Eva Yoro

Eva Yoro

Articles (2)

Les meilleures boutiques pour femmes à Paris

Les meilleures boutiques pour femmes à Paris

A Paris, la gente féminine a largement de quoi faire lorsqu'il est question de remplir son dressing. Pour autant, si une éternelle insatisfaction règne tous les matins au moment de faire votre choix, séchez vos larmes et rassurez-vous : avec cette liste de boutiques de fringues, vous ne pourrez plus jamais dire que vous n'avez rien à vous mettre avant de prendre le tro-mé. Petits prix (les friperies, c'est par ici), pièces de créateurs, haute-couture... Il y en aura, c'est promis, pour tous les goûts ! Autant de (bonnes) raisons de se faire plaisir. Et puis de toute façon, peu importe votre style car, comme le dit si joliment Anne Klein : « les vêtements ne vont pas changer le monde, les femmes qui les portent, si.»
Guide de l'été : les meilleurs festivals de musique en France

Guide de l'été : les meilleurs festivals de musique en France

L'été à Paris, c'est plutôt sympa. L'offre en festivals est gigantesque, de nouveaux lieux ouvrent leurs portes et, miracle, il n'y a pour une fois pas grand monde pour vous empêcher d'en profiter. Néanmoins, il se passe également de bien belles choses une fois passé le périph. Parce que plage et farniente ne riment pas uniquement avec mots-croisés et compilation 'Hit Machine 1998', nous avons sélectionné pour vous le prouver les événements musicaux français les plus dynamiques dans l'ordre chronologique, afin de profiter de vos week-ends sans avoir à renier votre vie culturelle. 

Listings and reviews (18)

Tom Greyhound

Tom Greyhound

5 out of 5 stars
Après avoir fait frétiller la jeunesse dorée et branchée de Séoul, la société Handsome a exporté Tom Greyhound à Paris en 2014. Pour sa première adresse internationale, le concept-store multimarque s'est logé dans les confins du Haut Marais, rue Saintonge, dans ce quartier qui ne fait désormais plus qu'un avec l'industrie de la mode.   Si les boutiques pointues ici ne manquent pas, l'enseigne coréenne a réussi le tour de force de s'en démarquer. Et ce par son esthétique savamment travaillée, entre design futuriste et installations cubiques. Installé dans une ancienne galerie d'art de 300 m2, le lieu a gardé son ADN artistique, une façon "d'upgrader le vêtement, de le mettre en perspective à travers l'art" nous explique-t-on. Si l’architecture graphique et rigoriste habille le rez-de-chaussée, à l'étage, c'est une tout autre ambiance, plus intimiste et feutrée, et qui répond davantage à l'offre luxe des créations. De jolis fauteuils et canapés y trônent, invitant le visiteur à s'accorder une pause cocooning.  Tom Greyhound propose une gamme assez large : des pièces casual et plus ou moins abordables (le premier T-shirt griffé démarre à 45 €) ainsi que des vêtements plus couture. Côté marques, l'hétéroclisme prédomine tout autant, mêlant aussi bien des noms incontournables (Marni) que des designers plus émergents, comme Oui Paname, OAMC, ou bien Carne Bollente. Sans surprise, le lieu est également une vraie mine d'or pour tout modeux en quête de nouveaux talents de la scène mod
Roseanna

Roseanna

4 out of 5 stars
Si l'été est généralement la saison des amours de passage, des amitiés éphémères et des promesses en l'air, il peut parfois s'avérer plein de surprises. Une entorse à la règle confirmée par Roseanna, projet lancé en 2008 par Anne-Fleur et Roxane, deux amies d'enfance originaires du Nord qui se sont rencontrées en vacances sur la plage d'un petit village du Sud.  Ces deux Parisiennes d'adoption ont fait leurs classes chez Alberta Ferretti et ba&sh avant de donner vie à Roseanna, contraction de leurs prénoms. Après le succès de leurs premières collections de beachwear et de maillots de bain, leur vestiaire s'est peu à peu étoffé, couvrant aujourd'hui le prêt-à-porter, le homewear, la lingerie mais aussi quelques pièces plus luxe. « L'idée est d'accompagner la femme dans différentes situations. On ne se cantonne à rien, l'important pour nous est de se faire plaisir », précise Anne-Fleur, l’œil pétillant. Cette liberté et cet affranchissement des codes sont prégnants dans l'ADN de la marque qui, entre ses teddys, pulls, t-shirts, santiags ou pantalons, convoque sans cesse une dualité masculin/féminin complètement assumée.   Après une première boutique éphémère, l'enseigne s'est officiellement implantée au cœur du Marais en juin 2017. Au milieu des autres marques branchées du quartier, Roseanna peut faire la belle avec un espace de 80 m² repensé par l'architecte Franklin Azzi. Matériaux bruts et design moderne s'y entrechoquent, confrontant l'esthétisme raffiné d'un miroir cannelé
Tom Greyhound

