Delphine Le Feuvre

Delphine Le Feuvre

Listings and reviews (31)

BOULOM

BOULOM

5 out of 5 stars
A première vue, l’endroit a tout d’une boulangerie de quartier tradi, si ce n’est qu’ici tous les pains sont réalisés à base de blés anciens. Mais B.O.U.L.O.M. est une « boulangerie où l’on mange »… Et pas qu’un peu ! Il suffit d’avancer le museau pour atterrir dans la caverne d’Ali Baba de Julien Duboué, le Landais déjà à la tête d’A Noste. Pour y entrer, on choisit son pain parmi les miches bio au levain naturel de Matthieu Dalmais, qu’on embarque dans une petite corbeille. Au milieu de la grande pièce lumineuse trône un buffet gargantuesque, autour duquel sont disposées de longues tablées où installer les copains, sous un plafond végétalisé. Buffet à volonté à 29 € au déj, 39 € au dîner (et brunch à 49 € le week-end). Chacun prend son assiette et picore selon son appétit bulots/mayo maison, terrine de boudin, salade de chou-fleur au kale, butternut crue finement tranchée assaisonnée aux agrumes et à la coriandre ou encore œuf mimosa et tartare au couteau de maboul ! Du côté des plats chauds, des marmites réconfortantes et revigorantes, à l’image des ribs de bœufs ultra-fondantes à accompagner d’une patate douce rôtie au four… Sans oublier le stand des desserts où l’on retrouve tous les classiques du genre : mousse au chocolat décadente, crème brûlée à la pistache goûtue, et profiteroles à monter soi-même. Attention à la crise de boulomie !A noter pour les parents : le prix est de 1,50 € seulement pour les enfants de moins de 14 ans… A multiplier par l’âge du bambin. Ce lie
I.B.U (IBU)

I.B.U (IBU)

4 out of 5 stars
Pour qui ? Les apprentis biérologues qui en ont marre de boire de la mousse sans saveur, mais ne veulent pas y laisser un rein. Boire quoi ? Une stupéfiante Saison Galaxy de la brasserie Kernel, entre la bière et le verre de vin (6,50 € la pinte). I.B.U. désigne à la fois l’International Bitterness Unit (l’unité qui mesure l’amertume des bières) et cette coolos cave à binouzes, planquée dans une ruelle calme du 10ème arrondissement. I.B.U pour "Independent Brews United". Dans cette tap house, on goûte la bière les coudes sur le comptoir, puis, sur les conseils avisés des patrons, on embarque sa pression en demi, en pinte ou, plus rare, en galopin (12,50 cl), dans une salle à la déco minimaliste — tables, tabourets, magnifique bar carrelé et pis c'est tout (comme dirait Philippe Lucas). L’endroit fait aussi caviste : pratique pour choper de bonnes bières avant de se pointer à l'anniv' de son pote. Les dix références proposées au mur sur un tableau lumineux changent tous les trois fûts (presque chaque jour donc) et proposent un sympathique tour du monde houblonné : bières locales, labels belges, références américaines… Alléchant, surtout quand on sait que le billet coûte entre 3,50 € et 9,50 €. L’occasion de découvrir des breuvages surprenants, à l’instar de la Rhuby Road, mise au point dans la capitale par la Brasserie de l’Être, une Berliner Weiss à la rhubarbe, agréablement acide (5 € le demi). Encore plus déconcertante, la peu pétillante Saison Galaxy de la brasserie london
NOUS Jeûneurs

