Dave Jaffer

Dave Jaffer

Articles (3)

Tout ce que vous devez savoir sur la marijuana à Montréal

Tout ce que vous devez savoir sur la marijuana à Montréal

Février 2020 : Cela ne fait à peine qu’un an que la marijuana a été légalisée à Montréal (et dans l'ensemble du Canada), mais depuis ce jour fatidique du 17 octobre 2018, certaines lois ont changé en ce qui concerne la vente de produits consommables et l'âge légal pour en acheter. Nous avons donc mis à jour ce guide pour tenir compte de ces changements. Si vous étiez coincé sur une île déserte depuis la fin 2018, sachez que vous pouvez acheter légalement de la marijuana à Montréal (ainsi que dans tout le Canada!) à des fins récréatives. On retrouve des dispensaires à Montréal, tant sur l'île qu'à l'extérieur, et il semble qu'il y en ait de plus en plus en chemin. Les réactions euphoriques ou déchues quant au développement de la légalisation dépendent de la personne à qui vous le demandez. Anticipant que vous nous poserez peut-être bien des questions, nous avons préparé une liste assez complète de réponses quant à ces questions, qu’elles soient posées fréquemment ou rarement. La seule chose qui n'est pas abordée ici est l'endroit où chiller (voir : les parcs de Montréal) ou encore, ce qu'il faut consommer après avoir consommé (voir : notre guide des meilleurs repas bon marché de la ville). RECOMMANDÉ : Guide complet des meilleures choses à faire à Montréal Q 1. Quel est l’âge légal pour acheter et consommer du cannabis légalement au Québec? Première question facile : il faut être âgé de 18 ans ou plus pour acheter ou posséder légalement du cannabis à des fins récréatives au Q
Everything you need to know about marijuana in Montreal

Everything you need to know about marijuana in Montreal

February 2020: It’s only been a little over a year since marijuana in Montreal (and Canada as a whole) was made legal, but since that fateful day on October 17, 2018 the laws have changed regarding the sale of consumables and the legal age to purchase weed. We’ve since updated this guide to reflect those changes. In case you’ve been trapped on a desert island since the end of 2018, yes, you can legally buy marijuana in Montreal (heck, in all of Canada!) for recreational purposes. Montreal dispensaries can be found both on and off the island, and there always seems to be more on the way more on the way. Dope, right? Just like responses to that awful pun, the goodness/badness/so-sadness of this development depends on who you ask. Anticipating that you’d ask us, we prepared a somewhat comprehensive list of answers to questions you might want to ask frequently or infrequently. The only thing not covered here is where to consume (see: Montreal parks) or what to consume after consuming (see: our guide to the best cheap eats in the city). RECOMMENDED: Full guide to the best things to do in Montreal Q 1. How old do you have to be to legally purchase cannabis in Quebec? Let’s start with an easy one. You have to be at least 18 years of age to legally purchase cannabis for recreational use in Quebec. It wasn’t always this way, though. In the initial iteration of the Cannabis Regulation Act, buyers could be as young as 18, but the November 1, 2019 amendment to the Act drawn up by the C
The best record stores in Montreal with choice vinyls, CDs, tapes and more

The best record stores in Montreal with choice vinyls, CDs, tapes and more

Any self-respecting music lover knows where the best record stores in Montreal can be found, and those in the know like to keep their collections on point by checking them out regularly. This city is one of the more important music meccas on this big blue marble of ours, so it follows that our town should be home to more than a few great record stores—and it is, with selections that are only rivalled by the curators of vintage goods from the best thrift stores in Montreal (coincidentally also an occasional good source of records). Whether you’re looking for new things, old things, or things in between (or just, like, concert tickets), Montreal’s got you covered from Mile-Ex to the Mile-End and the Plateau—even out west in sleepy No Damn Good (Notre-Dame-de-Grace). RECOMMENDED: Full guide to the best things to do in Montreal

News (12)