Tom Greyhound

5 out of 5 stars
After an impressive debut in Seoul, the company Handsome exported its fashion concept store Tom Greyhound to Paris in 2014. For its first international address, the multi-brand boutique is found in the Marais, on rue Saintonge.  Installed in a former art gallery of 300m2, the space has an artistic vibe in its DNA, with "a way of upgrading clothes, to show them via art", they explain to us. There's both a chilled and intimate setting to complement the luxury of the creations. Pretty armchairs and sofas are there to offer a pause whilst you browse.  Tom Greyhound offers a large range of pieces: more casual items which are more or less affordable (still, a t-shirt will set you back at least €120!) as well as out-and-out couture. As for brands, the most cool and luxurious are favoured such as Acne, Marni, Alexander Wang, J.W. Anderson, as well as more recent names like Roksanda or Christopher Kane. Unsurprisingly Tom Greyhound is also a trove for emerging Korean fashion brands including Decke, Time or System which can't be found elsewhere in France. Basically, if you want what's new and cool - you know where to go now. 
Kerzon

Kerzon

Vous l'aviez peut-être déjà croisée chez Colette, Fleux ou au Bon Marché, sans savoir qu'un jour elle s'offrirait un espace bien à elle. Et c'est du côté du Marais que Kerzon a posé ses valises. Sur deux étages, la boutique sobre et épurée, égayée par quelques plantes vertes façon jardin d'hiver, n'a rien à voir avec ces parfumeries aux notes entêtantes, dont on ressort souvent avec un mal de crâne.  Lancée en 2013, la Maison Kerzon est avant tout celle des deux frères fondateurs, Pierre-Alexis et Etienne Delaplace : une bâtisse de pierres installée sur les terres bretonnes dans laquelle le duo créatif a passé son enfance. Effluves boisées, linge parfumé à la lavande, senteurs florales typiques de la région... Ce sont aujourd'hui dans ces souvenirs olfactifs qu'ils puisent leur inspiration.  Invitation au voyage olfactif Déclinés en « soins parfumés pour la maison, le linge et le corps » (bougies à la cire de soja biodégradables et pochettes parfumées, savons liquides, lessives, brumes et boîtes d'allumettes, entre 9 et 35 €), les produits Kerzon 100 % naturels travaillent sur l'évocation de lieux, offrant au passant l'occasion de fouiller dans son propre passé et de composer avec lui, selon son histoire personnelle. « Flâneries à Paris » élaborée à partir de lieux emblématiques de la capitale, « Voyages en Méditerranée » aux notes sucrées et gourmandes, « L'Herbier » qui revisite avec subtilité les odeurs du potager, chaque gamme est une invitation au voyage, nous promenant
BBB Shop

BBB Shop

Fatiguées, abîmées, éreintées, les sneakers en fin de course ont enfin trouvé leur sauveur. Il s'appelle Brandon Mariadi et est la tête de BBB Shop, premier pressing pour baskets qui a d'abord ouvert ses portes à Lille en décembre 2016. Rapidement, les clients ont répondu présent, si bien que le concept a fini par arriver aux oreilles de Mazoo et Doché. Après avoir examiné le projet auprès du fondateur de la marque, les deux jeunes passionnés de baskets l'ont rapatrié à Paris, dans la très prisée rue du Champs de Mars en avril dernier. Si la basket a longtemps été le vilain petit canard de la grande famille des chaussures, elle prend aujourd'hui une sacrée revanche sur ses pair(e)s. Il suffit de jeter un œil aux pieds des passants pour mesurer l'étendue de son invasion. Femmes, hommes, jeunes, moins jeunes, personne n'en a le monopole ! Pas étonnant donc que les trucs et astuces pour les entretenir pullulent sur la toile et cartonnent auprès des propriétaires de sneakers défraîchies, avides de conseils pour sauver leurs paires préférées. Seulement, n'est pas Brandon qui veut et les petites expériences à la maison ont souvent hélas montré les limites du homemade. Limites que seules des techniques professionnelles peuvent pallier.  Ressusciter les vieilles paires  Chez BBB Shop, celles-ci sont savamment gardées. Cuir, toile, daim, chaque matière requiert sa propre technicité et c'est dans la plus grande concentration que les deux magnats de la basket nous ont reçu dans la nouve
Mamadeko