NOUS Jeûneurs

3 out of 5 stars
Pour qui ? Les forçats du tertiaire, entre Bourse et Grands Boulevards, en quête d'une saine cantoche à l'heure de la pause déj'Plat culte ? Le nourrito : un burrito aux boulettes (veggie, poulet, agneau ou poisson). Coucou c'est NOUS ! Pour leur quatrième adresse parisienne, Paula et Henri Kerveillant, les fondateurs de cette désormais chaîne assument le côté « deux salles, deux ambiances ». Côté pile, au rez-de-chaussée, un spot lumineux jouant la carte de l'épure : chaises en bois brut et laine tressée, suspensions raphia, banquettes osier immaculées... Côté face, au sous-sol, une ambiance plus colorée et festive, censée rappeler les souks marocains.  Sans surprise, la carte retape les gimmicks habituels des autres établissements. Une NOUS-rriture très easy & healthy food, sur fond de jus bio pressé minute (5 €), où vous avez principalement le choix entre 3 formats : « nourrito » (burrito), « nourger » (burger) ou « nous bol » (bol garni)... Chacun étant ensuite à customiser (4 bases au choix : veggie, poulet, agneau ou poisson). Ticket moyen ? Entre 13 et 15 €. A côté de ça, des mezze à partager (9-13 €), des salades (13-15 €), et des tartines (14 €). On fond pour les quesadillas à la tomme de brebis aveyronnaise, avocat et graines de courge (10 € tout de même !). Moins pour cette sémantique très cucul la pral' qui schtroumpfe ses jeux de mots agaçants de l'entrée au dessert : « noupe », « nourmandises »... Et cette salade saumon et avocat, qui manque de coriandre et de c
Adar

Adar

5 out of 5 stars
Pour qui ? Ceux qui veulent amener la Méditerranée à eux, à défaut de prendre des vacances cet été.Plat culte ? Le poulet au ras el-hanout acoquiné de légumes printaniers. Nous avions Adar dans nos radars depuis quelque temps. Après avoir plus ou moins harcelé le chef, Tamir Nahmias, Israélien passé par Fulgurances, pour connaître la date d’ouverture de son nouveau resto-traiteur ancré passage des Panoramas, bingo ! On y était. L’idée ? Proposer à la fois des plats frais et colorés à emporter tout au long de la journée, et permettre aussi de les boulotter sur place au déj' (une quinzaine de places assises), moyennant un billet de 20 balles pour une entrée et un plat. Top départ avec un joyeux bazar de mezze à partager, tous bien dressés : tarama onctueux et goûtu, frais taboulé de fèves et petits pois, focaccia aux oignons et anchois façon pissaladière, moelleuse comme un coussin, ou encore salade de choux marinés au gingembre, pleine de croquant et de pep's. De quoi faire entrer le soleil dans l’assiette (coucou Julien Clerc) ! Un cran au-dessus encore, les plats qui voyagent entre terre et mer : délicieux poulet au ras el-hanout, pois chiches, ricotta fumée et artichaut pour l’un; tendre poulpe aux petits pois, fèves et pommes de terre pour l’autre... A moins que vous ne craquiez pour le méli-mélo de salades végétariennes hautes en couleur. Côté nectars, on glougloute des jus de fruits de la maison italienne Marco Colzani (4,50 €), une pale ale de la brasserie Deck & Donohu
Trois B

Trois B

4 out of 5 stars
Pour qui ? Les nostalgiques de Diam’s.Plat culte ? Les boulettes déclinées à toutes les sauces, pardi ! Les boulettes, c’est trop d’la balle ! Et ce ne sont pas les fondateurs de Trois B qui vous diront le contraire, puisqu’ils en façonnent midi et soir dans leur petit resto, coquet et couru, au bord du bassin de la Villette. A la carte (qui change chaque quinzaine), trois boulettes (dont une veggie), deux entrées, deux desserts, et pis c’est tout, comme dirait Philippe Lucas. Bien décidés à faire le tour de la question, on commande une assiette de chaque. En entrée, on boulotte de tendres poireaux vinaigrette, feta/citron ainsi qu’une pissaladière déstructurée – anchois, olives noires et oignons rôtis (6 €). Débarque ensuite le plat de boubou, de boulettes (15 €) : bœuf/pecorino trônant sur une polenta crémeuse arrosée d’un jus divin pour l’une, cochon/gorgonzola et olives noires servies avec pommes grenailles et courgettes rondes pour l’autre. Les viandes sont élevées et abattues en Auvergne, et bios comme 95% de la carte. Moelleuses, parfumées et relevées, à se rouler par terre ! Pour boucler la boucle, la végétarienne du trio : des boulettes de boulgour et lentilles corail au cumin, pas sèches ni fades pour un sou, sur une crème de yaourt à la menthe. Les desserts ? Tout simple, tout bon : clafoutis cerise, et surtout ce fromage blanc fraises gariguette et spéculoos maison (tuerie !). Niveau boutanches, une belle liste de jajas nature (blanc de l'Hérault La Sorga, rouge d
Nonna Clelia

