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Pour découvrir tous nos articles sur l'actualité de l'édition 2024 du festival Rock en Seine, c'est par ici.
Pour la 11e édition en 2013, le festival Rock en Seine a réussi à battre son record d'audience en attirant 118 000 amateurs de rock. Avec ses soixante concerts en trois jours, c'est le festival d'Ile-de-France le plus massif, un antidépresseur musical qui se déroule chaque année à la fin de l'été pour mieux affronter la rentrée. Il est organisé dans le domaine national de Saint-Cloud, un immense parc de dix-sept hectares classé monument historique et agencé « à la française » il y a trois siècles par André Le Nôtre, paysagiste de Louis XIV. Aller à Rock en Seine, c'est le plaisir de se perdre dans ce dédale de taillis géométriques, et de sauter dans la boue au milieu de la foule sur les meilleurs sons du XXIe siècle.
Les plus grands groupes de rock, électro, pop et hip-hop jouent sur les planches de la grande scène, tandis que des petits groupes attirent les curieux sur les estrades secondaires. Cette année, les programmateurs nous gâtent, en conviant notamment des groupes qui n'avaient pas fait de concerts depuis un moment, comme Portishead ou The Prodigy. Mais Rock en Seine est aussi l'occasion de couronner la montée en flèche de jeunes artistes qui ont le vent en poupe, comme les épatants français de Feu! Chatterton, le Canadien impertinant Mac DeMarco, Joey Bada$$ et son hip-hop qui sonne old-school, ou l'électro indie de Trentemøller. La liste des légendes qui ont
Pour découvrir tous nos articles sur l'actualité de l'édition 2024 du festival Rock en Seine, c'est par ici.
Avec ses soixante concerts en trois jours, Rock en Seine est un des festivals d'Ile-de-France les plus massifs, un antidépresseur musical qui se déroule chaque année à la fin de l'été pour nous aider à mieux affronter la rentrée. Il est organisé dans le Domaine National de Saint-Cloud, un immense parc de dix-sept hectares classé monument historique et agencé « à la française » il y a trois siècles par André Le Nôtre, paysagiste de Louis XIV. Aller à Rock en Seine, c'est allier le plaisir de se perdre dans ce dédale de taillis géométriques, à celui de sauter dans la boue au milieu de la foule sur les meilleurs sons du XXIe siècle.
Les plus grands groupes de rock, électro, pop et hip-hop jouent sur les planches de la grande scène, tandis que les plus petits attirent les curieux sur les estrades secondaires. En tête de l'affiche 2015, on retrouve des noms tels que Kasabian, FFS (Franz Ferdinand & Sparks), The Offspring, Fauve, Tame Impala, The Chemical Brothers, Alt-J, Hot Chip, Mark Lanegan Band... La liste des légendes qui ont joué ici ne cesse de s'allonger depuis la création du festival en 2003, alors ne manquez pas Rock en Seine 2015 pour vivre l'un des temps forts de l'été à Paris.
Aujourd'hui, il est désormais socialement acceptable de chanter devant tout le monde des tubes ringards. A l'ère du télé-crochet généralisé à la télévision, il était finalement logique que chacun finît par défier les plus grands chanteurs, micro à la main, cocktail dans l'autre. Certains croient d'ailleurs dur comme fer y jouer une potentielle carrière dans le vedettariat, tandis que d'autres s'amusent simplement à pousser la chansonnette sans se soucier du lendemain. De la même façon qu'il existe plusieurs types d'amateurs de karaoké, il existe différents types de karaokés. Voici une petite typologie que nous avons réalisée à partir d'un échantillon éclectique. Du karaoké parisien à l'ancienne, froid et touristique, au karaoké branché à la japonaise, en passant par l'ambiance survolté du Chinatown de Belleville, vous trouverez sans doute l'endroit idéal pour chanter mal et vous laissez aller à un lâché de micro, comme un vrai.
Voici le classement des plus grands films cultes des Parisiens, réalisé d'après plus de 2000 votes des lecteurs de Time Out Paris. D''Alien' à 'West Side Story', en passant par 'Scarface', 'Pulp Fiction', 'Taxi Driver', 'Les Demoiselles de Rochefort' ou 'The Big Lebowski', les meilleurs films cultes d'hier et d'aujourd'hui se retrouvent et font la course !
With every month that comes and goes, a new coffee shop opens its doors. The specialty coffee market is flying high and Paris has become a hub for coffee lovers. Have a look at some of our new favourites which are dotted around the city.
Sac à dos bien harnaché et chaussures confortables aux pieds, vous voilà prêt à sillonner la capitale de fond en comble. Tour Eiffel, catacombes, Belleville et Beaubourg dans votre ligne de mire, vous avez appris par cœur le plan du métro parisien. Il ne vous reste plus qu'à trouver un pied à terre pour poser votre baluchon.
Puisqu'entre le voyage et le budget sorties vous n'avez plus beaucoup de billets de côté, on a sélectionné pour vous les dix meilleures auberges de jeunesse à Paris. Pour des nuits à moins de 20 € ou à plus si vous êtes du genre yolo.
Where is it? Rue des Chaufourniers, 19th arrondissement
When is it? 1-2 October
Why go? To get an exclusive view into Butte Bergeyre’s garden and taste the wine it produces
Take a detour from one of the streets in the 19th arrondissement and you’ll find a steep staircase towards verdant gardens and buildings covered in ivy. It’s not a hidden entrance to Parc de Buttes Chaumont, as many think, but an entrance to one of the most surprising and unknown areas of Paris: Butte Bergeyre. Nestled 100m up, the hill is home to five streets and 1200 residents, mostly artists and architects, who are lucky enough to have an expansive – and peaceful - view of Paris right on their doorstep.
