Houssine Bouchama

Houssine Bouchama

Directeur de la rédaction, Time Out Paris

Articles (182)

Les meilleurs hôtels pour s'envoyer en l'air à Paris

Les meilleurs hôtels pour s'envoyer en l'air à Paris

Envie de s’envoyer en l’air sans réveiller les voisins ? Préparez votre baise-en-ville, direction (en tandem) une chambre dans un hôtel qui déboîte ! Murs capitonnés, draps en soie, miroir au plafond, spa privatisable… Voici nos meilleurs plans pour un moment luxure, halètements et volupté.
Les meilleurs bars de nuit à Paris

Les meilleurs bars de nuit à Paris

Deux heure du matin, l'heure fatidique : le bar où vous étiez bien arrimé n'a pas l'autorisation de nuit et doit fermer. La question brûle alors les lèvres du groupe, chacun la redoute mais quelqu'un finit toujours par la tenter : « Alors, on fait quoi maintenant ? » Si Paris compte de nombreux et d'excellents clubs, quand il s'agit de trouver un bar ouvert après 2h, l'offre se réduit comme un crop top lavé à 90°C. Pas très pratique quand on a la flemme de danser (et de lâcher un bras pour le moindre shot). Alors, où va t-on quand on souhaite simplement refaire le monde autour d'une bière, d'un cocktails ou d'un verre de vin tout en attendant le petit matin ? Voici une sélection des meilleurs bars qui brillent dans la nuit les soirs de week-end, et parfois même de semaine.  En quête de bons plans ? Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir une fois par semaine le meilleur de Paris.
Les meilleurs restaurants gastronomiques de Paris

Les meilleurs restaurants gastronomiques de Paris

Un repas gastronomique ne se résume pas à une histoire de prix. Ou pour le dire autrement, ce n’est pas parce qu’un resto est cher qu’il se retrouve dans cette sélection. Certes les adresses sélectionnées se montrent toutes bien plus couteuses que le kebab du coin, mais on a voulu privilégier l’audace des recettes, la maitrise technique, l’équilibre des goûts… Et si le service ne nous donne pas l’impression d’être un smicard au salon du yacht, c’est encore mieux. Tout cela aboutit à une alchimie enthousiasmante, un moment de plénitude qui reste gravé dans les souvenirs. Alors par ici pour trouver les meilleures tables gastronomiques de Paris, japonaises, italiennes ou françaises. Bonne dégustation !
20 artworks in Paris to see before you die

20 artworks in Paris to see before you die

Paris has an incredible number of museums and galleries and you can find some of the world’s most famous artworks in their permanent collections. Add to that the many world-class exhibitions that come to town every year and it can be difficult to know where to start. To make it simpler, we’ve rounded up some of the very best artworks in Paris’s permanent collections. This isn’t a list of the city’s most famous artworks (although you can find a short roundup of those pieces and their whereabouts in the paragraph below); rather, this list highlights those slightly less well-known pieces that are still a must-see for any art lover in Paris. What is the most famous artwork in Paris? Undoubtedly, Da Vinci’s ‘Mona Lisa’ is the most famous painting in Paris (never mind that it was actually painted by an Italian, in Italy). An estimated three-quarters of the museum’s 30,000 daily visitors make the pilgrimage to see the painting, so to cope with these high numbers, the Louvre has announced some major changes. But what are the other famous artworks in Paris? Some of the most iconic include ‘Liberty Leading the People’ by Eugène Delacroix (Louvre), ‘Aphrodite of Milos’ (also known as the Venus de Milo) by Alexandros of Antioch (Louvre), ‘Starry Night Over the Rhône’ by Vincent van Gogh (Musée d'Orsay), ‘Self-Portrait’ by Vincent van Gogh (Musée d’Orsay), ‘Water Lilies’ by Claude Monet, (Musée de l’Orangerie). RECOMMENDED: 🎟️ The best things to do in Paris🎷 The best jazz bars in Paris?
Les meilleurs fleuristes de Paris

Les meilleurs fleuristes de Paris

Ras-le-bol de la grisaille urbaine et du bitume, où le moindre brin d'herbe ne se risque plus depuis longtemps ? Et si votre 30 m² se transformait en un havre de paix ? Ne cherchez plus à pousser les murs, mais remplacez vos étagères surchargées de babioles par des pots de fleurs. Allez hop, on remonte ses manches, on met les mains dans la terre, on arrose, on rempote ! Par ici les plus beaux bouquets de fleurs fraîches ou séchées. On a écumé la capitale pour vous dénicher la crème de la crème, le nec plus ultra en matière de fleuristes parisiens. Un dossier idéal si vous cherchez un cadeau stylé pour la Saint-Valentin, la fête des mères (et pères !) ou l'anniversaire d’un pote... Flower power !
Les meilleurs restaurants branchés de Paris

Les meilleurs restaurants branchés de Paris

Si les détails d’un lieu « branché » varient avec le temps (souvenez-vous les décos d’Ora Ito ont été à la mode... ca fait relativiser), le principe, lui, reste intangible depuis les premières huttes humaines : ce sont les endroits qui cochent toutes les cases du loto de l’époque tant en termes de nourriture (les tapas hier, le végétal demain ?) que d’atmosphère. Des lieux où la clientèle, le look et la musique comptent autant que l’assiette. On y va pour glaner le futur du cool ou se sentir adoubé par la grande famille de la hype, mais aussi pour dauber sur le retour de Von Dutch (mais vous aviez dit la même chose de la banane), avant d’aller guincher dans le club qui va bien. Bref, pendant ou après la Fashion Week on a tous une bonne raison de chercher les restaurants les plus branchés de Paris. Enfilez vos claquettes Lidl et en avant !
Guide anticrise : où (bien) manger pas cher à Paris ?

Guide anticrise : où (bien) manger pas cher à Paris ?