Mamadeko

Que vous soyez parisien en manque de vert ou maniaque de la couleur, la devanture vert émeraude de Mamadeko vous aguichera à coup sûr, et c'est en ne montrant aucune résistance que vous vous laisserez séduire. Nichée au cœur du quartier des Abbesses, la boutique promet bel et bien un shopping vitaminé, message tonitrué dès le pas de la porte passé par les lettres dorées gonflées à bloc « H.A.P.P.Y. »  A la tête de cette caverne d'Alibaba à l'esprit boho-chic, on retrouve Charlotte et son frère Thomas, qui a notamment travaillé aux côtés de Valérie Damidot sur M6. Tous deux passionnés de déco, ils recherchent avec le plus grand soin ce qui viendra orner les étagères du lieu. Avec une quinzaine de marques triées sur le volet, le voyage est totalement dépaysant : d'Inde au Maroc en passant par les terres nordiques, c'est un tour du monde express que nous propose Mamadeko. Une invitation au voyage Promené de continent en continent, on ne sait plus bien où donner de la tête. Des pots de fleurs graphiques (de 12 à 36 €), des terrariums design (de 28 à 112 €), des mini-cactus (3 €), des assiettes à imprimé tropical Klevering (35 € les quatre), des panières en laiton Madame Stoltz (de 6 à 30 €), le coup de cœur n'est jamais bien loin. « L'idée est que chacun puisse repartir avec un objet qui lui fera plaisir et qui donnera une nouvelle âme à son intérieur », nous explique Thomas.  Autre atout majeur du lieu : le salon de coiffure Le Petit David caché au fond de cette boutique résolum
The Frankie Shop

The Frankie Shop

4 out of 5 stars
Alléluia : l’adresse la mieux gardée de la Grosse Pomme s’est catapultée depuis fin 2016 dans le Haut-Marais ! Dans la très discrète rue Saint-Claude, les modeuses déjà à l’affût viennent y dénicher LA pièce tendance qu'elles ne verront nulle part ailleurs, qualité qu'elles doivent au flair et à l'expertise de Gaëlle, à la tête du concept store. Débusquées sur les cinq continents, les marques – dont certaines sont introuvables ailleurs en France – s’attellent à apporter une plus-value aux basiques de la garde-robe. Une blouse rayée Anna Quan se voit ainsi dynamisée par une découpe asymétrique (310 €) tandis qu'un trench kaki Aki défie les lois de la proportion en embrassant l'oversize (175 €).  Brouillant les codes temporels, la force du lieu est de garantir aux clientes une mode pointue et audacieuse, en opérant un jeu d'équilibriste parfaitement maîtrisé entre le « I need it now » et le « I need it always », nous précise sa propriétaire : « La femme Frankie porte déjà un prénom qui lui ressemble, masculin-féminin. Elle est un peu tomboy ou androgyne certains jours, et très féminine le lendemain. Il n'y a pas de règles, l'important est de suivre ses humeurs et de porter ses vêtements avec “une certaine allure”, pour citer l'une de nos muses françaises, Sophie Fontanel. » On est conquis !
Sneakers & Chill

Sneakers & Chill

Like all the best ideas and business plans, Sneakers & Chill was born from the aftermath of a party. Three young Parisians – Romain, Nathan and Jean - awoke with few memories but the state of their trainers told them enough. After "dragging your Nikes through a hedge backwards" one of the founders asked, "who can mend shoes in this state?" Without thinking twice, the three entrepreneurs decided to answer their own question by opening up France’s first trainer cleaning, repair and customisation boutique on Rue d'Aboukir. The idea had already been launched in America, but so far nothing existed like it in France. "There was no model, everything had to be started from scratch", says Nathan, the head worksman who first learned his craft in shoes. The move from luxury leather Italian moccasins to trainers was but a step. Giving new life to our old trainers After a private opening in September 2016, Sneakers & Chill officially launched in style with a party last December. The boutique quickly attracted an eclectic crowd, and not only puritanical sneakers’ fans. From trendy Parisians coming to whiten their Stan Smiths, to runnners taking care of their Nike Zoom Flys, or a young model who brings in his pair of Yeezy trainers to style them to his taste, every day in Sneakers & CHill is a veritable catwalk. This storming success goes to show the transversality of the trainer for all walks of life. "It’s simple, the trainer is becoming a tyrant", says Nathan.  Cleaning, repairing, custo
Sneakers & Chill

Sneakers & Chill

C'est au cœur de Paris, dans la rue d'Aboukir, que Romain, Nathan et Jean, trois jeunes Parisiens, ont monté leur affaire. Sneakers & Chill est né au lendemain d'une soirée. De celles dont on garde peu de souvenirs mais que l'état de nos sneakers se charge bien de nous rappeler. Après avoir « explosé sa paire d'Air Max dans la boue », l'un des propriétaires du lieu s'est interrogé : à qui confier ses pompes lorsqu'elles sont dans un piteux état ? Ni une, ni deux, les trois entrepreneurs ont décidé de remédier à la situation en ouvrant le premier atelier de France à proposer le nettoyage, la réparation mais aussi la customisation de baskets. Une valeur ajoutée à un marché en pleine expansion aux Etats-Unis mais encore inexistant dans l'Hexagone. « Il n'y avait aucun modèle, il a fallu tout inventer », nous raconte Nathan, chef d'atelier qui a d'abord fait ses classes dans le soulier. Du mocassin de luxe italien à la sneaker, il n'y a parfois qu'un pas.  Donner une seconde vie à nos baskets Après une première ouverture confidentielle en septembre 2016, Sneakers & Chill a officiellement démarré son activité en décembre dernier, après une soirée de lancement célébrée en grande(s) pompe(s). Rapidement, le lieu a attiré une clientèle éclectique, bien loin de ne se résumer qu'aux puristes et aux passionnés de baskets. De la Parisienne branchée qui vient blanchir ses Stan Smith, au quadra classique qui prend soin de ses Runnings en passant par le jeune modeux qui amène sa paire de Ye
L'Habibliothèque