The public only have access to this green little patch of heaven during the last weekend of September (la Fête des Jardins) and the first weekend of October (la Fête des Vendanges). For Saturday 1 and Sunday 2, you can have a sneak peek of the garden and taste the la cuvée du clos Bergeyre 2015, a wine which blends pinot noir and Chardonnay grapes. Banned from sale on any other day, this is a rare opportunity to try wine from the city's only vineyard and from previous vintages.
And don't panic if you’re not in Paris this weekend, make up for it by visiting Montmartre to wander round its charming, winding streets and gardens.
For more information about Fête des Vendanges events, click here.
Alléluia ! l’Euro 2016 approche, avec son cortège de grands matchs, de pintes de bière, de cris emplis de mauvaise foi, de tension et d’embrassades. Quand on a Bein Sport, on s’installe dans son canapé et on se régale. Sinon, que fait-on ? On arpente Paris à la recherche d’un bar sympa et pas trop bondé qui diffuse le match dans une atmosphère bon enfant. Une quête qui peut tourner au cauchemar quand elle est improvisée et déboucher sur une pinte à 10 €, un match déjà bien entamé, et un poteau qui empêche de voir. Heureusement, Time Out vous a concocté une sélection de bars parisiens pour regarder l’Euro 2016.
Mai s'achève et juin commence mais la météo reste mauvaise : qu'importe, nos bons plans, eux, demeurent sans nuages. Voici donc un déluge d'événements inédits, de festivals endiablés, de spectacles délirants et de sorties ciné immanquables.
Du 16 mai au 5 juin, Roland-Garros n'est pas seulement le partenaire officiel des siestes de tous les ados, étudiants et chômeurs de France depuis sa diffusion à la télé et la douce voix caressante de Jean-Paul Loth et Michel Dhrey, c'est aussi le tennis qui rappelle aux Français qu'il existe d'autres sports que le foot. « Coucou, je suis là ! » semble-t-il nous dire chaque année quand vient le printemps. Et tout le monde de s'intéresser soudain à des types répondant au nom d'Axel Michon ou Adrian Mannarino, candidats français vite passés à la trappe, ou encore de vouloir ressortir la raquette pour se faire un court.Si le tournoi de la porte d'Auteuil rassemble des millions de téléspectateurs tous les étés, ce n’est pas uniquement par amour de la balle jaune. Mâles bronzés et huilés, jeunes filles russes en jupette plissée, cris sauvages et tension silencieuse : Roland-Garros, c’est avant tout une affaire d’érotisme. Cela dit, il y a un monde entre les poses sexy que prennent les joueurs et les joueuses quand ils gagnent, ou bien lors des séances photo, et les gueules cassées qu'ils nous présentent en plein effort.D'où ce petit dossier non exhaustif sur le tournoi de Roland-Garros, qui allie infos pratiques, analyse brillante et pronostics.
Quoi ? • Roland-Garros.
Quand ? • Du 16 mai au 5 juin 2016.
Où ? • 2 avenue Gordon Bennett. Paris 16.
Tour à tour bluesman, mod, folkeux ou chanteur psychédélique quand il n'était qu'un aspirant à la célébrité, puis icône glam, soul, rock, mondialement connue, David Bowie a changé de style aussi aisément qu'un serpent de peau. A la fin des années 1970, sentant le vent tourner, il part à Berlin et côtoie l'avant-garde expérimentale et électronique. Alors que dans les années 1980 il entame un virage plus commercial avec 'Let's Dance', il tente ensuite l'expérience du groupe avec Tin Machine. Retour en solo dans les nineties où il touche aux sonorités industrielles, dub ou électro avant d'être définitivement considéré comme un artiste classique dans les années 2000. Bowie le caméléon, qui a pu changer de coupe de cheveux, de look, de costume mille fois dans une même année, a absorbé toutes les influences de ses proches et se les est appropriées. La preuve avec ces 29 photos magnifiques, allant de ses débuts à 2016, année de la sortie de son ultime album 'Blackstar' quelques jours avant l'annonce de son décès.
Pour qui ? Les rockeurs et métalleux au cœur tendre et à la longue tignasse shampouinée à la bière, les habitants du quartier, et tous les amateurs de binouze, prêts à venir de très loin. Boire quoi ? L'une des huit binouzes en rotation, pardi ! Ce soir-là : une très bonne Northmaen Blonde, amère et douce (4,50 € la pinte). Les clichés ont la vie dure : beaucoup imaginent sans doute les fans de rock et de métal comme de simples bourrins se saoulant à la Kronenbourg ou la Kanterbrau. Or, depuis quelques années à Paris, on compte un nombre grandissant de bars à tendance rock (ou non) qui se lancent dans la bière de qualité, comme le Supercoin ou la Fine Mousse. C'est le cas de ce génial bar, un peu à l’écart du tumulte de Ménilmontant, dans la rue qui mène au Lou Pascalou et au restaurant La Boulangerie. Depuis l’été 2013, les gérants des Trois 8 ont décidé de redéfinir leur activité. Fini de servir tout et n’importe quoi dans le désordre, voici venu le temps des bières artisanales et du vin bio, sur fond de rock qui défouraille et de restauration à la bonne franquette (formidables planches de charcuterie et fromage, terrines, sandwichs...) Comme certains de leurs camarades amateurs de bière, les Trois 8 s’approvisionnent directement chez les brasseurs, et parfois chez le caviste la Biérocratie. Les bières sont microbrassées, c'est-à-dire artisanales, tout sauf industrielles. Quand certains des serveurs des Trois 8 brassent eux-mêmes leur bière... A la carte ? Une huitaine de
Une petite oasis, posée sur la dalle qui recouvre le périphérique, juste à la frontière entre Paris 20e et les Lilas. Voici comment il faut imaginer le Cirque Electrique, installé ici depuis 2010 après quinze années de pérégrinations et d'itinérance à travers toute la France. Au milieu des grands immeubles de bureaux modernes, ces chapiteaux anachroniques mettent un peu de rouge dans la ville grise et font rempart face au monde extérieur, agressif, sauvage et totalitaire pour protéger une terrasse.