C’est un peu la cata en ce moment, entre l’explosion du coût des matières premières, l’inflation galopante, le personnel qui demande à être payé décemment… Non, vous ne lisez pas le début d’un édito des Echos mais l’explication, dans les grandes lignes, du pourquoi vous déglutissez bruyamment au moment de payer l’addition de ces petites “assiettes à partager (ou pas)”. Selon le Groupement des hôtelleries et restaurations, les prix au restaurant ont augmenté de 8 % en 2023. Mais pas de panique, Time Out a fourbi son bouclier anti-vie chère en sélectionnant des adresses qui rognent sur leurs marges mais pas sur la qualité, des lieux où l’on peut bien manger pour 20 € max, confortablement assis dans une salle. A noter que nous avons sorti de la sélection les sandwichs, qui ont leur dossier à eux et les traiteurs à emporter. Suivez le guide (gratuit) pour savoir où manger pas cher à Paris ! Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.
Les 100 meilleurs films français de tous les temps

Les 100 meilleurs films français de tous les temps

Si les paillettes d’Hollywood nous le font parfois oublier, il est bon de rappeler que le cinéma a été inventé par les Français, et que l’histoire du 7e art doit beaucoup au regard et au savoir-faire hexagonal. Là-dessus, on s’est demandé quels étaient les meilleurs films français jamais créés. Débat épineux s’il en est : il aura bien divisé la rédaction – et brisé bien des ego –, et on sait que vous nous ferez le plaisir de remuer le couteau dans la plaie dans la section commentaire (QUOI ?! Vous n’avez pas mis Les Visiteurs dans le classement ?! Je déteste les Parisiens !!, etc.) Lâchez-vous : votre avis nous intéresse (mais restez polis). De Renoir à Méliès en passant par Varda, Carax, Godard, Denis ou Kechiche, vous trouverez donc dans ce classement, modestement dicté par nos émotions et tempéraments, les 100 films français préférés de Time Out Paris, entre classiques des années 60 et pépites du cinéma moderne. Pour n’oublier personne et faire plaisir à tout le monde, on est allé fouiner dans le cinéma d'auteur avant de se perdre aux confins de l'horreur, sans oublier de faire un détour par la science-fiction ou vers les cimes du romantisme… Bonnes séances !  
Nos meilleurs plans d’hôtels pas (trop) chers à Paris

Nos meilleurs plans d’hôtels pas (trop) chers à Paris

Après deux trois jours à Paris, on le sait : cette ville en veut à notre porte-monnaie. Et trouver un chouette endroit où passer la nuit sans trop se ruiner semble parfois plus compliqué que de retrouver votre pote bourré en soirée. Dans les deux cas, l’idée est d’éviter de passer la nuit dehors sans savoir où chercher. Pour vous éviter des nœuds au cerveau, on a écumé la ville pour dégoter ses hôtels les plus quali à “petits” prix (une notion toute relative ici), avec des chambres à moins de 150 €. La bonne nouvelle, c’est qu’entre les lieux de vie tout compris à la cool et quelques jolis hôtels quatre étoiles, il y a de quoi se faire vraiment plaisir. Et pour un séjour encore moins cher, on ajoute nos auberges de jeunesse nouvelle génération préférées, où les adultes un peu raides mais très détendus seront plus que bienvenus. Avec ça, il devrait vous rester de la monnaie pour une petite bière. 
The 50 best cities in the world in 2025

The 50 best cities in the world in 2025

People who don’t live in cities will tell you they’re busy, lonely and expensive places. But there’s a reason so many people choose to live in them: with world-class art and culture, unbeatable food and nightlife, buzzing neighbourhoods and a dizzying amount of stuff to do and see, there’s simply no better place to be.  Every year, we take the pulse of city living by quizzing thousands of locals across the planet about life in their hometowns. This year, more than 18,500 city-dwellers shared their insights on everything from food, nightlife and culture to affordability, happiness and the overall city vibe. When urban living can sometimes feel isolating and costly, this year we wanted to get a sense of what, exactly, makes a city feel like home. Sure, the nightlife is great, but is the city safe and walkable? Is good quality food and art available at a reasonable price? Is it easy to make friends, find love, and access nature?  Livability was a key factor in our ranking this year. But a great city to live in is, naturally, a great city to visit. So, along with the thousands of responses from locals around the world, we asked Time Out’s global network of city experts to vote on the places they think are particularly exciting right now. After crunching all that data, here we are: Time Out’s definitive ranking of the world’s best cities in 2025. Read on to see how your hometown fared… RECOMMENDED:🛍️ The coolest neighbourhoods in the world right now🌎 The best things to do in the
The 13 best sushi restaurants in Paris

The 13 best sushi restaurants in Paris

Sushi may have been invented in Japan in the nineteenth century (although the techniques it employs go back even further), but its popularity has truly skyrocketed in the last thirty years – and nowhere more than France. In fact, les Français have become the largest consumers of sushi in Europe. But not all sushi is created equal: quality ingredients are paramount, as is the chef’s skill, with the best in the biz training for years to hone their technique. Our local editors have tried and tested sushi restaurants across the city to compile this list, bringing you the 13 best. From the Michelin-starred Sushi B to the more affordable Totto, there’s something for everyone on this list. RECOMMENDED: 🍴 The most romantic restaurants in Paris🍸 The best speakeasies in Paris🍮 The best restaurants in Paris🎨 The best things to do in Paris📍 Where to stay in Paris This article was written by the editorial team at Time Out Paris. At Time Out, all of our travel guides are written by local writers who know their cities inside out. For more about how we curate, see our editorial guidelines. 
Incontournables à Marseille : 50 plans à faire au moins une fois

Incontournables à Marseille : 50 plans à faire au moins une fois

Galeries d’art, restos branchés, plages confidentielles… Dans ce dossier plus costaud que la cuisse de Taye Taiwo, Time Out vous distille les meilleures choses à faire en ville, tous genres confondus. Pour pondre cette sélection tapin large (50 plans !), nous avons quadrillé tout Marseille, des calanques à l’Estaque, pour en extraire la crème de la crème. Guitounes à pizza, clubs underground, terrasses les pieds dans l’eau… De quoi se payer une bonne tranche de vie phocéenne !