L'Habibliothèque

L'Habibliothèque began in 2014, when three fashion-mad sisters Aurélie, Anahi and Alizé, had the idea of launching the first official clothes library. The library's new digs are in the heart of the Marais, an enormous and light appartment on rue Beaubourg.  This high-end rentalable wardrobe, offers clients fashion in an immediate, unlimited and ephemeral way. Filled with the latest trends, the boutique only stocks pieces from the most recent collections. Carven, Manoush, Vanessa Bruno, Alexander Wang and more can be yours.  For a monthly subscription of €149 you can borrow one, two or three pieces – all of which you can change for new ones –, for up to 6 months. There's also a drycleaning service to remove any eventual little marks, included in the price. Watch out for occasional private sales, where your heart's desire can become a permanent part of your wardrobe. 
L'Habibliothèque

L'Habibliothèque

L'aventure a démarré en 2014, lorsqu'Aurélie, Anahi et Alizé, trois sœurs passionnées de mode, se sont lancé le défi d'ouvrir la première bibliothèque de vêtements. Un concept hybride qui a d'abord élu domicile dans une petite boutique au cœur du Marais, avant de finalement investir les lieux d'un vaste appartement douillet et lumineux, rue Beaubourg. Une nouvelle façon de concevoir le shopping  C'est ici que se donnent rendez-vous les Parisiennes, pressées d'essayer les nouvelles pépites que l'Habibliothèque leur a déniché. Répondant aux tendances du moment, le lieu ne propose que des pièces branchées issues des dernières collections. Carven, Manoush, Vanessa Bruno, Alexander Wang, Cacharel, Maison Père, c'est un dressing haut de gamme et pointu que les clientes peuvent s'offrir de façon immédiate, illimitée et éphémère. Des robes du soir et des bijoux pour des événements importants mais aussi et surtout des vêtements du quotidien – vrai atout du lieu –, comme un blazer imprimé fleuri, une blouse blanche au col lavallière ou un jean cropped. « Au final, nos plus fidèles abonnées finissent par n'investir que dans des intemporels, pouvant désormais varier et renouveler ici leur garde-robe avec des pièces plus fortes », nous confie Aurélie. Pas bête !  Dressing avec abonnement  Pour un abonnement mensuel au prix de 149 €, il est possible d'emprunter une, deux ou trois pièces – toutes échangeables contre de nouvelles – pour une durée de six mois maximum. Et que l'on se rassure :
Maison Père

Maison Père

4 out of 5 stars
C'est dans le très chicos quartier Saint-Honoré que Maison Père a posé ses cliques et sa griffe en décembre 2016. Camille Omerin (la big boss) a confié les clés du camion au duo d'architectes Toro & Liautard pour un rendu rétro noble des plus chaleureux (marbre, laiton, parquet chevron, meubles chinés…) Maison Père, c'est avant tout l'histoire d'une famille. L'héritage y est choyé, porté aux nues, à travers une garde-robe transgénérationnelle où le vêtement voyage de mère en fille. Mais pas seulement : se jouant volontiers des frontières du genre, passant avec subtilité du vestiaire masculin au vestiaire féminin, le lieu célèbre le lien qui unit un père à sa fille (d’où le nom). Autre concept fort de la griffe : chaque collection raconte l'histoire d'un membre de la famille de Camille. Comme cette série autour d'Agnès, sa marraine, avec accents 70’s, matières phares de l'époque comme la dentelle, la broderie, le Lurex, la soie ou encore la laine – toutes dénichées en Italie.  Côté motifs et couleurs, l'audace est de rigueur : bomber à imprimer tacheté de jaune et de bleu ciel (350 €), sandales bicolores à plumes (295 €), pantalon flare à rayures pêchues (295 €)… En bref, un résultat intemporel et moderne, mêlant extravagance et coupes épurées, sophistication et décontraction : une marque à surveiller de très près !