Performances, débats, expos, bals, théâtre, projections de ciné-concerts, on trouve toujours un truc à faire pour pas cher au Cirque Electrique. L'école du Cirque propose même des initiations pour les enfants, des stages et des ateliers pour adultes qui se déroulent sous les chapiteaux.
What should I drink? A pint on the terrace.
Ménilmontant is still one of the best areas in Paris. And the tapas bar opposite from the Notre-Dame de la Croix church only strengthens its case. Authentic and affordable (€3.50-6.50 per plate), there’s patatas bravas, bocadillos with Poilâne bread, ham and mozzarella, sautéed shrimp, mini-chicken skewers and tortilla.
To wash it all down, there’s a range of rums, cocktails and regularly changing well-priced wines. As if that wasn’t enough to keep you busy, there’s a free jukebox and when the weather is good, a charming little terrace bursting with flowers.
Pour qui ? Ceux qui veulent manger du homard sans se ruinerPlat culte ? Le homard de 500 g cuit au four et coupé en deux (25 €)A quand remonte la dernière fois où vous avez grailler du homard ? Cher, compliqué à trouver, il ne constitue pas vraiment le plat quotidien des Parisiens. Depuis 2014, quatre potes ont décidé de démocratiser le crustacé-star, en lançant ce resto monomaniaque. Pour régaler leurs clients de homard frais à prix abordables, Vivien, Louis, Rémy et Damien se fournissent directement aux Etats-Unis et au Canada. Les bestioles à antennes débarquent vivantes à Paris, et atterrissent dans l'un des deux viviers plongés dans l’obscurité, quatre jours seulement après avoir été pêchées.
Carte ultra-ramassée, avec trois plats à 25 € : un homard de 500 g cuit au four et coupé en deux, un lobster roll (sandwich ricain pour les paresseux : la chair a déjà été dépiautée), et une côte de bœuf de 500 g d’origine irlandaise pour les allergiques aux fruits de mer qui voudraient quand même accompagner leurs copains. Tous trois sont accompagnés de frites maison, ainsi que de mayonnaise. Et on peut dire qu’elle prend, vu la bonne ambiance qui règne dès l’ouverture du restaurant, plein à craquer en ce samedi soir. A 19h30, une petite file d’attente de Parisiens avertis se presse déjà à la porte d’entrée.
Les associés mettent la pince à la pâte, prenant les commandes, conseillant celui qui veut et fabriquant sous vos yeux, si vous êtes au comptoir, de cocktails plus que correct
Pour qui ? Ceux qui bossent dans le 9e et qui veulent prendre le temps. Le plat culte ? Le suprême fermier basse température.
Comme tout nouveau restaurant qui se respecte, Tous est né autour d'un concept : les entrées et les plats sont tous déclinés en deux recettes différentes. Exemple ? Le saumon est, au choix, mariné à la betterave et aux agrumes ou en tartare sauce soja ; la volaille en suprême fermier basse température ou en cordon bleu (l'effet Emmanuel Macron ? « On mâche ! ») avec ses haricots verts ; l'artichaut, en purée ou en risotto Carnaroli. L'idée est simple et efficace, surtout elle permet de limiter le nombre de produits, de les garder frais et d'éviter de les stocker. Pas de micro-ondes, pas de congélo. Encore plus convivial, la « cocotte » maison permet de partager un bon petit plat qui se renouvelle chaque semaine. Dans nos assiettes, nous avons goûté un velouté de pois qui n'était certes pas de saison (chaleur), mais très savoureux et salé. Le suprême fermier qui suivait rappelait lui aussi la cuisine traditionnelle et familiale, tandis que le plat du jour, pâtes à l'asiatique avec des chips de patate douce, nous régalait gras-cieusement. A tel point que le chariot de desserts nous a paru un Everest gastronomique à gravir ! Huit euros pour un échantillon large de douceurs qui comprend baba au rhum, brownie, cake, chous à la crème... N'hésitez pas à rajouter une lichette de rhum pour digérer. Côté décoration, le comptoir et la terrasse sont accueillants
Pour qui ? Les gastronomes du quartier. Le plat culte ? Le menu découverte. Aujourd’hui, les bistrots, les bars et les cafés déclinent leur nom comme un programme résumé en un seul mot ou presque : Vignes, Bien Elevé, Les Pinces, Vantre, Cuiller, Melt… et Fraîche, donc. Un terme qui promet du neuf et du bon, mais aussi de la bonne ambiance façon ‘Valseuses’. « A la fraîche », on s’installe à notre table dans l’ouverture de la porte ouverte pour avoir un peu d’air, et très vite on s’occupe de nous avec prévenance et on nous renseigne avec précision sur la carte, de quoi faire vite notre choix. On opte en entrée pour l’œuf poché avec asperges blanches et coppa et il faut avouer que nous sommes un peu déçu par cette entrée en matière qui coûte quand même 12 € : le plat semble trop salé et l’œuf poché ne dégouline pas assez à notre goût, ce qui rend le résultat un peu lourd pour la saison estivale qui commence. Heureusement qu’un très bon cairanne vient exciter nos papilles pour patienter. Tout vient à point à qui sait attendre, nos plats sont à la hauteur des espérances, même si les gambas ne sont pas très copieuses. En revanche, quel tajine de filet d’agneau cuit à merveille ! Il y a largement de quoi partager, et l’accompagnement a le mérite de l’originalité : des carottes déclinées sous toutes leurs formes, simplement cuites, en purée et en chips. Pendant que notre voisin de table, un célèbre animateur télé, vient embrasser les chefs en cuisine (Tiffany Depardieu de "Top