Listings and reviews (399)

Le Meurice

Le Meurice

5 out of 5 stars
Et si le Meurice était le plus bel hôtel du monde ? Derrière ce chauvinisme à peine voilé, force est de constater que cet hôtel néoclassique, cinq étoiles, 160 chambres et sept étages au compteur, domine majestueusement les Tuileries et l’hôtellerie de luxe depuis près de 190 ans ! À l’image de ses espaces communs (mosaïques au sol, lustres opulents, déco de style Louis XVI revisitée par Philippe Starck), tout ici respire le luxe et l’élégance. Au menu de cette parenthèse enchanteresse ? Une pause régénératrice délivrée par la Maison Valmont, entre hammam, sauna et salon de massage ; un tea time signé Cédric Grolet, superstar de la pâtisserie aux 9 millions d’abonnés sur Insta, qui percole une sélection de douceurs en trompe-l’œil servies dans un service en porcelaine tout simplement parfait. Ou encore le restaurant Le Meurice Alain Ducasse, où le boss de faim de la gastronomie donne les clés au surdoué Amaury Bouhours. Résultat : le graal de la cuisine française, comme ces huîtres, granité gin tonic et concombre ou ce veau grain de soie grillé, olives cassées de Nice et menthe), à boulotter dans une salle majestueuse digne du Château de Versailles. Les amateurs de cocktails, eux, pourront se lover dans les confortables fauteuils en cuir du bar 228, boudoir cosy caparaçonné de moulures, idéal pour siroter l’un des meilleurs Negroni de Paris sur fond de mélopées jazzy. Côté chambres, si la suite Belle Etoile, perchée au septième étage, offre depuis sa terrasse une vue panorami
Mandarin Oriental

Mandarin Oriental

5 out of 5 stars
Dans une ville aussi concurrentielle que Marrakech, où ryads et hôtels de luxe se disputent chaque ruelle, le Mandarin Oriental sort du lot et s’impose comme l’un des (si ce n’est le) meilleurs établissements de la ville. Sa formule ? Simple comme salam : offrir à chaque invité une villa en guise de chambre, conçue pour remettre les compteurs à zéro. Le groupe s’est adjoint les talents de Gilles & Boissier, duo d’archi stars qui réinvente les codes berbèro-mauresques avec une touche de luxe contemporain. Résultat : chaque suite est un petit palais, avec piscine privée, lit extérieur pour ronfler entre deux brasses, chambre spacieuse avec jacuzzi au pied du lit, et salle de bains avec baignoire XXL et produits Diptyque…  Côté espaces communs, le duo a dessiné un hôtel si vaste qu’on s’y perd avec plaisir entre œuvres d’art contemporain, bassins démesurés et jardins sur 20 hectares peuplés d’oliviers, palmiers et quelques 100 000 roses. Cerise sur le m'chawek : au Mandarin, on mange (très) bien ! Mention spéciale au Jardin Potager, où fruits, légumes et herbes cultivés sur place accompagnent le méchoui. Et au Shirvan, où Akram Benallal retrace avec brio la route de la soie : huîtres à la chermoula, épaule d’agneau confite, daurade au massala… Pour digérer, on plonge dans l’une des deux piscines (dont une en intérieur). Puis on profite du hammam marocain ou du spa, où on a reçu l’un des meilleurs massages de notre vie…
Arev

Arev

4 out of 5 stars
Encore un hôtel cinq étoiles à Saint-Trop ? Dans la station balnéaire la plus célèbre de France, où les établissements de luxe foisonnent au risque de frôler l’overdose, force est de constater que ce tout nouvel hôtel, ouvert au printemps dernier, possède de sérieux atouts pour attirer le chaland. Bienvenue chez Arev, qui a posé ses cliques et ses draps à deux enjambées de la Place des Lices, dans ce qui fut autrefois le Lou Troupelen. L’ambition ? Offrir un “chic décontracté” en revisitant les codes du Saint-Tropez d’antan. Et le pari est réussi. Pour y parvenir, le groupe indépendant s’est associé à la superstar madrilène Luis Bustamante, qui signe ici un total look maximaliste et coloré. Le designer a imaginé une déco aux allures de maison de vacances sur la Riviera : rayures à gogo, clins d’œil maritimes et triptyque bleu-blanc-rouge aux murs. L’ensemble joue avec les textures – toile de Jouy, peintures à la chaux en hommage aux villas tropéziennes et céramiques locales. Alors certes, c’est très chargé, flirtant parfois avec la faute de goût (notamment cette fausse bibliothèque aux livres découpés puis collés), mais ce style « more is more » respire un charme désinvolte, typiquement tropézien. Le gros plus d’Arev ? Son cadre extérieur, impressionnant : 6 hectares de jardins méditerranéens aménagés par le paysagiste Jesús Ibáñez, où se mêlent 1000 variétés de plantes, à admirer entre deux brasses dans la piscine chauffée à l’année (26 degrés). L’hôtel propose aussi un cour
La Ponche

La Ponche

5 out of 5 stars
Ancien caboulot de quartier, bar de pêcheurs aux faux airs de cabaret populaire, La Ponche est aussi l’un des plus vieux hôtels de Saint-Tropez, auquel des vedettes comme Romy Schneider et Françoise Sagan ont juré fidélité. Repris en 2021 par l’architecte d’intérieur Fabrizio Casiraghi, l’hôtel est entré dans le troisième millénaire tout en gardant son charme d’origine. Casiraghi l’a réimaginé en une "maison de vacances provençale face à la mer", où têtes de lit en fer forgé, tapis couleur cognac, appliques en forme de feuillage et mobilier chiné s’intègrent parfaitement à une élégante modernité. Pas de bling à La Ponche, mais un luxe discret et intimiste qui fait toute la différence. Les salles de bains sont hyper élégantes, certaines chambres surplombent la Grande Bleue et le personnel, à la fois drôle et professionnel, en font sans conteste le meilleur hôtel de Saint-Trop’. Côté cuisine, Thomas Danigo propose une carte méditerranéenne sophistiquée, avec une forte appétence pour la pêche du jour. Lors de notre passage : tartelette de brousse aux herbes, crudo de thon rouge et tarama, espadon grillé avec blettes colorées et riz de Camargue... Tout à savourer sur la terrasse avec vue sur la mer ou dans la salle ornée des fresques d’Elvira Solana. Le bar, quant à lui, perpétue son histoire légendaire : ancien repaire de l’intelligentsia, il aurait même vu naître l’idylle entre Sartre et Beauvoir. Aujourd'hui, son nouveau piano-bar, au décor feutré et aux cocktails en hommage à
La Voile