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Réouverture de la salle Pleyel : des changements radicaux

Réouverture de la salle Pleyel : des changements radicaux

Après onze mois de travaux, la salle Pleyel a enfin rouvert ses portes au public vendredi dernier avec pour chef d’orchestre Benjamin Biolay. Autrefois, il aurait été difficile d’imaginer que le maestro de la nouvelle scène française prenne place dans ce lieu alors réservé à la musique classique. Mais ça, c'était avant. Depuis l’inauguration de la nouvelle Philharmonie en janvier 2015, désormais implantée dans le nord-est de la capitale, le propriétaire de la Cité de la Musique (comprendre l’Etat) a en effet quelque peu modifié la salle Pleyel - dont il est également propriétaire - afin d’éviter de faire doublon. Musiques actuelles et amplifiées feront maintenant résonner les murs de la salle située faubourg Saint-Honoré.  Une déco plus cosy Des murs qui, eux aussi, ont subi de sacrés changements. Loin de son ancienne déco cossue et un peu froide, la salle a dévoilé un design cosy, avec des lumières chaudes et des couleurs boisées. En outre, 2 500 places au lieu de 1 900 lui permettent désormais d’accueillir davantage de monde, un public qui pourra également suivre les concerts depuis une fosse spécialement aménagée. Exit le classique, place aux musiques actuelles Enfin, la salle Pleyel dispose également d’une nouvelle acoustique, autrefois adaptée au registre classique. « Nous avons fait un gros travail acoustique, a déclaré l’architecte Daniel Vaniche, à la rédaction du Parisien. Il ne fallait plus que la salle résonne. Avec les musiques amplifiées, il faut absorber les son
10 comptes Instagram à suivre pour découvrir Paris

10 comptes Instagram à suivre pour découvrir Paris

Touristes de passage, Parisiens à la recherche d’adresses atypiques, amateurs de photographies et de poésie, voici 10 comptes Instagram à suivre pour (re)découvrir notre chère capitale :     Laurent Kronental Jeune et talentueux photographe basé à Paris. Fasciné par l'architecture, lauréat de la Bourse du Talent 2015, Laurent travaille à l’argentique. Dans Souvenir d’un Futur, il a su capturer la poésie des grands ensembles de la région parisienne. Voir cette publication sur Instagram From my series "Souvenir d'un Futur". Jacques, 82, Le Viaduc et les Arcades du Lac, Montigny-le-Bretonneux, 2015. . . #souvenirdunfutur #photography #grandsensembles #ricardobofill #montignylebretonneux #architecture #architecturephotography #retrofuture #urbanism #housing #4x5film #analog #analogphotography #filmphotography #art #iledefrance Une publication partagée par Laurent Kronental (@laurentkronental) le 26 Sept. 2016 à 7 :01 PDT Doorways of Paris Une autre façon de voir Paris à travers ces clichés de portes d'immeubles parisiens. Coup de cœur assuré ! Voir cette publication sur Instagram Summer 🌈 Edition: Blue #4 💙. Summer evenings are the loveliest ones, don’t u think?😊 Une publication partagée par Doorways Of Paris (@doorwaysofparis) le 16 Août 2018 à 12 :08 PDT         Fulguropain Bec sucré, Arnaud aime courir mais aussi manger, boire et rigoler. Et surtout : il n'a pas son pareil pou
Le 19 août, c'est la deuxième édition du Pique-nique géant en blanc

Le 19 août, c'est la deuxième édition du Pique-nique géant en blanc

Après avoir passé une semaine toute pourrie sous la pluie, rien de tel que la perspective d’un pique-nique champêtre pour revigorer un moral en berne. Le 19 août, plus de 300 invités se sont donné rendez-vous autour d’un dîner géant. Ramenez votre bande de potes, de quoi boire et manger et si possible des enceintes bluetooth (petit conseil pour ne pas subir la musique des autres). Enfin, dress code oblige, c’est habillé de blanc que vous êtes attendu. Pour les plus téméraires, n’hésitez pas à sortir le total look blanc (il y a tellement peu d’occasions de se le permettre sans avoir l’air d’un gros beauf), pour les autres, un simple haut blanc fera l’affaire. Enfin, inutile de préciser - mais on le fait quand-même - que tire-bouchons, gobelets et autres nappes sont vivement recommandés histoire d’éviter les galères. Cela étant dit, c’est sur les coups de 19h que la soirée débutera avant de s’achever vers 2h du matin. On vous laisse prendre vos places ici. See you there ! © Excuse My Party   Quoi ? • Pique-nique géant en blanc.Quand ? • Le 19 août de 19h à 2h.Combien ? • Entrée libre dans la limite des places disponibles sur Excuse MyParty. 
Weekday, le dernier né de la galaxie H&M a ouvert sa boutique à Paris

