivant. Il fait de chaque fissure et écharde un élément clé de sa mise en scène. Alexis Bijaoui en cuisine Alexis Bijaoui par © Anne-Claire Héraud Pour compléter cette expérience singulière, le chef Alexis Bijaoui, ancien de l’Auberge de la Roche, signe le menu. Formé à la dure école des étoiles, entre le Relæ de Copenhague et L’Arpège d’Alain Passard, Alexis Bijaoui a aiguisé son art avec un double mantra : audace et respect absolu du produit. Après avoir pris les rênes de Garance à Paris, il s’exile dans le Mercantour pour co-fonder L’Auberge de la Roche, où il magnifie le terroir, toujours obsédé par le maraîchage et les richesses de la mer. Ici, ses plats, tout en reliefs et textures, jouent sur l’idée de déconstruction et d
Voici l'endroit le plus cool où s'envoyer un kebab à Paris ce week-end

Voici l'endroit le plus cool où s'envoyer un kebab à Paris ce week-end

Ce dimanche 1er décembre, direction Montmartre. On oublie tout ce qu'on sait sur le kebab et on file rue Ramey, dans le 18e, pour la troisième édition de DÖNER TAKEÖVER. Le brief : à chaque édition, Mehmet, sérieux prétendant au titre de meilleur kebab de Paris, invite des chefs à s'approprier l'art du döner. Pour leur première tambouille, Julien Catelain et Matthieu Haddak, les proprio (deux copains, ex-Servan), ont reçu Aaron J. Rosenthal, ancien sous-chef du Septime et spécialiste du labneh chez Adar. Puis, ça a été au tour d'Antoine Villard, aussi passé par les cuisines du Septime, celles de Double Dragon, le tout avant d'ouvrir son propre bistrot, le Dandelion. Pour ce nouveau round, deux talents du quartier s’attaquent cette fois à la broche ; Antonin Girard, chef à la tête de Pantobaguette, en contrebas, et Minh-Tri Tran Dinh, cuisinier itinérant de génie et voisin bien connu des locaux. Résultat, au menu du brunch ce week-end : poitrine de veau au yaourt et gochujang, XO-viet-d'anchois, radicchio, coriandre et guindillas (des piments doux). Et, bien sûr, une tripotée de mezze et d'à-côtés type frites en double cuisson avec mayo blanche et sriracha au potiron fumé, chou fleur frit-ketchup gochujang et sésame torréfié, ou encore des wings marinés rôtis, condiment citron, kaffir et coriandre. Un kebab qui fait le grand écart entre Méditerranée et Asie. Côté pratique, c’est walk-in only : pas de réservation, premier arrivé, premier servi. Ça se passe au 43 rue Ramey, dans
Lacoste x Maison Château Rouge : la collab’ qui va faire parler tout Paris

Lacoste x Maison Château Rouge : la collab’ qui va faire parler tout Paris

C’est l’union du beau sportif et du streetwear métissé. Lacoste, roi du court depuis 1933, s’invite à Château Rouge pour parapher une collaboration qui fait frétiller les coutures de la mode française. Huit pièces textiles et quatre modèles de sneakers : des vêtements comme des messages, qui tissent le lien entre la banlieue des années 90 et la coquetterie de la SAPE (Société des Ambianceurs et des Personnes Élégantes). Une garde-robe comme un dialogue. Tout ça quelque part entre le patrimoine africain et l’ADN du sport français. Pour (re)situer : Maison Château Rouge, bastion de créativité installé dans le quartier éponyme du 18e, porte depuis 2015 la voix de la diaspora africaine. Sous la direction de Youssouf Fofana, les vêtements de la marque incarnent un Paris cosmopolite, graphique, habité. [Avant la mode, Youssouf Fofana bossait en banque. En 2012, avec son frère Mamadou, il claque tout pour lancer Les Oiseaux Migrateurs, un projet qui booste l’artisanat africain et aide les petites boîtes du continent à s’envoler.] Face à elle, Lacoste, avec son polo immaculé et son reptile notoire, incarne la grâce discrète et le mouvement.   Lacoste x Maison Château Rouge   Coutures apparentes, crocodile doré, semelles intérieures imprimées de motifs wax revisités : ici, tout se lit à plusieurs niveaux. La veste zippée et le polo à manches longues reprennent les codes classiques de Lacoste, mais se parent d’une identité hybride qui chante la rencontre. Les baskets, elles, jouent a
Paris classée parmi les 100 meilleures villes du monde (mais pas à la première place)