12 aspects de Montréal qui ne changeront jamais

12 aspects de Montréal qui ne changeront jamais

L'une des qualités durables de Montréal est, eh bien, sa durabilité. C'est un lieu éternel, vieux, têtu et figé dans ses habitudes. S'il est vrai que le COVID-19 a changé notre façon de vivre au quotidien, du moins pour l'instant, on ne peut s'empêcher de penser qu'il faudra plus qu'une pandémie pour changer Montréal et les choses de ce bel endroit qui survivront invariablement à tout sauf à l'apocalypse. La construction Photograph: William Topa S'il y a une chose qui définit (malheureusement) Montréal pour les gens qui y vivent, c'est la construction incessante autour de la ville. Buckminster Fuller, en décrivant l'inutilité de la plupart des emplois, a décrié « les inspecteurs d'inspecteurs et les gens qui fabriquent des instruments pour que les inspecteurs puissent inspecter les inspecteurs. » S'il était vivant aujourd'hui, on peut penser que Bucky décrierait les équipes de construction qui construisent des constructions à inspecter par des inspecteurs de la construction qui eux-mêmes construisent des inspections nécessitant d'autres constructions à inspecter. Quelle que soit la saison, c'est la saison de la construction ici. Des artères et des voies de circulation entières sont bloquées pendant des jours, des semaines et des mois sans préavis, et conduire du point A au point B n'est jamais facile - au sens propre comme au sens figuré. À ce stade, l'omniprésent baril de signalisation orange devrait être la mascotte officielle de la ville, et le drapeau de la ville de
12 things about Montreal that will never change

12 things about Montreal that will never change

One of the enduring qualities of Montreal is, well, how it endures. It is an eternal kind of place, old and stubborn and set in its ways, like that older relative of yours who insists on two spaces after a period (or that other older relative who insists that lizard people control the world’s economy). While it’s true that COVID-19 has changed the way we live our day-to-day lives, at least for now, one can’t help but think it’ll take more than a pandemic to change Montreal and the things about this fine place that will invariably outlast anything short of the literal apocalypse. Construction Photograph: William Topa If there’s one thing that (unfortunately) defines Montreal to people who live here, it’s the neverending construction around the city. Buckminster Fuller, in describing the pointlessness of most jobs, decried “inspectors of inspectors and people making instruments for inspectors to inspect inspectors.” If he were alive today, one suspects Bucky would be decrying construction crews constructing constructions to be inspected by construction inspectors who themselves construct inspections necessitating further constructions to inspect. No matter what the season, it’s construction season here. Entire arteries and thoroughfares will get blocked off for days, weeks and months on end with little notice, and driving from Place A to Place B is never smooth — literally or figuratively. At this point, the ubiquitous orange traffic barrel should be the city’s official
« J’étais résolue à le faire » : notre conversation avec la chef Cheryl Johnson

« J’étais résolue à le faire » : notre conversation avec la chef Cheryl Johnson

Il y a de bons chefs à Montréal, et puis il y a de grands chefs à Montréal – ceux dont nous voulons entendre l’histoire. C'est ce que vous trouverez dans ces entrevues, une série où Time Out Montréal parle aux incroyables femmes qui représentent le meilleur de la scène gastronomique de cette ville, que l'on retrouve toutes au Time Out Market Montréal. Pour notre cinquième entrevue, nous avons parlé à la chef et restauratrice Cheryl Johnson, chef de la grande maison culinaire Montréal Plaza et de son excellent dérivé, le Montréal Plaza Deli. C’est l’histoire d’une fille de militaire qui se retrouve à la Culinary Institute of America et qui devient une chef incroyable, un leader dans ses cuisines. Et c’est aussi l’histoire de ce qui rend Montréal exceptionnelle. Nous avons modifié le propos de l’entrevue pour des raisons de concision et de clarté. Il n’y a pas de méthode unique pour devenir chef, mais si vous parlez à suffisamment d’entre elles, un élément commun émerge : quelqu’un leur a dit « hey, c’est ça que tu devrais faire, donc va le faire ». Cheryl Johnson a introduit Montréal Plazza au monde en collaboration avec son associé, Charles-Antoine Crête. Et si vous l’avez déjà rencontrée, il est difficile d’imaginer qu’elle ait besoin qu’on la convainque de quoi que ce soit. Pourtant… Comme beaucoup d’autres, son chemin vers le Culinary Institute of America, vers Montréal, vers Toqué ! et au-delà a commencé parce que quelqu’un a vu en elle ce qu’elle-même ne voyait pas.  
“I was hellbent on doing it”: In conversation with chef Cheryl Johnson