Difficile de vous repérer dans la jungle des petits groupes garage qui écument les salles de concert ? On vous aide : les Mystery Lights tracent leur sillon en 33 petits tours, à coups de guitares fuzz, d'orgue mélodique et de cris délicieusement punk. C'est sixties, c'est sexy, c'est dansant, c'est cool. Pour vous convaincre, jetez-vous sur le tube "Follow Me Home", son solo à l'envers (sixties, on vous dit) et son riff accrocheur, vous ondulerez comme une baguette de sourcier à l'embouchure du Pacifique. La vérité, c'est que leur premier disque entier est une bombe, qui ressuscite l'esprit des Sonics, des Seeds ou du 13th Floor Elevators. Signés chez le fameux label soul Daptone Records, les Mystery Lights sont surtout un putain de bon groupe en live. A la Maroquinerie, leur show s'est vite transformé en transe garage punk.
Sacré groupe, les Duchess Says, un peu foutraque en live, mais avec une énergie débordante. A tel point que la chanteuse Annie-Claude finit souvent dans la fosse en train d'hurler ses incantations post-punk et électroniques. Duchess Says, ce sont trois disques épatants sortis entre 2008 et 2016, remplis de titres tantôt dansants, tantôt expérimentaux, tantôt bizarres. Attention, n'allez pas croire en lisant « post-punk » et « rock électronique », ou encore le mot « dansant », qu'il s'agit d'un énième groupe de hipsters tendance. Les Duchess Says ont le bonheur d'habiter à Montréal, ce qui signifie qu'ils ne font pas les choses comme les autres. Leur musique est radicale et originale, avec un je-ne-sais-quoi de cette élégance française que leurs ancêtres leur ont léguée. Et si tout ça ne suffisait pas, le groupe partage l'affiche avec les Belges de Mountain Bike, du pop-rock garage sympa qui fait penser à Arctic Monkeys ou Blur. Alors qui c'est qui va sortir à la Station début juillet ? C'est bibi.
Whilst the vegan movement is picking up steam, the meat lovers certainly haven’t said their last words just yet. Having said that, the two owners of Bien Elevé in the 9th don’t like to be referred to as just meat-loving carnivores. They define their cuisine as French-produced meat; such as Black Angus from Chateâuneuf in the north of France, a farm whose ethos is solely focused on the well-being of its livestock.
As you'd expect, most people come here for the meat, notably the beef - but don’t write off the fish. The catch of the day from Tom Saveurs is great and is well seasoned in a magnificent lettuce, celery and sorrel soup. But the stuff of kings here is red meat, meltingly tender rump steak, or 35 day matured professionally butchered rib eye in parsley sauce. It’s a complimentary mix of refined cuisine but with bistro tendencies, which is well thought out by the chef Thibault Eurin (previously of Caillebotte). The puddings are very tasty and well balanced, add an impressive wine list to match; and you’ve got all the ingredients for a very successful meal.
Pour qui ? Les gens matures.Le plat culte ? La pièce de bœuf maturée du jour.Le mouvement végan a beau prendre de l'ampleur, les amoureux de la viande n'ont pas dit leur dernier mot. Pour autant, ils n'aiment pas tous qu'on leur prête une réputation de carnassiers, et c'est le cas de Dimitri et Arthur, les fondateurs de Bien Elevé. Avec cette adresse planquée entre les Grands Boulevards et le métro Cadet, ils définissent leur idée de la politesse : de la viande maturée et des produits d'origine française, dont black angus de chez Châteauneuf dans le Nord-Pas-de-Calais, une ferme où le respect total du bien-être animal n'est pas un vain mot. Vous l'avez compris, on vient ici pour la viande, notamment le bœuf, mais aussi pour le poisson. En ceviche, en pêche du jour de chez Tom Saveurs ou bien encore assaisonné dans une magnifique soupe de laitue, céleri et oseille. Mais le morceau de roi, c'est la bidoche rouge, rumsteck pour la tendreté, faux-filet pour le côté animal et persillé ou entrecôte pour les fringales, maturée trente-cinq jours et découpée par un boucher professionnel qui vient dans la chambre froide de l'établissement. Un mélange de raffinement et de bonne franquette bistrotière (coucou les frites), bien pensé par le chef Thibault Eurin, qui officiait auparavant chez Caillebotte. Les desserts sont gourmands et équilibrés, ajoutez une carte des vins bien achalandée et un service aux petits oignons (il n'y a pas que la viande qui est bien élevée), vous obtenez les i
Pour qui ? Ceux qui ont eu un coup de bol.Le plat culte ? Un bol du chef, toujours surprenant.Seconde adresse pour les Bols de Jean du côté du faubourg Poissonnière, dans un quartier qui se transforme en salle à manger géante pour Parisiens pressés. On avait d'ailleurs plutôt aimé le premier restaurant ouvert à Quatre Septembre par le chef Jean Imbert, surtout pour son concept original, des pains briochés délicieux réalisés par Eric Kayser et fourrés avec une recette différente en fonction de l'inspiration. A chaque fois, on retrouve des thématiques telles que le bol végétarien, le bol du chef, le bol retour du marché ou encore le bol de Bretagne. La déco aussi rappelle la première adresse, tables étonnantes en lattes de bois et comptoir blanc élégant.