La Voile

5 out of 5 stars
Perchée entre mer et collines, La Voile à La Réserve Ramatuelle offre un panorama de zinzin sur la Méditerranée, star incontestable des lieux. Mais le décor signé par l’indéboulonnable Jacques Garcia, tout en élégance et en épure, vaut aussi le coup d’œil avec son omniprésence de blanc et de bois, son olivier qui campe au milieu, et ses dizaines de céramiques de Vallauris disséminées ici et là… La table idéale ? Celle en tête-à-tête avec la mer, les yeux dans le bleu ! En cuisine, Éric Canino, ancien bras droit de Michel Guérard, propose une approche méditerranéenne de la cuisine du bien-être, chère au chef récemment disparu. Ici, contrairement à la grande majorité de gastro, la "santé" prime sur le bicarbonate de soude. Le plaisir ? Il n’est pas boudé pour autant : l'huile d'olive, fil rouge du repas, provient des oliviers de Madame et Monsieur Hoche et sublime chaque assiette. Le combo langoustine/caviar, génial, nous bouscule avec sa sauce puissante et structurée qui rehausse les saveurs marines. La volaille de Bresse et homard, quant à elle, est une grande leçon de terre-mer, tandis que la raviole de homard au mascarpone apporte un crémeux irrésistible. Bref, vous l’aurez compris : ça cuisine fort par ici ! Pour les desserts, Julien Coulomb, ancien du Cinq et de Plénitude (aux côtés de Maxime Frédéric), nous a proposé l’un des desserts de l’année : un chocolat Mayan Red, accompagné d'une gavotte craquante, avec des notes de whisky et vanille torréfiée. Comme si ce n’était
CopperBay Marseille

CopperBay Marseille

5 out of 5 stars
L'équipe du CopperBay parisien, kiffant les ambiances marines et les cocktails qui cinglent vers l'excellence, se rapproche logiquement de la mer en amarrant son adresse marseillaise à trois encablures (soit 600 mètres) du Vieux-Port. À l'intérieur, on retrouve les marqueurs yacht-club du bar de la capitale : murs bleu océan, chaises en osier, cuivre et cordage omniprésents… À la carte, qui change régulièrement, les cocktails (12€) ont pris un bon coup de soleil, à l’image de ce gourmand Pulpy à base d’ananas, citron vert, moutarde, bourbon, shochu 3S Yanagita Aokage. Ou ce tout en fraîcheur Vermouth Chaï, pisco, cognac, verjus, bissap fleur d’oranger. Marseille oblige, il y a aussi une collection de pastis du monde entier. Pour repartir sans tituber, la fine équipe propose une super carte de solide, à dévorer sur du bon rap US : croustillant d’agneau et patate douce, naan aux asperges, feta et yaourt, pâtes Calamareta, crème de chou-fleur et noisettes du Piémont… Le meilleur bar de Marseille ? Probablement !
AM par Alexandre Mazzia

AM par Alexandre Mazzia

5 out of 5 stars
Framboise-harissa, anguille-chocolat, semoule-crabe… Derrière ces associations aussi improbables qu’un featuring entre Bernard Tapie et Doc Gynéco se cache Alexandre Mazzia, 1,95 mètre au compteur, ancien basketteur devenu MVP des fourneaux – c’est d’ailleurs lui le chef des prochains JO ! Son plus grand exploit ? Avoir placé la cité phocéenne sur la carte de la haute gastronomie mondiale avec des plats aux accords oxymoriques. Lors de notre dernier passage, dans un décor épuré mêlant matériaux naturels et éclairage tamisé, le bonhomme a déployé un menu voyageur absolument stupéfiant, composé de 40 plats (on a compté). C’est simple, Mazzia dunke sur nos certitudes en jouant sans relâche des épices, piments, fumées et torréfactions… A l’image de ces pastèques marinées et brûlées, jus de queue de bœuf, popcorn d’algues et peau de piment, servi avec un merlan de ligne, cerise pimentée, gel aigre-doux et jus vert satay. Une cuisine hors sol ? Pas vraiment, tant Mazzia lorgne vers la Méditerranée et son Congo natal, comme avec ce dessert (mon Dieu) à base de tamarin-hibiscus, banane caramélisée et feuillantine.Pour faire glisser tout ça, l’équipe a eu la brillante idée de parier sur du champagne, avec une carte particulièrement savante oscillant entre grandes maisons et petits vignerons nature. Trois conseils pour finir : optez pour le menu en cinq temps uniquement si votre appétit est digne de deux ogres ; choisissez un siège au comptoir pour être au cœur de l'action, la cuisine
Silencio

Silencio

5 out of 5 stars
Sculpté par David Lynch, Le Silencio, qui tient son blaze du rade fétiche où les personnages de Mulholland Drive viennent chercher de quoi irriguer leurs veines, se targue d’être l’un des clubs les plus selects et les plus convoités de la capitale. C’est un peu vrai, avec sa carte de membre qui n’est délivrée qu’à ceux dont le CV présente des qualités artistiques et financières satisfaisantes. Et aux veinards qui ont un « nom-sur-la-liste ». Après minuit, tout est possible Ce qui ne veut pas dire que les autres sont forcément condamnés à rester à la porte. A partir de minuit, le Silencio fait quelques efforts pour se transformer en citrouille en accueillant un public méchamment sapé, ravi de scruter un peu de faune VIP et d’éplucher le décor de cette terrière voûtée avec ses murs en feuilles d’or et son mobilier rétrofuturiste.  Si vous avez réussi à convaincre Vassili, le physio, vous gagnez le droit d’aller déambuler dans ce dédale souterrain composé d’un cinéma, d’une galerie d’art, d’un bar à cocktails (plus que correct pour un club) et d’une scène où jouent les DJ les plus branchés du moment dans la capitale, du mercredi au samedi de 23h à 6h. La programmation oscille entre avant-premières de films, performances, expositions, book club, concerts (Blood Orange, Yves Tumor…), mais on y va souvent sans but pour passer une nuit dans un décor de cinéma.  Côté billetterie Pour vous assurer une place dans le club confidentiel de Lynch, il faudra faire une demande de carte de me
Les Bains