Nonna Clelia

4 out of 5 stars
Pour qui ? Les familles qui veulent se retrouver autour de valeurs sûres !Plat culte ? La polenta au gorgonzola  Décidément, les mémés ont la cote ! Moins médiatisée que la Mamie de Jean Imbert, la nonna (« grand-mère » en italien) de Franck Tedeschi n’a pas manqué de lui transmettre un héritage transalpin hyper gourmand. Grazie, Clelia ! Car ancrée en plein 18e popu, dans un mouchoir de poche entre Simplon, Porte de Clignancourt et Jules Joffrin, cette trattoria miraculeuse est une bénédiction. Carte peu bavarde (bon signe), changeant chaque jour en fonction du marché, pasta maison, et prix plus qu'honnêtes... Jugez plutôt : le midi, plat du jour à 13 €, formule à 20 € et menu complet pour 25 balles !  Passé des agences de pub aux fourneaux, le zigue vous brosse en toute humilité une cucina domestica du nord de la Botte, louchant du côté de la Lombardie et du Piémont. Un vrai passionné, qui en semaine envoie depuis sa cuisine ouverte sa fameuse polenta au gorgonzola, des polpette (boulettes à la Diam's) en règle et autres réjouissances... En salle, c’est Madame qui opère, discrète et efficace. Dans un cadre classico-classique (nappes et serviettes blanches, vaisselle immaculée… un peu de couleur ne serait pas de trop !) on se régale de plats tout aussi tradis. A commencer par un bête de carpaccio d’artichauts tranché très finement, avec de la pancetta (poitrine de cochon) poêlée. Rien à redire niveau assaisonnement, ça croque, la charcut’ croustille, les légumes sont frais.
Chez Jorge

Chez Jorge

3 out of 5 stars
Pour qui ? Les amateurs de poulet braisé en général. Et les frileux qui veulent s'essayer à la gastronomie portugaise, mais sans trop y aller.Plat culte ? Le « Jorge », forcément. Le frango assado, littéralement « poulet rôti » en portugais-dans-le-texte commence à faire des émules dans la capitale ! Après la succulente Churrasqueiria des Batignolles, voici donc Jorge, nouveau-né dans la basse-cour parisienne, tout juste ouvert ! Ici, on ne sert que cette spécialité, traditionnellement marinée dans une sauce pimentée. Une volaille à partager entière (22,90 €) ou à déguster à la part, avec des accompagnements – gratin de pommes de terre et patate douce, petits légumes, et/ou pommes de terre grenaille (9,90 €-11,90 €). Pour déguster tout ça, on embarque une Portugaise du cru, déçue avant même de commander. Zéro prise de risque dans le cadre, mimi mais aseptisé. Seule une vague odeur de cannelle à saupoudrer sur les pasteis de nata, ces délicieux gâteaux à la crème, exposés en vitrine, vient chatouiller nos narines. L’aile ou la cuisse ? Le choix s’effectue au comptoir, où l’on sélectionne aussi une sauce « maison » – piri-piri, avocat/coriandre, lardons/crème fraîche ou encore huile d’olive et ail. Les poulets sont issus d’élevages français, une partie venant notamment de la volaillère des Clos, en Normandie (plein air, volailles abattues au bout de 90 jours minimum, le double d'un poulet de batterie). La viande est tendre mais manque de goût, de même que les accompagnements, v
Les Enfants Rouges