Petite déception en revanche lorsque nous retournons tester l'adresse du faubourg Poissonnière. Le bol du moment ressemble à une salade César Monoprix qu'on aurait juste déposée dans le pain brioché, toujours aussi bon. Le bol du chef, lui, est plus appétissant et fait preuve d'un peu plus d'originalité : du bœuf haché d'Aubrac avec une béchamel gratinée à l'emmental. Toujours pas d'entrée et des portions finalement un peu chiches, on se venge sur le dessert, cookie et salade de fruits, sympathiques mais pas mémorables non plus. Bref, une adresse intéressante mais qui mériterait de se renouveler un peu.
Pour qui ? Les gourmets du Marais.Le plat culte ? Les spaghetti chitarra, le poulet fermier et la salade de poulpe grillé.Ne vous laissez pas impressionner par l’allure un peu trop guindée de ce « néo-bistrot » qui remplace un ancien diner à l’américaine de la chaîne HD, clinquant et médiocre. A l’intérieur, il y règne en réalité une atmosphère chaleureuse au gré de l’accent russe du sympathique personnel, qui nous accueille avec des amuse-bouche faits de saumon fumé, de pain de campagne et de beurre de baratte. Aux murs, les carreaux et formes géométriques de couleur rappellent évidemment Piet Mondrian, tandis que l’incroyable beauté de la vaisselle (adaptée à chaque plat) donne à l’ensemble un standing luxueux qui s’éloigne de l’esprit bistrot qu’on retrouve pourtant dans la cuisine et l’amabilité du chef.
Le chef, justement, c’est Davide Galloni, né en Italie d’une mère thaïlandaise et d’un père italien. Rompu à la restauration dans les grands hôtels de la Botte et lors de ses multiples voyages (Asie, Mexique…), Davide pratique une cuisine fusion audacieuse dont il puise l’inspiration dans ses souvenirs d’enfance. Le pecorino qu’il ajoute dans son très beau tartare de langoustines aux fèves est un hommage aux racines toscanes de son père, et son délicieux poulet fermier à la sauce penang et quinoa noir est un arrangement d’une recette de sa grand-mère. Mieux, chaque plat mêle ingrédients italiens et thaïs, yuzu et pecorino dans le tartare, papaye et câpres dans le poulpe g
"Nothing Else Matters" de Metallica qui devient un joli chant de Noël, "Hey Jude" des Beatles qui sonne comme un air funèbre... Pas besoin de rejouer le morceau pour obtenir un tel résultat, il suffit de modifier la tonalité du titre, de majeure en mineure ou inversement. Les deux tonalités dégagent chacune des émotions différentes, qu'on pourrait résumer (très grossièrement) ainsi : alors que la tonalité majeure est supposée plus joyeuse, plus emportée, pleine d'espoir et d'allégresse, la tonalité mineure est dite plus grave, triste, obscure, mélancolique.
Passer de l'une à l'autre à partir d'un fichier audio numérique est loin d'être évident. C'est pourtant le projet fou du compositeur et mélomane d'origine ukrainienne Oleg Berg, qui a dévolu un site et une chaîne YouTube à son activité. D'autres l'ont précédé ou imité dans cette démarche, mais Oleg semble être le seul à la poursuivre avec un tel acharnement et surtout une telle application. Tout est fait à la main, sans logiciel autotune, ce qui explique que certains solos joués dans une tonalité différente du morceau soient eux aussi transformés. Si chacune de ces tentatives ne tient pas toutes ses promesses, nous en avons sélectionné quelques-unes plutôt réussies, en tout cas insolites, réalisées par Oleg Berg ou d'autres Youtubeurs. Avec en prime, un commentaire drôle ou intelligent d'un internaute, parce qu'ils ont du talent quand même.
"I see why Michael preffered minors"
"Is this Offspring new single ?"