Les Bains

4 out of 5 stars
Bienvenue dans le club mythique et déglingué qui a sacralisé le Marais dans les années 1980, et qui a vu bourlinguer en son sein les Nicholson, Warhol et autre Saint-Laurent… Si le lieu a bien évolué en trente piges, pas de quoi ressasser le leitmotiv « c’était mieux avant » : Jean-Pierre Marois, producteur du Babel d’Iñárritu, a renoué avec les années paillettes en remettant un bon coup de défibrillateur à ce temple de la nuit parisienne. Entre maison particulière, hôtel, restaurant et club, Les Bains est devenu un lieu de vie à 360 degrés. Et surtout, on y trouve toujours l’envie de prolonger une tradition issue de ses premiers balbutiements en 1885 : celle de boxer dans la catégorie des thermes privés grâce à ce bain accessible en journée (et en peignoir) quand on est résident.  Une prog très parisienne Au sous-sol, le club et son fameux dancefloor à damier noir et blanc de Starck accueille toujours (à condition de passer le grand monsieur à l’entrée) ses soirées moites avec tout le gratin des dragueurs de plans « in ». Sur scène ? Une programmation qui pousse à fond le curseur de l’éclectisme, allant de Yasiin Bey au label franco-japonais Kitsuné, et une flopée de DJ habitués du circuit clubbing parisien.  Côté entrée Les Bains accueillent des concerts et des DJ sets tous les vendredis et samedis de minuit à 4h30 du matin, avec entrée gratuite, mais pas garantie. Et tous les ans, le lieu se fait une orgie de musique en mars avec Les Bains Festival sur trois jours – sans o
Cheval d'Or

Cheval d'Or

4 out of 5 stars
Après avoir ambiancé les meilleurs restos en ville (Fripons, Verjus, David Toutain), le quarté Luis Andrade, Hanz Gueco, Crislaine Médina et Nadim Smair a réussi à revivifier ce Cheval d’Or, claudicant depuis la disparition de son jockey, feu Taku Sekine. Le canasson ne change pas de ligne. Façade rutilante de bouiboui chinois datant de 1987 ; intérieur tout en murs grattés et suspensions en alu, caréné par le studio Ciguë (le Doyenné, c’est eux) ; et une fusion sino/bistro next gen mais chèrement facturée (comptez 14 € pour une salade de carottes…). Dans l’assiette, les zigues ont imaginé une carte solide qui joue des textures et des cuissons. On y trouve des grands classiques de la popote pékinoise (modèle de canard laqué farci accompagné de concombre et sauce hoisin maison), des revisites malines de plats franchouillards (merveille de croque-madame aux crevettes, œuf au plat, huile piment et mayonnaise, clairement le meilleur plat de la carte) et même un twist italien (raviolis agnolotti à la mayo tofu, porc haché, shiitakés, ricotta et cébette qui assurent grave en fondant). Pour s’hydrater ? On recommande une macération italienne qui matche parfaitement avec la cuisine chinoise, à l’image de ce Mosca 2022 de Cantina Indigeno, si délicat pour un vin de soif (55 € la quille). Un pur jus qui passe crème, comme tout le reste. Surtout quand il est servi par l’un des staffs les plus gentils de Paris… Chez Time Out, tous les établissements sont testés anonymement par nos jo
Spa Peninsula

Spa Peninsula

5 out of 5 stars
Le plus grand spa d’hôtel de Paris ! Soit 1 800 mètres carrés de pur kiff et de pratiques héritées de la médecine asiatique dans un des palaces les plus tape-à-l’œil qu’on ait vu à ce jour (mon Dieu, ce lobby caparaçonné de marbre). Le parcours du spa s’ouvre avec le salon de thé, avant de laisser place aux hammams, sauna et piscine de 20 mètres de long, idéale pour méditer en mode avion avant de se faire dorloter dans l’une des huit salles de soin, où une armée de praticiens beauté mêle une approche clinique à des pratiques holistiques. A l’image de Sofia Chahir (ex-Royal Monceau et une des meilleures masseuses en ville), qui nous laisse choisir notre huile aromatique avant de nous tartiner généreusement la peau afin d’atténuer stress et anxiété. Les produits sont signés Biologique Recherche, marque française qui jouit d’une expertise quasi pharmaceutique. Petite spécialité de la maison, des soins spécialement conçus pour les femmes enceintes et les jeunes mamans (440 € les 2 heures, mais elles le méritent, OK ?) 
Hôtel Raffles Royal Monceau Paris

Hôtel Raffles Royal Monceau Paris

5 out of 5 stars
Hôtel 5 étoiles - Palace Prix d'une chambre : A partir de 730 € la nuit Le petit plus de l'hôtel : Le petit déjeuner buffet pantagruélique et la salle de cinémaServices : Wifi, films gratuits, piscine, spa Clarins A quelques enjambées des Champs-Élysées, le Royal Monceau - Raffles est l’un des hôtels les plus cotés de la capitale. Ici, l’art arrive de toutes parts. Avec, au hasard, un service unique d’art conciergerie, une galerie d’art contemporain et de nombreuses œuvres en tous genres qui ponctuent le décor signé Philippe Starck, dès le lobby et jusque dans les chambres. Pour l’art de vivre : un spa de 1 500 m2 aux doux accents de paradis céleste, avec l’une des plus grandes piscines d’hôtel de Paris, et un cinéma privé de 99 places. Pour appuyer l’esprit créatif et décontracté du lieu, deux restaurants servent des assiettes : Matsuhisa pour la cuisine nippo-péruvienne, et Il Carpaccio pour la gastronomie italienne. Mention spéciale pour le brunch du dimanche, son buffet XXL et ses pâtisseries Pierre Hermé. 