Les Enfants Rouges

5 out of 5 stars
Pour qui ? Un touriste en goguette au marché.Plat culte ? Le cœur de ris de veau sous influence camdebordiste : bien doré au beurre, avec broccolini, asperge verte et purée de citron.  Ça fait trois qu'on n'était pas revenus. A une poignée de mètres du marché des Enfants-Rouges (et du dément estaminet des Enfants du Marché), le chef nippon Daï Shinozuka a installé depuis 2015 sa bistrote d'amour. Un mariage (sans divorce) entre tradition française et saveurs du Soleil-Levant. C’est là aussi que des Américains en goguette dégustent une queue de homard au beurre d’algues, coincés entre une Anglaise venue se faire un kif en solo, déboîtant le menu “Carte blanche” en six plats (75 €) et un monsieur japonais tiré à quatre épingles qui contemple son assiette de cochonaille, servie en introduction (12 €). Tout ce petit monde est mis à l’aise par un service ouistiti et bienveillant. Passé par les cuisines d’Yves Camdeborde, Daï dégaine tel un samouraï, et propose en entrée un saumon mariné au fenouil, bisque froide et papaye, habilement associé à une gelée de céleri et à des œufs de “tobiko” (poisson-volant). Dans un tout autre registre, le filet de canard challandais défonce, nappé de yuzu koshô  (pâte de piment salée poivre-agrumes), flanquée d'une betterave déclinée sous toutes les coutures : rôtie, réduite en crème... Tuerie de plat ! A déguster avec un verre de blanc du domaine François Villard, un saint-péray cuvée 2016, rond et fruité en bouche. Voyant nos voisins de tablée su
Mingway

Mingway

4 out of 5 stars
Pour qui ? Les danseurs affamés du CND et les gourmets au budget serré Plat culte ? Le brownie ultrachocolaté, pécan et caramel à prix tout doux. En face de notre bien-aimé bistrot Les Pantins, le long du canal de l’Ourcq, cette cantoche de haute volée planquée au rez-de-chaussée du Centre national de la danse de Pantin fait valser les bonnes assiettes et virevolter les palais. Dans ce temple du brutalisme, Eva Jaurena, cofondatrice du réseau de chefs solidaires Ernest, s’est acoquinée à Florent Ciccoli et Greg Back, qui ont déjà mis sur orbite le Café du coin, la Vierge de la Réunion et les Pères populaires. Pour rassasier les danseurs affamés et les gourmets au budget serré (la formule déj’ affiche un tarif alléchant de 16 €), elle s’est entourée du chef Léo Aït Bahaddou, ex-toque de Buffet. Tout au long de la journée, c’est un ballet de saveurs qui se déroule dans la haute salle lumineuse ou sur la gigaterrasse où squatter aux beaux jours du café au dîner. Pour ouvrir le bal ce midi-là, moyennant 16 balles donc : un appétissant œuf mollet pané, coulant sur une goûteuse tombée d’épinards, suivi par une tendre épaule de cochon, servie, elle, avec un céleri qu’on aurait aimé plus twisté. Big up pour l’alternative veggie : ce jour-là, des panais acoquinés de pommes de terre, poireau et feta. Et le final ? Coquin brownie choco, pécan et caramel topé d’une chantilly aérienne, qui termine d’enflammer le dancefloor.  Le soir, c'est le jeune Lorenz Birner (ex-Clamato) qui signe la
Given

Given

4 out of 5 stars
Pour qui ? Les végétariens du 20e qui en ont marre de traverser Paris pour dévorer des bowls de qualitéPlat culte ? La salade de la cheffe avec une multitude de légumes colorés Pas besoin de s’installer en terrasse pour pister le soleil ! A deux pas du cimetière du Père-Lachaise, la cheffe Christiane Delpech (passée par les fourneaux d’Alain Passard) travaille chaque jour des légumes bio et de saison dans sa cuisine ouverte pleine gueule sur la salle canon (mobilier en bois et murs blancs, de brique ou fleuris). Bowls, gratins, quiches et salades sont également à emporter : parfait pour une pause gourmande #healthy. En plein milieu du printemps, on opte pour la salade du jour (13 €) : sur une base de quinoa viennent se déposer pousses d’épinard, suprêmes de pamplemousse, fruit de la passion, crudités et tartines d’avocat… Joyeux mélange que voilà ! A déguster en sirotant un jus détox – pomme, citron, gingembre (4,5 €). Et vous savez quoi ? On ne regrette pas du tout de ne pas avoir succombé aux sirènes du burger végétarien servi sur la table d’à côté ! Car du coup, on enquille en dessert sur un brownie végan, intelligemment garni de gingembre confit, à la texture légèrement caoutchouteuse, néanmoins plus « cake » que brownie (5 €), qu’on enchaîne façon Dale Cooper avec des tasses de café dans un lieu cosy et chaleureux qui s’y prête parfaitement.
Marwa