“I was hellbent on doing it”: In conversation with chef Cheryl Johnson

There are good chefs in Montreal, and then there are great chefs in Montreal—we want to hear their stories. That’s what you’ll find in these interviews, a series where Time Out Montreal talks to the incredible women representing the best of this city’s restaurant scene, all of whom can be found at Time Out Market Montréal. For our fifth interview, we spoke to the chef and restaurateur Cheryl Johnson, co-chef of the culinary powerhouse Montréal Plaza and its stellar market offshoot Montréal Plaza Deli, about going from a military brat to a CIA-trained chef, maintaining balance in the kitchen and what makes Montreal exceptional.  This interview has been edited and condensed for clarity. There’s no one way to become a chef, but if you talk to enough of them, one constant emerges more often than not: Someone says, “hey you, this is what you’re supposed to be doing, so go do it.” If you’ve ever met Cheryl Johnson, who—with her business partner Charles-Antoine Crête—brought Montréal Plaza  into the world, you may have a hard time imagining her needing to be talked into, well, anything, but it’s true. Like many others , her path to the Culinary Institute of America, to Montreal, to Toqué! and beyond started because someone saw what she couldn’t at the time.   Montréal Plaza, Time Out Market Montréal Photograph: Patricia Brochu   What’s your cooking origin story? I’m going to give you the shorter of the long version. I’m half Filipino, half American. I was born in the Philippines,
« Je ne crois pas aux dictatures » : notre conversation avec la restaurateure Hilary McGown

« Je ne crois pas aux dictatures » : notre conversation avec la restaurateure Hilary McGown

Il y a de bons chefs à Montréal, et puis il y a de grands chefs à Montréal – ceux dont nous voulons entendre l’histoire. C'est ce que vous trouverez dans ces entrevues, une série où Time Out Montréal parle aux incroyables femmes qui représentent le meilleur de la scène gastronomique de cette ville, que l'on retrouve toutes au Time Out Market Montréal. Pour notre quatrième entrevue, nous avons parlé à la chef et restaurateure Hilary McGown, copropriétaire du camion à tacos devenu établissement Grumman ‘78, nous parle de ses inspirations, de ses influences et même de ses épiphanies. Nous avons modifié le propos de l’entrevue pour des raisons de concision et de clarté. Comme c’est souvent le cas avec les grands chefs, les restaurateurs et sommeliers exceptionnels, Hilary McGown est une sorte de raconteuse. Elle a la rare capacité de vous entraîner dans une histoire, de vous faire sentir comme une partie intégrante de celle-ci. D'une certaine manière, cet esprit et cette touche personnelle peuvent être dégustés lors d'un repas à Grumman ‘78, que ce soit à la sortie de son camion de restauration ou à votre table dans leur lieu industriel et rustique sur Courcelle à Saint-Henri : c'est une nourriture agréable, amicale et réfléchie qui attire facilement votre attention - elle n'a pas besoin de vous faire signe pour vous dire ce qu'elle a à dire.   Grumman '78, Time Out Market Montréal Photograph: JF Galipeau   Qui es-tu et que fais-tu? Je m'appelle Hilary McGown, je suis la copro
“I don’t believe in dictatorships”: In conversation with restaurateur Hilary McGown

“I don’t believe in dictatorships”: In conversation with restaurateur Hilary McGown