Weekday, le dernier né de la galaxie H&M a ouvert sa boutique à Paris

Après COS, Monki, & Other Stories ou encore Cheap Monday, H&M présente (enfin !) son dernier né à Paris : Weekday. A la tête d'une vingtaine de boutiques dispatchées aux quatre coins de l'Europe, Weekday a ouvert le 28 avril dernier sa première adresse parisienne au 121 rue Vieille du Temple, à l'ancienne emplacement de Cheap Monday. Un immense espace de 225 m2 surplombé par une mezzanine transformée en atelier de sérigraphie. Côté déco, l'adresse parisienne s'offre des murs bruts en pierre et un aménagement épuré, faisant écho aux créations de la marque. Tout comme ses frangines, Weekday propose des pièces casual, contemporaines et intemporelles, contrastées par des touches urbaines et rock. Modèles amples, design minimaliste et coupes modernes dans la même gamme de prix que les autres enseignes de la maison mère : comptez 45 euros pour une robe à fleurs, 15 pour un t-shirt pastel, 25 pour un maillot de bain une pièce... Avec plusieurs lignes de prêt-à-porter (Weekday Storemade, Weekday Vintage), des collections capsules et un vaste vestiaire denim – vrai atout de l'enseigne –, Weekday espère toucher un large spectre de clients parisiens. Et puis avec des prix aussi doux qu'un carré de soie Hermès (la soie, pas le prix hein), aucun doute sur l'implantation dans quelque temps d'autres adresses parisiennes.  Quoi ? WeekdayParisOù ? 121 rue Vieille du Temple, 3eQuand ? Du lundi au samedi de 11h à 20h 
14 marques beauté vegan et cruelty-free

14 marques beauté vegan et cruelty-free

Elles sont nombreuses à être estampillées « vegan » ou « cruelty-free », des certifications qui intéressent de plus en plus de consommateurs. Seulement, entre amalgames, publicités trompeuses ou mauvaises informations, il n'est pas toujours évident de faire le tri. Rappelons avant toute chose qu'une marque bio n'est pas forcément vegan ni cruelty-free et vice-versa. Disposer du label « sans cruauté » signifie qu'aucun test sur les animaux n'a été effectué, que ce soit pour les ingrédients ou pour le produit fini. Une marque vegan, elle, ne propose aucun produit contenant des ingrédients d'origine animale. Il est également important de préciser que la législation de certains pays, comme la Chine, oblige le test sur les animaux. Une marque totalement cruelty-free sera donc celle qui refusera de s'ouvrir au marché chinois ou de s'y implanter physiquement. Enfin, certaines enseignes disposant du label « cruelty-free » et/ou « vegan » ont toutefois été rachetées par des grands groupes comme L'Oréal, L'Occitane ou LVMH qui, eux, testent sur les animaux. D'où l'appel au boycott de ces marques par certains...   1. Les marques cruelty-free rachetées par des groupes qui testent sur les animaux Kat Von D Aux Etats-Unis et en Angleterre, on ne jure plus que par cette marque. Il suffit d'ailleurs de se référer à l’événement et la communication développés lors de son arrivée chez Sephora France pour se rendre compte du phénomène Kat Von D. Un engouement par ailleurs justifié. Sa gamme de
La Seinographe s'invite à l'espace Beaurepaire

La Seinographe s'invite à l'espace Beaurepaire

Et de quatre ! Après trois premières éditions, La Seinographe organise sa nouvelle vente éphémère qui se tiendra, comme la fois dernière, dans l'enceinte de l'espace Beaurepaire, à deux pas du canal Saint-Martin du 30 mai au 4 juin prochains. L'occasion pour Marina Mussat - à la tête du blog lifestyle - et son équipe de partager leurs coups de cœur mode et déco, mais aussi de présenter la nouvelle collection de la griffe, élaborée avec la complicité de leurs créateurs chouchous.  Intitulé « Les Piquantes », l'événement mettra à l'honneur le Mexique et ses trésors, de sa végétation luxuriante à ses couleurs acidulées en passant par ses personnalités emblématiques, comme l'anticonformiste Frida Kahlo, figure dont s'est inspirée La Seinographe pour la réalisation de sa troisième collection capsule à l'esprit « très pop et 100 % girl power ».     Sandales en cuir à volants NaRae     Du côté des créateurs, on pourra retrouver les bijoux féminins et branchés de Gisel B ainsi que les pierreries délicates de Concerto No.1. Des créations pointues qui s'accorderont parfaitement aux pièces fraîches d'Arlette et Paulette, aux adorables salopettes de Baltimore Paris ou encore à la mode ethnique et métissée de Mamamushi et de Madame Melon. Les maillots de bain vitaminés Calipige et les paniers en osier de Sobomarket donneront, quant à eux, l'envie de prendre le large.  Les amateurs de déco pêchue ne seront pas en reste non plus. Papeterie graphique d'Atelier Mouti et de Season Paper, mob
Les trois collections capsules qui vont faire venir le printemps