Paris classée parmi les 100 meilleures villes du monde (mais pas à la première place)

Notre chère capitale s’installe sur le podium des meilleures villes du monde selon le dernier classement de Resonance Consultancy – elle décroche la 3e place. Mais gardez vos cocoricos pour plus tard : Paris, bien que fidèle au sommet, laisse Londres sur le trône. Dix ans que la ville britannique domine avec une régularité presque agaçante, comme si Big Ben donnait le tempo d’un règne sans fin. Paris, dans la cour des grands (mais toujours pas reine) ! « Resonance a de nouveau analysé les principales villes des grandes zones métropolitaines mondiales de plus d’un million d’habitants », explique Chris Fair, président et PDG de Resonance. « Notre objectif, depuis une décennie, est de proposer l’approche la plus complète et holistique pour mesurer et comparer la perception et les performances des villes. » En clair : on passe chaque métropole au scanner, du béton aux selfies, et on leur attribue une note en combinant des données tangibles et les impressions subjectives de 22 000 sondés dans 31 pays. Paris ? Elle coche toutes les cases avec son patrimoine, sa gastronomie et sa culture, mais reste plantée là. Pendant ce temps, Londres rafle tout : touristes, investisseurs, et même les nuages et la pluie deviennent un argument marketing. « En croisant les destinations qui viennent spontanément à l’esprit des gens lorsqu’ils pensent à où vivre, travailler et voyager avec l’évaluation rigoureuse des lieux que Resonance mène depuis près d’une décennie, nous avons créé une évaluation
ASICS organise une grosse bringue gratuite (mais girls only)

ASICS organise une grosse bringue gratuite (mais girls only)

C’est l’histoire d’un vétéran militaire qui a troqué l’uniforme pour des baskets. En 1949, Kihachiro Onitsuka, convaincu que le sport est la clé d’une vie saine et équilibrée, fonde Onitsuka Co. à Kobe, au Japon. Avec une poignée d’employés et des moyens plutôt limités, il commence à concevoir des chaussures pensées pour les athlètes de haut niveau. Il s'attaque d’abord au basketball. Mais son ambition ne s’arrête pas là. Onitsuka rêve grand : il veut créer une marque qui donnerait à tout le monde – du coureur du dimanche au champion olympique – l’envie de bouger et de se dépasser. Pari réussi. Son petit atelier devient le mastodonte du sport ASICS ; ou le dicton Anima Sana In Corpore Sano. En français, pour ceux qui n'auraient pas fait latin LV3 : "un esprit sain dans un corps sain". "No Shame, More Game" : un karaoké géant 100% filles signé ASICS [Pour la petite histoire, c’est une salade de poulpe qui a donné naissance à l’une des premières pépites d’ASICS. Oui, vous avez bien lu. Fasciné par la succion des tentacules, Kihachiro Onitsuka a eu l’idée de créer une semelle qui colle au sol comme un poulpe à son rocher. Le résultat ? Une chaussure baptisée « Onitsuka Tiger », qui a changé la donne pour les athlètes. Une idée aussi improbable que géniale, et franchement, on applaudit l’audace.]  C’est exactement cet esprit qui plane sur "No Shame, More Game", la soirée karaoké 100 % filles signée ASICS à la Nouvelle Ève. Fidèle à la vision de son fondateur, la marque fête le d