Marwa

4 out of 5 stars
Pour qui ? Ceux qui ignorent où manger un bout en sortant de la Foire de Paris à Paris Expo.Plat culte ? Le chawarma de bœuf mariné, à l’assiette ou en sandwich avec des crudités.  Posé là, pépère, aux confins du 15e arrondissement et à deux pas de Paris Expo porte de Versailles, Marwa semble avoir toujours fait partie du paysage. Sa devanture rouge flashy aux néons lumineux illumine le quartier plutôt terne tandis qu’à l’intérieur, c’est le sourire des patrons qui rend la visite chaleureuse. Ici, pas de chichis mais de savoureux chawarmas à emporter et autres délices libanais. Au déjeuner, les familles du coin cohabitent avec les habitués, accueillis par un « salut » amical, sur la quinzaine de places assises. Le JT de TF1 en fond sonore, on engloutit une délicieuse assiette de mezze – moutabal, houmous et taboulé, sans oublier la petite tuerie de safiha, un feuilleté bœuf-tomate – avant de voir débarquer un plat typique de Méditerranée orientale : le chich taouk. Le poulet mariné à l’ail, au citron et au thym est moelleux à souhait, servi sur un riz aux vermicelles avec de tendres aubergines aux oignons. Les végétariens peuvent quant à eux se ruer les yeux fermés sur les falafels, denses et relevés à souhait ! Le midi, une formule express au rapport qualité/prix imbattable à 15,90 € inclut l’assiette de mezze, un plat chaud (kefta, foie de volaille, ailes de poulet grillées…) ainsi qu’une boisson ou un dessert. Optez évidemment pour les douceurs, notamment les baklavas, un
Foodentropie

Foodentropie

4 out of 5 stars
Pour qui ? Les familles écolos en manque de nature.Plat culte ? L’œuf parfait à la poitrine de cochon, purée de pommes de terre et chou. En plein Nanterre City, l’ancien Pavillon du docteur Pierre, où étaient fabriqués des produits à base de menthe (dentifrice, alcool etc.) a muté courant 2017 en véritable labo de l’alimentation durable. Nicolas Hulot likes this. Retapé, le lieu accueille désormais une coolosse cantoche écoresponsable, un potager urbain cultivé en permaculture, des cuisines partagées ainsi que des espaces de coworking. Le dimanche, c’est brunch anti-gaspi pour tous, avec option bronzette au soleil au milieu des poules ! Cap sur le self, lumineux, épuré, spacieux. Dans une déco indus (bois clair brut, végétal), on embarque une petite corbeille dans laquelle on pose entrée et dessert. Ce jour-là, on avait le choix entre un quinoa au parmesan (bon quoique assez fade) et un savoureux houmous de lentilles au chorizo. Côté desserts ? Moelleux cake choco/poire, ou fondant au chocolat, pimpé par une chantilly légère au choco blanc, goûteux riz au lait… A noter que pain, beurre et confiture/pâte à tartiner sont À VOLONTÉ ! Vient ensuite un plat, unique lui, décliné selon trois recettes : œuf parfait à accompagner de poitrine de cochon et purée, ou de merlu émietté et petites pommes de terre sur une crème légèrement citronnée, ou encore d’une poêlée de champignons (version veggie). Portions copieuses et produits bio, locaux et de saison, ce brunch a presque tout bon !