There are good chefs in Montreal, and then there are great chefs in Montreal—we want to hear their stories. That’s what you’ll find in these interviews, a series where Time Out Montreal talks to the incredible women representing the best of this city’s restaurant scene, all of whom can be found at Time Out Market Montréal. For our fourth interview, we spoke to the chef and restaurateur Hilary McGown, co-owner of the taco-truck-turned-institution Grumman ’78, about her inspirations, influences and epiphanies throughout her life and career. This interview has been edited and condensed for clarity. As it goes with amazing chefs, restaurateurs and sommeliers, Hilary McGown is something of a raconteur. She has the rare ability to pull you into a story, to make you feel part of it. In a way, this spirit and personal touch can be tasted when eating at Grumman ‘78, whether it’s coming to you off its food truck or to your table at their rustic, industrial spot on Courcelle in Saint-Henri: It’s pleasant, friendly and thoughtful food that easily captures your attention—it doesn’t need to flag you down to say what it has to say.   Grumman '78, Time Out Market Montréal Photograph: JF Galipeau   Who are you and what do you do? My name is Hilary McGown, I’m the co-owner of Grumman 78. What’s your cooking origin story? I have a B.A. in English Literature from Dalhousie University, which was a great jumping-off point for nothing. After I got my degree I came back to Montreal and I worked
« Je donne toujours mon 100 % » : notre conversation avec la chef Suyin Wong

« Je donne toujours mon 100 % » : notre conversation avec la chef Suyin Wong


On a des bons chefs à Montréal, et on a aussi d’excellentes cheffes : on veut entendre leur histoire ! Découvrez leur parcours dans cette série d’entretiens menés par le Time Out Montréal, alors que nous nous intéressons au travail exemplaire de ces femmes de l’industrie gastronomique montréalaise, toutes représentées au Time Out Market Montréal. Dans cette troisième rencontre, nous avons discuté avec la cheffe Suyin Wong — l’artiste derrière les créations de Hof Kelsten et les délices de Hof SuCrée, situé au marché — de ce qui l’a amenée à passer de la bourse à la pâtisserie en France, jusqu’à ses influences culinaires et à ses prises de risques. Nous avons modifié le propos de l’entrevue pour des raisons de concision et de clarté. L’histoire de Suyin Wong n’est pas sans rappeler une histoire hollywoodienne. Imaginez : une femme née à Singapour, perfectionniste (mes mots, pas les siens !), élevée à Vancouver, qui décide du jour au lendemain de quitter une carrière payante, mais qui la rend littéralement malade, pour travailler gratuitement dans le monde culinaire en effectuant un stage. Elle parfait sa technique à Paris et devient l’une des figures de proue dans sa nouvelle ville, où elle vit aujourd’hui heureuse, en santé et accomplie. On sait que vous écouteriez son histoire portée à l’écran, et, soyons honnêtes, nous aussi. Photograph: Logan Mackay 
Quel est ton nom, que fais-tu dans la vie et depuis combien de temps ?
 Mon nom est Suyin et je suis une cheffe pâtissièr
“I’ll go 100% every time”: In conversation with chef Suyin Wong

“I’ll go 100% every time”: In conversation with chef Suyin Wong

There are good chefs in Montreal, and then there are great chefs in Montreal—we want to hear their stories. That’s what you’ll find in these interviews, a series where Time Out Montreal talks to the incredible women representing the best of this city’s restaurant scene, all of whom can be found at Time Out Market Montréal. For our third interview, we spoke to chef Suyin Wong behind the irresistible creations of Hof Kelsten and its market eatery Hof SuCrée about going from trading stocks to pastries in France, her influences in the kitchen and taking chances. This interview has been edited and condensed for clarity. There is something paradigmatic and vaguely Hollywood about Suyin Wong’s story. Think about it: a Singapore-born, Vancouver-raised overachiever (my words, not hers) comes to cooking later than most after leaving a lucrative career that literally made her sick. She works for free and does a stage at an important restaurant, refines her craft in Paris, and rises to the top of the game in her new town, where she’s now happy and healthy and feeling fulfilled. We’d watch a fictionalized version of her career story, and—let’s be honest—so would you. Photograph: Logan Mackay Who are you, what do you do, and how long have you done it for? My name is Suyin, I’m a pastry chef, and I’ve been doing this since 2008. When did you get to Montreal? I moved to Montreal in 2012 after a few years in France, and I was back and forth [between] France and Montreal for the last few ye
“There’s always luck”: In conversation with Dyan Solomon