Les trois collections capsules qui vont faire venir le printemps

Les premiers rayons de soleil font timidement leur apparition et avec eux une flopée de collections capsules qui sentent bon le printemps. Au programme de ces collaborations inédites : un vent de nostalgie, une brise océanique et une pincée d'audace.                   Supreme x Lacoste    Fin de suspense. Alors que la présence du directeur artistique de Supreme à un défilé Lacoste avait lancé la rumeur d'une collaboration imminente, la collection capsule Supreme x Lacoste a enfin été dévoilée le 13 mars dernier sur les réseaux sociaux. Pour l'occasion, Lacoste renoue avec ses premières amours. Retour aux années 1990, époque où rap, banlieue et crocodile étaient intimement liés. Une corrélation qui avait d'ailleurs fini par effrayer la griffe française, la poussant à reconquérir ses premiers clients. Ironie de l'histoire, Supreme à ses côtés, Lacoste revisite aujourd'hui ses pièces phares de l'époque, comme la casquette, le pantalon et la veste de survêtement ou encore le sweat, toutes tatouées de l'emblématique crocodile et du logo de la marque de skate, que l'on peut lire en gros sur une cuisse ou deviner sur un col. Cette collab' sera disponible le 16 mars prochain dans la boutique Supreme, ainsi que sur l'e-shop de la marque.                   Fila x Urban Outfitters    Les nineties sont une nouvelle fois à l'honneur ! Après avoir collaboré avec la marque vintage Champion, Urban Outfitters s'associe à Fila, pour une collection capsule printanière, rétro et sportswear, dy
Révolution dans le maquillage : Le rouge à lèvres dans tous ses états

Révolution dans le maquillage : Le rouge à lèvres dans tous ses états

Mat, liquide, ombré, le rouge à lèvres n'a pas encore levé tous ses mystères et ce sont aux quatre coins du monde que plusieurs enseignes de cosmétiques ont exploité ses multiples perspectives. A base d'avocat, en poudre ou semi-permanent, le rouge à lèvres en fait voir de toutes les couleurs.   L'avocat s'invite sur les lèvres L'hydratation d'un baume et la pigmentation d'un rouge à lèvres, voilà le pari de la nouvelle gamme de la marque New-Yorkaise Laqa & Co. Pour réussir ce tour de force, l'enseigne a fait appel à un aliment dont on ne compte plus les vertus : l'avocat. Grâce à ses propriétés antioxydantes et nourrissantes, les rouges à lèvres AvoLip - composés à 12 % d'huile d'avocat - assurent une texture crémeuse qui n'altère en rien la vivacité et la tenue de la couleur. Du carmin au prune en passant par le chocolat, la gamme compte huit teintes que l'on peut se procurer sur le site de Laqa & Co pour 25 dollars le tube. Autre bonne nouvelle : la marque est distribuée chez Birchbox.    Le rouge à lèvres en poudre C'est à la marque coréenne RiRe Cosmetics que l'on doit cette nouveauté. Si les petites fioles imaginées par l'enseigne ressemblent davantage à des flacons de vernis à ongles, c'est bien de rouge à lèvres dont il s'agit. Doté d'un embout spongieux, il contient une matière poudreuse qui se liquéfie instantanément une fois au contact de la peau, offrant un effet satiné, soyeux et hydratant aux lèvres. Outre le fini uniforme, le rouge à lèvres en poudre garantit
3 nouveautés mode et beauté qui collent à la peau

3 nouveautés mode et beauté qui collent à la peau

Qui n’a jamais rêvé d’un collant sans couture et adapté à sa morphologie ou d’un « blender » qui n’aspire pas votre fond de teint à 45 € les 35 ml ? Entre avancées technologiques et idées bien pensées, voici trois nouveautés mode et beauté fort sympathiques.   1. Les collants Heist débarquent en France Confort, robustesse, souplesse, la promesse d'Heist tient du miracle. Bien déterminée à révolutionner le marché du collant, la marque britannique a d'ailleurs déjà bien émoustillé les rédactrices des magazines féminins tels que Vogue, Vanity Fair, Sunday Times Style. Plus de goussets ni de coutures inconfortables, grâce à une technique de tissage en 3D qui permet de relier la paire en une pièce unique, ces collants nouvelle génération sont dotés d'une ceinture qui épouse la taille au lieu de la comprimer. Grâce à ce procédé utilisé dans le sportswear, vous pourrez donc désormais porter un collant opaque et respirer. Décliné en 80, 50, 30 et 18 deniers (pour le nude), les prix de ces quatre paires de collants super stretch oscillent entre 22 et 25 €. Inutile de dire qu'il vaut mieux éviter de s'asseoir sur une chaise à échardes.     © Heist studio   2. Le charbon, le nouvel allié beauté  S'il était déjà utilisé pour favoriser la digestion, les vertus du charbon actif ne se limitent plus seulement aux soucis gastriques. Détoxifiants, anti-oxydants et absorbants, les bienfaits de cette poudre obtenue par la calcination à très haute température de coques de noix de coco sont inf
La Saison des festivals vue par la dessinatrice Paillette