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Cérémonie d'ouverture : découvrez les tenues Dior portées par Céline Dion, Aya Nakamura et Lady Gaga

Cérémonie d'ouverture : découvrez les tenues Dior portées par Céline Dion, Aya Nakamura et Lady Gaga

Pour la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques, Dior a sorti le grand jeu en habillant plusieurs des stars qui performaient ce soir-là avec des créations haute couture conçues par Maria Grazia Chiuri. Aya Nakamura et ses danseurs ont enflammé (c’est peu dire) le Pont des Arts, vêtus de tenues somptueuses avec des plumes couleur or, accompagnés de musiciens et de choristes de la garde républicaine et du Chœur de l’Armée française. Céline Dion, dans une robe en georgette de soie blanche brodée de paillettes et de perles, a enchanté la tour Eiffel en interprétant "Hymne à l'amour". Lady Gaga et son "Truc en Plumes" Sur la Seine, Juliette Armanet a quant à elle ému le public avec "Imagine" de John Lennon, vêtue d'un ensemble rehaussé d’une multitude de perles toupies facettées, qui s’illuminaient grâce au travail de l’artiste Clara Daguin.Enfin, Lady Gaga, dans une tenue spectaculaire rehaussée de plumes et d'une coiffe de Stephen Jones, a rendu hommage à Zizi Jeanmaire avec "Mon Truc en Plumes". Elle était accompagnée de musiciens et danseurs dans des looks Dior inspirés par Audrey Hepburn dans “Sabrina” (1954). Les pompons provenaient quant à eux du Lido. Magnifique ! Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Time Out Paris (@timeoutparis) Pour découvrir notre page dédiée aux Jeux Olympiques de Paris, c'est ici.  Notre dossier des expos art et sport à voir pendant les JO.
Un skatepark ultra-design vient d’apparaître devant le Centre Pompidou

Un skatepark ultra-design vient d’apparaître devant le Centre Pompidou

Prêt à rider sur une œuvre d’art ? A l’occasion des JO, le Centre Pompidou s’est associé avec l'artiste contemporain Raphaël Zarka et l'architecte Jean-Benoît Vétillard pour installer, jusqu’au 15 septembre, Cycloïde Piazza, un skatepark éphémère sur le parvis du musée, chantourné en partenariat avec la marque Nike. Cette sculpture, magnifique et tout en couleur, à mi-chemin entre l’installation artistique et le skatepark, est inspirée du travail d'Alessandro Mendini, architecte, designer et théoricien italien de renom, reconnu comme l'une des figures clés du design postmoderne.  Vous y trouverez ainsi tout le nécessaire pour les adeptes de la pratique, avec notamment une (mini-)rampe pour réaliser des tailslides, un half-pipe tout de jaune vêtu pour s’en mettre plein les yeux ainsi que des marches qui rappellent celles d’un amphithéâtre. Ce n’est pas la première fois que le monument tout en tubes signés Rogers et Piano invite des artistes sur son parvis. On se rappelle du pouce en bronze de César, du Stabile-Mobile de Calder ou du coup de boule de Zizou. Rien de plus logique que d’y voir aujourd’hui un artiste qui a consacré une partie de son travail au skate, devenu une discipline olympique depuis 2020. Quand ? jusqu’au 15 septembre 2024, de 11h à 20h, tous les jours sauf le mardi.Où ? sur le parvis du Centre Pompidou, Paris 4e.
La marque AMI ouvre un rooftop sur le toit des Galeries Lafayette !

La marque AMI ouvre un rooftop sur le toit des Galeries Lafayette !

Vue d’en haut, Paris est encore plus belle. C’est sans doute pour ça que la marque AMI célèbre l'été en posant ses guêtres (floquées du logo en cœur) sur le rooftop des Galeries Lafayette Paris Haussmann. Jusqu'au 2 septembre, les visiteurs pourront explorer la Plage AMI, inspirée des cabines de plage normandes, avec des animations, des espaces de loisirs, des transats et même un cornet de glace géant. Glaces et crêpes Mieux encore, AMI a installé une cabane où seront vendues des gourmandises chantournées par Julien Sebbag, à la tête du resto Créatures. “J’ai directement pensé aux crêpes de Trouville-Deauville de mon enfance”, nous confie le chef. Ce qui donne donc quatre crêpes salées (12-15 €) et trois crêpes sucrées (7-9 €), dont cette pomme flambée au calvados et amandes torréfiées, inspiration normande oblige. Pour le reste, il a convié le glacier artisanal Glazed et ses créations complètement givrées (la bleue au lait de coco et spiruline…). Enfin, notons que des produits lifestyle comme des gourdes, cartes à jouer, boules de pétanque et jeux de quilles seront disponibles à l’achat. Sans oublier, AMI oblige, une collection capsule de vêtements unisexes aux couleurs de la France (bleu, blanc et rouge pour rappel). Quand ? jusqu’au 2 septembre 2024.Où ? 25 rue de la Chaussée-d’Antin, Paris 9e. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par 𝐀𝐌𝐈 𝐀𝐥𝐞𝐱𝐚𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐌𝐚𝐭𝐭𝐢𝐮𝐬𝐬𝐢 (@amiparis)
Le chef Paul Pairet ouvre son premier resto à Paris !

Le chef Paul Pairet ouvre son premier resto à Paris !

Vous êtes fan de Paul Pairet ? Préparez-vous à faire l'avion ! Le célèbre chef à casquette découvert par le grand public dans l’émission Top Chef s’apprête à prendre les commandes de son tout premier resto parisien. Après avoir marabouté les cuisines de plusieurs établissements shanghaïens – dont Ultraviolet, son gastro triplement étoilé au guide du pneu –, le gaillard va atterrir du côté de l’hôtel Crillon, clinquant Moulinsart du 8e arrondissement. « Je suis extrêmement fier et heureux de rejoindre ce palace emblématique. Il est pour moi la référence à Paris et en France », s’est enflammé le chef babillard via un communiqué de presse. « Surtout, je suis très excité de revenir en France pour pouvoir partager ma cuisine la plus essentielle. C’est un nouveau challenge qui s’offre à moi et je souhaite le relever avec brio avec les équipes de l’hôtel. » Dans les faits, Paul Pairet aura pour mission de réussir une épreuve pas si évidente que ça : dynamiter la Brasserie d’Aumont, établissement qu’on avait trouvé un peu plan-plan et (très) chérot lors de notre passage. Pour ce faire, l’homme aux manchettes violettes a promis auprès du site Atabula de faire « de l’ordinaire extraordinaire ». A voir si la dimension « expérientielle » si chère au chef va devenir une modalité majeure de ce resto. Réponse en deuxième partie d'année. Où ? 10 place de la Concorde, Paris 8eQuand ? Ouverture prévue en seconde moitié de 2022.
Philippe Conticini lance son premier « bar à mille-feuilles » à Paris !

Philippe Conticini lance son premier « bar à mille-feuilles » à Paris !