"Extra
Kenza Aloui et Inès Weill-Rochant sont-elles inconscientes, ultra optimistes ou juste des jeunes filles qui refusent de perdre leurs illusions ? En plein regain de tension entre Israël et la Palestine sur la bande de Gaza en 2014 (un peu avant pour être précis), ces deux anciennes camarades de Sciences Po ont créé le premier festival Pèlerinage en décalage, qui invite des artistes des deux pays. L'initiative est unique en France et la première se déroule finalement sans heurts à la Bellevilloise. « Pour une première édition, on a reçu 1114 personnes, raconte Inès, on ne s’y attendait vraiment pas, ça fait 500-600 par jour ! Des soirées très remplies, le forum était blindé et surtout il n’y a pas eu de violences, pas même de débat houleux alors qu’on s’attendait à ça. » Et Kenza d'ajouter : « Nous sommes totalement indépendants des institutions gouvernementales et financés via le crowdfunding, donc les artistes ont tout de suite adhéré au projet ! » En 2015, les deux amies remettent le couvert et enfoncent le clou : trente artistes bénévoles israéliens et palestiniens sont réunis autour de huit disciplines : poésie, cinéma, musique, slam, danse, mode, photographie et sculpture. A force de documentaires, de concerts survoltés, d'expos frappantes, de performances étonnantes et de rencontres éclectiques, Pèlerinage en décalage a réussi la prouesse de convaincre jusqu'à ses détracteurs les plus sceptiques, dont la curiosité est immanquablement piquée par la programmation. Surtout
Le 28 février dernier, les enchanteurs King Gizzard ont sorti leur nouveau chef-d'œuvre, 'Flying Microtonal Banana', et le 6 juillet prochain, le groupe culte Midnight Oil passera en concert à l'Olympia. Leur point commun ? Il s'agit de deux groupes australiens. Une actualité riche qui nous a donné envie de rendre hommage à un pays dont les rockers ont longtemps été snobés, pour ne pas dire méprisés. Pourtant, l'Australie est une vraie terre de rock, une patrie d'expatriés qui a elle aussi contribué à l'histoire du genre, ou plutôt des genres : punk, garage, indie rock, hard, psyché, les « aussie rock bands » savent tout faire. La preuve en quinze groupes.
1. The Atlantics
Pionniers du rock australien, considérés comme l'un des meilleurs groupes de surf rock, ce genre popularisé par les Beach Boys et Dick Dale, les Atlantics ont connu une grande popularité chez eux et au-delà. Leur tube absolu s'intitule "Flight Of the Surf Guitar", un truc qui swingue et qui cogne, quasiment punk et garage.
2. The Easybeats
Le groupe qui a posé les fondations du rock australien, l'alpha et l'oméga du coin. Savant mélange d'harmonies à la Beatles et de brutalité rock à la Stones, les Easybeats sont passés à la postérité grâce à leur génial hit "Friday On My Mind", qui a hélas éclipsé le reste d'une discographie à l'avenant. On pourrait citer une pléthore de morceaux de haute volée du même acabit, de "My Wedding Ring" à "Good Times" en passant par "I'll Make You Happy" ou "Sorry", tout un
C'est l'un des lieux les plus excitants de Paris qui va enfin naître sous nos yeux, après cinq années de luttes et de travaux. Ancienne gare de l'avenue de Saint-Ouen créée en 1889 et réhabilitée par trois jeunes Parisiens, le Hasard Ludique va animer les soirées d'un quartier excentré et plutôt calme de Paris, entre la porte de Saint-Ouen et le métro Guy Môquet, dans un esprit solidaire et artistique. Du 29 avril au 21 mai, quatre week-ends de fête, de musique, de ripaille et de culture vont se succéder là-bas pour le plus grand plaisir des Parisiens. Il faut dire que le Hasard Ludique se conçoit comme un lieu participatif et original. C'est à travers une plateforme collaborative appelée la Fabrique du Hasard Ludique et via un crowdfunding que sa création a vu le jour au fil des années. Ici, les 1 200 « bâtisseurs » et bénévoles ont donné leur avis à chaque étape de la construction et leurs meilleures idées seront mises chaque année en avant lors d'un grand festival. Résultat, un formidable lieu hybride qui contient un bistrot, une salle de concert de 300 places et un atelier de pratique artistique collective, l'endroit idéal pour passer le printemps et l'été. Retrouvez tous les programmes et la billetterie ici.Quoi ? • Quatre week-ends de fête pour l'inauguration du Hasard LudiqueQuand ? • Du 29 avril au 21 maiOù • 128 avenue de Saint-Ouen, Paris 18eCombien ? • 8 € avant 16h30, 12 € après. Gratuit les dimanches.
Avec les beaux jours, la folie des brocantes perdure, entraînant dans son sillon biffins et antiquaires, mais aussi particuliers en mal de petites économies. Le vendeur débarrasse ses étagères et met du beurre dans les épinards, l'acheteur trouve ce qu'il cherche à prix cassés et remplit son cagibi. Tout le monde est content, à commencer par ces six personnages que vous connaissez certainement déjà si vous êtes habitués aux vide-greniers.1. Le vautour
Réveillé à 5h du matin par l'excitation d'un nouveau vide-grenier, perspective plus enchanteresse que l'aube de Noël pour un enfant, le vautour se presse sur les étals des brocantes avant même que vous ayez déballé vos affaires à vendre. Le vautour n'est pas là pour bayer aux corneilles, c'est un pro de la brocante. Il n'y va pas pour trouver la bonne petite affaire, il y va pour faire des affaires, pour faire tourner son business, parce que c'est un métier, monsieur. Il y passe ses matinées, flairant les bons coups aux premières lueurs, parfois à celle de sa lampe-torche, quand le vendeur ensommeillé ne sait pas encore ce qui lui arrive. Comme dans le règne animal, le vautour de vide-grenier travaille en bande : il se réunit autour de votre stand à peine sur pieds et attaque de tous les côtés. « Combien les téléphones ? » lance un premier, « vous avez des pièces anciennes ? » enchérit un autre, tandis qu'un troisième observe vos sacs encore par terre en demandant « c'est quoi dedans ? Vous vendez de la technologie ? Combie
Si pour vous, les jeux de société sont synonymes de Monopoly, Trivial Pursuit et Hôtel, alors vous êtes un ringard. Aujourd'hui, les jeux de société sont innombrables, il en sort des tracto-pelletées chaque année et les inventeurs rêvent tous de décrocher le jackpot en créant un classique tel que ceux que nous avons cités. Mieux, il existe désormais des jeux de société sur tous les thèmes possibles et imaginables, de quoi ravir n'importe qui, n'importe quand. En bref, si avez l'esprit ludique et/ou des enfants, ce festival est fait pour vous. Entre la boutique, les centaines d'exposants, les tournois et les trois cents jeux en libre service, la journée risque de passer très vite. L'événement ayant lieu sur un boulodrome d'un hectare, vous pourrez autant jouer en plein air que sous les tentes aménagées, ce qui est top avouez-le. Et si vous n'êtes pas fan, partez à la découverte d'un univers qui n'attend que vous.Quoi ? • Paris est ludique !, le festival de jeux où l'on joue.Quand ? • Samedi 13 et dimanche 14 juin. Où ? • Boulodrome ASB12, route des fortifications, Paris 12e. A une minute du métro Porte de Charenton (ligne 8).