La Saison des festivals vue par la dessinatrice Paillette

Des Stan Smith, des platines et des paillettes : voilà ce qu’on trouve dans les créations de Paillette, jeune illustratrice parisienne. En vrai petit oiseau de la nuit, c’est avec ses quelques coups de crayon enfantins qu’elle décrit l’antre des teufs techno et des festivals de la capitale, avec ce qu’elles ont de magique mais aussi… de relou. Impossible de ne pas esquisser un sourire devant ces scènes que l’on connaît que trop bien : des Parisiens en mode bretons cachés sous des cirés jaunes quand la saison des festivals donne son top départ, ce mec toujours trop motivé à 6h du mat’ pour un dernier after ou encore la dégaine un peu (beaucoup) ridicule que l’on a en club pour éviter de payer les vestiaires (#bibendum #michelin). © Paillette       © Paillette       © Paillette   Sous le charme, on a donc donné rendez-vous à Paillette – tout juste rentrée du Baleapop - dans un petit café du 11e arrondissement, histoire qu’elle nous griffonne sa saison des festivals, avec son univers régressif et son ton sarcastique qui matchent si bien. Tout en sirotant une bière, un stylo flamand rose à la main (une petite trouvaille kitchou dont elle était très fière), il n’a fallu que de quelques minutes avant que le Weather, Rock en Seine ou encore We Love Green n’écopent du regard critique de Paillette.  © Paillette   © Paillette   © Paillette   © Paillette   © Paillette   © Paillette    
Une boutique éphémère pour se sentir comme chez Soi

Une boutique éphémère pour se sentir comme chez Soi

Il y a ces souvenirs que l'on renferme dans des mallettes à double tour et puis il y a ceux qu'on laisse volontiers s’accoquiner avec le présent. Julia et Aurélie, créatrices de Soi Paris, ont pris le parti de faire des anecdotes du passé l'ADN de leur marque. Non loin du premier pop-up store situé au 11 rue Debelleyme qu'elles avaient investi au printemps dernier, les deux sœurs ont posé leurs valises dans la boutique éphémère du 57 rue Charlot et ce, jusqu'au 24 décembre prochain. © Julia Boutboul     Dehors, la grisaille parisienne a beau faire son œuvre, une fois la porte poussée, le charme opère : on se sent vite chez soi. Un esprit cultivé d'abord côté déco. Le canapé en osier qui trône à l'arrière de la boutique recouvert de coussins rose poudré, les petites gourmandises joliment présentées sur le comptoir et les lumières tamisées promettent bel et bien un moment shopping cocooning. Dans cet espace féminin et chaleureux, on se laisse alors bercer par l'histoire de ces deux sœurs, que Juliette, charmante vendeuse, s'occupe de nous conter.  Des histoires-à-porter  Car c'est bien là tout l'enjeu de la griffe parisienne : mêler prêt-à-porter et print story. Chaque imprimé s'inscrit dans une petite histoire personnelle. Une pièce de monnaie qui se dérobe lors d'un tour de magie inspire l'imprimé La Magie tandis que des silhouettes capturées du haut d'une télécabine de Singapour donnent vie à l'imprimé coloré Les Baigneurs. Pour leur deuxième collection, les fondatrices de
Eye Contact Experiment : en octobre, osez cette expérience unique !

Eye Contact Experiment : en octobre, osez cette expérience unique !

Le concept vous intrigue depuis les premiers événements en 2015, mais vous n’avez toujours pas osé sauter le pas ? Ca tombe bien : l'Eye Contact Experiment revient en octobre à Paris pour deux dates ! En 2015, ils étaient un millier à s’être donné rendez-vous place de la République pour vivre une expérience unique et quelque peu… étrange. Le principe ? Plonger ses yeux dans ceux d’inconnus pendant une minute. Oui, ça rend mal à l’aise rien que d’y penser et c’est bien là tout l’enjeu de l’exercice : briser certaines angoisses infondées de notre société contemporaine. En effet, un regard pourtant « innocent » peut être synonyme de vraie panique pour beaucoup d’entre nous. Ce mec qui vous fixe dans le métro ? Un pervers ! Il maintient votre regard ? Il essaie de vous intimider (ou pire, d'entamer une baston de regards) ! Il vous observe avec intérêt ? Vous avez forcément un bout de salade coincé entre les dents… Stop, la parano ! L’idée de la Eye Contact Experiment va donc bien au-delà de la simple compétition se résumant à savoir qui tiendra le plus longtemps en soutenant le regard de l’autre. Après une minute passée les yeux dans les yeux, les participants sortent généralement de l’expérience assez bouleversés. Des conversations s’engagent, des sourires gênés s’esquissent et des sentiments amoureux peuvent même naître (si, si !). Evidemment, chacun est libre d’arrêter l’échange visuel lorsqu’il le souhaite ou de changer de partenaire. La seule contrainte : une distance de deu