OH. MON. DIEU. Les amateurs de délices sucrées et les fadas de l'icône de la pâtisserie Philippe Conticini peuvent enterrer leur régime et crier de joie : le toqué star vient d’annoncer le lancement de son tout premier bar à mille-feuilles dans la capitale ! Le lieu ? Il est déjà bien connu des Parigots puisqu’il s’agit de sa boutique du Marais, inaugurée en décembre 2020, qui rejoue à la sauce Conticini les classiques du genre : paris-brest, tarte saint-honoré, Cirrus (aux agrumes et CBD), mais aussi pains et viennoiseries (baguette de tradition au levain, brioche chocolatée, tourte au seigle…) C'est donc dans cet espace signé du duo de designers Sapide que le bonhomme va installer son bar à mille-feuilles à la française. Soit un comptoir où commander un mille-feuille découpé minute sous vos yeux, et dont vous pouvez choisir vous-même la composition : crème diplomate à la vanille Bourbon de Madagascar, caramel au beurre salé, caramel exotique (passion, mangue, ananas), praliné 69 %… Des p'tites bombes visuelles et sans doute bien caloriques (mais on s'en fout). Côté pratique, ce mille-feuille – franchement pas donné (9,60 €) – est à retrouver tous les deuxièmes et quatrièmes samedis du mois dans ladite boutique (en gros, un samedi sur deux). Si on ne l’a pas encore goûté, sachez qu'il s'agit d’un des grands classiques du chef – il le servait déjà chez Gâteaux d'émotions. Un conseil néanmoins : pour éviter la queue, n’arrivez pas trop tard ! Où ? 31 rue Notre-Dame-de-Nazareth
Au musée du Luxembourg, la plus grande rétrospective française consacrée à Vivian Maier

Au musée du Luxembourg, la plus grande rétrospective française consacrée à Vivian Maier

Si la rentrée est définitivement arrivée, trimballant dans sa besace son lot de stress, de spleen et de mauvaise humeur, le remède est tout trouvé pour voir la vie en rose : une bonne dose d'art. Et de l'art, il va en pleuvoir dans les galeries et musées parisiens. Parmi eux ? La photographe Vivian Maier, programmée à partir du 15 septembre prochain du côté du musée du Luxembourg, pour ce qui s’annonce comme la plus grande rétrospective parisienne de l’artiste ! Vivian Maier ? De mère française, mais ayant principalement vécu à New York et Chicago, Vivian Maier réalisa au cours de sa vie plus de 120 000 photographies, munie d’un Rolleiflex ou d’un Leica. Mais la photographe n’a jamais cherché à se faire connaître, préférant travailler dans l’anonymat, gagnant sa croûte en gardant des enfants, et ne pouvant développer la majeure partie de ses négatifs par manque d’argent. La suite ? Elle s’est éteinte paisiblement en 2009, sans avoir jamais vu le résultat de son travail, pourtant aujourd’hui considéré comme majeur dans l’histoire de la street photography. Portraits de marginaux, scènes de vie urbaine, clichés de l’Amérique des années 1960… Les argentiques de Vivian Maier sont bluffants de réalisme et de modernité ! Son travail témoigne également une grande finesse d’observation et un regard humaniste sur ses contemporains, toujours photographiés sur le vif. Surtout, par sa capacité à immortaliser l’effervescence et l’atmosphère de son époque et par la modernité de ses autoport
La Suite Girafe : le nouveau rooftop (très) classe du 16e arrondissement

La Suite Girafe : le nouveau rooftop (très) classe du 16e arrondissement

Après nous en avoir foutu plein les yeux avec le resto Girafe, le monstre à deux têtes Laurent de Gourcuff et Benjamin Cassan voit double et ouvre La Suite Girafe : une terrasse confidentielle et ultra VIP de 100 couverts, planquée au neuvième étage de la Cité de l’Architecture et du Patrimoine. Au programme : une déco sapée par le fashion designer Joseph Dirand, avec maxi-terrasse à nappes blanches et vue de maboul (la plus belle du monde ?) sur la tour Eiffel ! Idéal pour faire sa demande en mariage. Et dans l’assiette, chéro mais pas radine ? Plateaux de fruits de mer, poissons crus, plats marins et une douzaine de desserts qui font TOUS envie. Attention, le lieu est très prisé. Lors de notre dernier passage, on y a croisé un certain Kylian Mbappé. Quand ? Tous les jours, de midi à 14h30, et de 19h à 23h.Où ? 1 place du Trocadéro, Paris 16e.Plus d'infos.
Un bar à cocktail s'installe sur le toit de l'Hôtel Rochechouart (Montmartre)

Un bar à cocktail s'installe sur le toit de l'Hôtel Rochechouart (Montmartre)

Parmi les rooftops immanquables de cette saison printemps/été 2021, il y a le bar perché de l'hôtel Rochechouart. L’ancien Carlton’s, fréquenté un temps par Maurice Chevalier, planque une terrasse au neuvième étage. Au programme : une vue de maboul sur le Sacré-Cœur, avec tables en fer forgé et banquettes cosy. Et dans les verres, des cocktails chantournés par une team de mixologues qui servira sept jours sur sept jusqu’au couvre-feu de quoi vous rincer la glotte. Pssst : à noter en bonus de la finger food, des grillades au déj le week-end et la possibilité de privatiser le lieu, pour tapasser en bande.  La chronique du lieu est à lire bientôt sur Time Out Paris.Où ? 55 boulevard de Rochechouart, Paris 9eQuand ? Dès le 19 mai 2021Pour privatiser le lieu !
Pour célébrer la réouverture des terrasses, Time Out et Nova présentent “Foutez-nous dehors”

Pour célébrer la réouverture des terrasses, Time Out et Nova présentent “Foutez-nous dehors”