Paris est Ludique 2015 from junebug on Vimeo.
« Ménilmontant, mais oui madame, c'est là que j'ai laissé mon cœur, c'est là que j'viens retrouver mon âme... », chantait Charles Trenet, enfant du pays. Une chanson symbole du quartier, un ancien village faubourien qui fleurait bon l'esprit d'artiste et le vin pas cher. Pendant longtemps, Ménilmontant était en effet séparé de la ville par la barrière d'octroi parisienne, ce qui permettait aux tenanciers de ne pas payer de taxes sur l'alcool et donc de régaler les ouvriers, saltimbanques et artisans qui s'aventuraient dans cette banlieue aux airs de campagne, avec ses vignes et ses coteaux. Aujourd'hui, la butte a conservé le charme de son histoire, sans doute grâce à sa situation excentrée et son altitude, qui l'isolent un peu du reste de la ville.9h : Une petite ascension vers le parc de Belleville pour s'ouvrir l'appétit.Une fois sorti du métro Ménilmontant, empruntez la rue Etienne Dolet un peu à l'écart, pour arriver face à l'église Notre-Dame de la Croix. Imposante avec son grand clocher, l'église vaut le coup d'œil, que ce soit depuis son esplanade, à l'intérieur, ou dans le petit square qui la jouxte. Une fois le tour du propriétaire effectué, prenez la rue d'Eupatoria, qui débouche sur une jolie passerelle sautant par-dessus les anciennes voies de la Petite Ceinture. Continuez le long de la rue de la Mare pour rejoindre la place Henri-Krazucki. Ménilmontant fait depuis longtemps partie des réservoirs d'eau de Paris, ce qui explique que le nom d'un certain nombre de
Le Sentier fait partie de ces quartiers de Paris qu'on l'on associe immédiatement à un cliché: le prêt-à-porter. Certes, depuis les années 1950, il s'agit de l'activité principale de ces rues au cadastre médiéval, qui empêchent pourtant les gros camions de livraison de passer. Pourtant, le Sentier a aussi accueilli pendant longtemps les sièges de presque toute la presse quotidienne, le Figaro et L'Humanité avaient ainsi leurs bureaux il y a encore une trentaine d'années autour de la rue du Croissant. Aujourd'hui, l'identité du quartier évolue encore sous les poussées gentrificatrices d'agences web, cabinets d'architectes ou start-ups en nouvelles technologies qui s'y installent, si bien que son visage ressemble de plus en plus à celui de son voisin de Montorgueil. Ne reste plus qu'à piétoniser les rues, et sa transformation sera achevée. 9h : Arrivée au métro et petit déjeunerLa sortie de métro Sentier comporte plusieurs originalités qui méritent le coup d'œil : tout d'abord, sa sortie rue de Réaumur est la seule bouche de métro implantée dans un immeuble. D'autre part, le panneau rouge et bleu qui la signale date des années 1930, ce qui là aussi unique à Paris, où les habitants sont plus habitués au M jaune cerclé d'inox ou au mât portant l'inscription Métro sur fond rouge. Prenez alors la rue d'Aboukir (l'un des nombreux noms du Sentier qui rappelle l'égyptophilie du début du XIXe siècle) et faites une halte au Lockwood pour un petit déjeuner australien plein de ressources.
2018 sera-t-elle l'année des jésuites ou de la cuite ? Est-il devenu ringard de présenter ses vœux de bonne année avec un statut Facebook ? Peut-on encore décemment dîner chez des amis jusqu'à 23h50 et s'éclipser pour faire le décompte en s'incrustant dans une autre soirée ? Smoking ou déguisement ? Foie gras ou saumon fumé ? Time Out ou le Bonbon ? Surtout, quel réveillonneur êtes-vous ? Pour le savoir, voici sept petits scénarios, on parie que l'un d'entre eux correspondra à votre soirée du 31.