Alléluia ! Après des mois de torpeur à pantoufler dans notre 32 mètres carrés, c’est désormais officiel : on va pouvoir squatter les terrasses et retrouver un semblant de vie normale. Histoire de célébrer l’événement, Time Out et Radio Nova joignent leurs forces pour vous mitonner un programme exceptionnel à même le bitume. Le 19 mai, ton magazine et ta radio préférés fêtent ensemble le déconfinement en installant leurs studios sur deux terrasses emblématiques de Paname : le Pavillon des Canaux (19e) et Moncœur Belleville (20e). Pour l’occasion, la bande de Nova bouscule sa grille et invite la rédaction de Time Out Paris à prendre ses aises au micro et en comité de rédaction. C’est ainsi que, dès potron-minet, pour l'émission Un Nova jour se lève, Armel Hemme et Sarah-Lou Bakouche accueilleront une partie de la team Time Out pour parler restaurants, monde d’après et bons plans printaniers. Entre 9h et 13h, pour le show Alpha Beta Nova de Sophie Marchand, les amis des deux médias auront l’honneur de vous partager leurs morceaux préférés pour symboliser ce retour des beaux jours (façon de parler, hein). Toujours pas rassasié ? Jeanne Lacaille et son Nova Lova vous feront bourlinguer en musique et en poésie dans les rues de Belleville avec un antidote anti-spleen façon terrassothérapie. On termine avec Marie Bonnisseau, qui ambiancera cette fin de journée dans Super Nova avec des chorés, des toasts et des playlists à boire… En bref, un beau programme fignolé main dans la main su
David Hockney s’installe au Musée de l'Orangerie le temps d’une expo

David Hockney s’installe au Musée de l'Orangerie le temps d’une expo

Scoop ! Alors que le Centre Pompidou lui consacrait une énorme exposition en 2017, sur fond de couleurs explosives et de maxi-toiles de piscines, le maître de la peinture british David Hockney s’expose cette fois-ci au Musée de l’Orangerie. Et célèbre sa nouvelle terre d’accueil : la Normandie. Du 13 octobre 2021 au 14 février 2022, l’artiste et ses 83 balais présentera A Year in Normandie, une compilation de ses derniers travaux chantournés dans l’ouest de la France. Présentée dans la grande galerie du musée de l’Orangerie, l’expo A Year in Normandie vous offrira la possibilité de zieuter une longue frise de 80 mètres de long, nous rappelant les mythiques Nymphéas de Claude Monet, également hébergées dans le même musée. Si on n’en sait pour l’instant pas beaucoup plus sur l’expo, ses derniers travaux dans le Pays d’Auge laissent augurer quelques pistes (très) prometteuses… Et terriblement proustiennes : l’artiste, qui a installé son atelier dans une grange pendant le confinement, a bossé (à l’Ipad !) sur le passage du temps et l’arrivée des quatre saisons, peints comme un long et magnifique récit.  Avec notamment, comme aperçu à la galerie Lelong il y a quelques mois, de magnifiques œuvres retraçant l’arrivée du printemps et de l’été : des pommiers et poiriers du jardin, des maisons à colombage, des villages typiques de la région… Le tout faisant superbement écho aux artistes hollandais Rembrandt et Van Gogh, entre jeu de lumières et quiétude de la nature - honnêtement, c’es
Dumbo s’installe sur le parvis du Palais de Tokyo et du Musée d’Art Moderne

Dumbo s’installe sur le parvis du Palais de Tokyo et du Musée d’Art Moderne

Dites moi pas qu'c'est pas vrai ! Après avoir annoncé un ice-cream sandwich, Dumbo continue d'alimenter les colonnes de Time Out avec une actu qui risque de mettre en PLS tous les amateurs de burgers. Selon les ouï-dire, le minus spot indus va lancer le 19 mai “Dumbo Park”, sa version seiziémiste du concept originel. Sur invitation du Moma Group, Dumbo pose ainsi ses cliques et ses buns sur le giga parvis (300 mètres carrés) du Musée d’Art Moderne de Paris et du Palais de Tokyo... De quoi s’enfiler le le Graal avec une vue imprenable sur la Tour Eiffel ! Côté déco, le lieu, qui ouvrira tous les jours de 11h30 à 1h mat’ (enfin, quand le couvre-feu sera fini), se veut comme “une rencontre entre Pigalle, le Trocadéro et la Colline de Chaillot” avec : des assises (inspirées des tabourets et cagettes de Dumbo Pigalle) qui côtoient ici une structure tout en bois et meubles chinés.  Côté food, sans trop de surprise, les mêmes burgers qu’à SoPi seront à la carte  — les fameux smash burger, soit de juteux steaks de montbéliarde aplatis à la pelle, pour faire ressortir tout leur goût. Notre préf’ ? Le classic Cheese, avec double ration de fromage ricain et salsa ketchup-moutarde. Auquel il faudra aussi ajouter une offre veggie et la fameuse collab' givrée annoncée plus haut.  Pour se rincer le palais ? Des vins nat’, des bières et même des cocktails granités à tendance mexicaine (au mezcal et à la tequila). Bon bah, comment dire ? Il semblerait bien que Time Out ait trouvé son spot pou
Expo blockbuster : Magritte et Renoir débarquent au musée de l'Orangerie en mai

Expo blockbuster : Magritte et Renoir débarquent au musée de l'Orangerie en mai

ALERTE GENERALE ! Le musée de l’Orangerie frappe fort en invitant en son sein le grand - que dis-je - l’immense René Magritte, pour l’une des expos blockbusters de l’année 2021. Du 19 mai au 19 juillet, le musée (qui accueillait des soirées Time Out en période pré-Covid) met un coup de projo sur le peintre, figure emblématique du surréalisme belge, qui a marqué le mouvement aux côtés de Salvador Dalí, Giorgio de Chirico ou Max Ernst. Mais pour le coup, l’Orangerie a opté pour un angle très particulier et assez méconnu : sa période "Renoir" (1940-1947), et va même jusqu'à confronter les œuvres de Magritte à celles d’Auguste Renoir qui l’ont inspiré. Autant dire que, contrairement à l’expo au Centre Pompidou en 2016, vous ne verrez pas les œuvres les plus famous de l’artiste, à l’instar du Fils de l’Homme - ce petit tableau (116 x 89 cm seulement), maintes fois copié par la publicité mais jamais égalé. A la place ? (Re)découvrez plutôt des tableaux et dessins plus confidentiels, de style « solaire », illustrant notamment Sade, G. Bataille, Éluard ou Lautréamont. Des créations qui tranchent pas mal avec le contexte de l’époque (la Seconde Guerre mondiale). Mais Magritte, prophétique, est convaincu que la défaite de l’armée allemande à Stalingrad va marquer la fin du conflit et le retour des jours heureux. Il écrira d’ailleurs, en 1941, à Paul Éluard : « Le beau côté de la vie serait le domaine que j’explorerais. J’entends par là tout l’attirail traditionnel des choses charmantes