Scénario 1 : la solitudine
Cette année, vous comptez inviter plein d'amis à dîner chez vous. Vous lancez les invitations à la cantonade, à chaque soirée, sur Facebook, par mail, via Snapchat, au téléphone, dans la rue. Toutes vos connaissances sont bienvenues, même Hervé, qui est un peu con. On vous répond : « Ok, ça me dit bien, mais il faut que j'en parle à Seb d'abord. », « Ah ouais carrément, ça peut être cool ! Je te confirme vite. » « Hmm, pourquoi pas ? » A deux jours du réveillon, seul Simplet (le surnom d'Hervé) vous a donné son accord officiel. Effrayé à l'idée de vous retrouver en tête-à-tête avec lui, vous annulez et vous vous incrustez chez Seb et Clara, qui sont un peu cons, mais moins qu'Hervé. Vous êtes... un banlieusard.
Les secrets d'un nouvel an réussi.
Scénario 2 : la modestie
Cette année, vous souhaitez retrouver la simplicité des premiers réveillons, quand vous n'étiez encore que des enfants innocents et purs. Un truc sans chichis, entouré de vos proches
Notre qualité de journaliste d'investigation indépendant nous oblige à dévoiler une information cruciale, au mépris du danger et des pressions politiques. MétéoLeak : Il fait super froid. Et ce n'est pas nouveau, ça fait au moins 15 jours que ça dure, à notre nez et notre barbe ! Certains s'en plaignent, mais ils ont tort. La vague de froid, c'est bath. La preuve.
1. Pour la première fois en cinq ans, vous trouvez plein de Vélib' dans la station près de chez vous. Et vous pleurez quand vous dévalez une pente, ça fait du bien, de pleurer.2. Les tocards en Canada Goose ont enfin une bonne raison d'en porter une à Paris.
3. Vous ne sentez plus rien. Même la vue de votre loyer ne vous fait plus souffrir.4. C'est l'occasion de faire gratos de la cryothérapie, cette technologie de pointe qui utilise le grand froid renforcer les défenses immunitaires. C'est bon pour la peau et la circulation sanguine.5. Les terrasses parisiennes sont libres, à vous le verre de rosé au soleil ! 6. Parce que vous cherchiez une nouvelle excuse pour boire du vin chaud et du whisky. 7. C'est le seul moment de l'année où tout le monde se soucie des sans-abri.8. Les adolescents portent des manteaux. Truc de dingue.9. Grand luxe pour tout le monde : avec ce froid, vous prenez un Uber même quand vous sortez acheter du pain. 10. Tous les Parisiens partagent soudain une chose : la sainte doudoune Uniqlo. 11. Votre nez coule mais la morve se transforme instantanément en élégants cristaux de glace.12. Le soleil
Le dénouement approche. Que vous soyez terrifié à l'idée de voir Donald à la tête du plus puissant pays du monde, ou exaspéré par l'omniprésence de la campagne américaine dans les médias, vous n'échapperez pas à la Nuit américaine : entre le 8 et le 9 novembre, les Américains voteront pour leur 45e Président. Pour vivre cet événement comme un Américain expatrié à Paris, c'est-à-dire en mangeant des cupcakes ultra sucrés et en prenant un accent nasillard, nous vous proposons un petit tour d'horizon de nos adresses étasuniennes et quelques idées pour célébrer la culture du pays.
9h du matin : Breakfast and furiousOn ne rigole pas avec le petit déjeuner aux Etats-Unis, alors faites honneur à la tradition et rendez-vous chez Soul Kitchen si vous aimez Montmartre, Bob's Juice Bar si vous préférez le canal Saint-Martin, ou The Hood si votre dada, c'est Belleville. Bon café, petit déj' et gâteaux garantis américains, avec un petit air de Brooklyn sur les bords. Flânez, traînez sur votre laptop et demandez un latte pour faire durer le plaisir.11h : L’art à l’américaine
Hasard du calendrier ou non, cet automne, la culture parisienne se met à l’heure yankee. Tout d’abord, avec la Maison Européenne de la Photographie (ou MEP pour les intimes), qui débute mercredi 9 novembre sa saison américaine et verra défiler les clichés de Dinan Michener, d’Andres Serrano et les « French Archives » d’Harry Callahan. Ensuite, avec l’exposition actuellement consacrée aux peintres américains des année
En 2017, une nouvelle bibliothèque parisienne verra le jour : il s'agit de la bibliothèque Davout/Lagny, au croisement du boulevard et de la rue du même nom, dans le 20e arrondissement. L'ouverture d'un lieu de savoir et de connaissance est toujours une bonne occasion de se réjouir, mais c'est aussi un bon prétexte pour passer en revue les plus belles bibliothèques parisiennes sous l'angle d'Instagram.
1. La bibliothèque nationale de France, site François Mitterrand.
On aime ou on n'aime pas, mais force est de constater que la dalle de la BNF et ses quatre bâtiments en forme de livres sont photogéniques et qu'ils inspirent les étudiants, les coureurs, les photographes en herbe. Sélection.
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Une photo publiée par Mohamed Firas M'nasri (@medfiras_mnasri) le 18 Oct. 2016 à 1h30 PDT
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Une photo publiée par MALO (@il_malo_della_famiglia) le 17 Oct. 2016 à 10h18 PDT
Sportifs qui vont à la bibliothèque, comme quoi tout est possible. #BNF #footing #sportparis #streetworkout #streetphotography #ruesdeparis #visitparis #parismaville #bibliotheque #escalier #whenthenightcomes #paris13 #quaisdeseine
Une photo publiée par Time Out Paris (@time_out_paris) le 20 Sept. 2016 à 23h12 PDT
2. La bibliothèque Sainte-Geneviève.Ou la « BSG » pour les intimes, haut lieu de drague et de bachotage pour tous les sorbonnards du quartier.
Obligé