“There’s always luck”: In conversation with Dyan Solomon

There are good chefs in Montreal, and then there are great chefs in Montreal—we want to hear their stories. That’s what you’ll find in these interviews, a series where Time Out Montreal talks to the incredible women representing the best of this city’s restaurant scene, all of whom can be found at Time Out Market Montréal. For our second interview, we spoke to the restaurateur, author and chef Dyan Solomon, co-owner of the Old Montreal cult classic Olive et Gourmando (with a cookbook of the same name released in November 2019), Griffintown’s essential fine dining restaurant Foxy and the Italian eatery Caffe Un Po’ Di Più. She told us about her career— from tree-planting camps to fine dining—and turning an apartment into a walk-in fridge, confidence in the kitchen, plus where she likes to eat in the city.  This interview has been edited and condensed for clarity. Dyan Solomon needs no introduction, but we’re going to do one anyway: With Eric Girard, whom she met while working at Toqué!, Soloman opened Olive et Gourmando in 1998 on St-Paul West in Old Montreal to dish out homey, simple and comforting dishes to locals and luminaries alike (Bono, Jake Gyllenhaal, and Meghan Markle are but three big fans). Since then, she’s presided over a string of other successes (which we’re about to get to). Side note: Solomon laughs a lot in conversation, a warm and joyful peal that often punctuates her sentences better than any period ever could.   Olive et Gourmando, Time Out Market Montré
« Je remercie la chance » : notre conversation avec Dyan Solomon

« Je remercie la chance » : notre conversation avec Dyan Solomon

Montréal regorge de bons chefs, mais nous partons aujourd’hui à la découverte de celles qui n’hésitent pas à révolutionner l’industrie de la restauration. Au fil de cette série d’entrevues, Time Out Montréal part à la rencontre de ces femmes incroyables qui représentent le meilleur de la scène gastronomique de la métropole et qui ravissent les papilles des clients du Time Out Market Montréal. Au cours de cette seconde entrevue, nous nous sommes entretenus avec la célèbre Dyan Solomon. À la fois cheffe, auteure et restauratrice, la co-propriétaire de l’emblématique Olive et Gourmando, situé dans le Vieux-Montréal, du Caffe Un Po' Di Più et de Foxy, un incontournable de Griffintown, nous invite dans les coulisses de sa carrière. Depuis ses débuts dans les camps forestiers jusqu’à la fine cuisine, elle nous raconte la transformation de son appartement en chambre froide, sa prise de confiance en cuisine et nous partage ses meilleures adresses en ville.  Cette entrevue a été révisée et condensée pour plus de clarté. Dyan Solomon se passe de présentation, mais la voici tout de même : En 1998, Dyan Solomon et son partenaire d’affaires Éric Girard, rencontré alors qu’elle travaillait chez Toqué!, ouvraient Olive et Gourmando sur la rue Saint-Paul Ouest du Vieux-Montréal dans l’objectif de servir de bons petits plats rustiques et réconfortants tant aux résidents du quartier qu’aux célébrités de passage (dont Bono, Jake Gyllenhaal et Meghan Markle, trois de ses plus grands fans). Depui
« J’ai été servie par la chance » : notre conversation avec la chef Leigh Roper

« J’ai été servie par la chance » : notre conversation avec la chef Leigh Roper

Il y a des bons chefs à Montréal, mais il y a aussi des grandes chefs. Et ce sont leurs histoires que nous voulons entendre. C’est pourquoi notre toute nouvelle série d’entrevues présente des femmes incroyables, les meilleures de la scène gastronomique de notre ville et toutes des chefs au Time Out Market Montréal. Pour notre première entrevue, nous nous sommes entretenus avec la chef Leigh Roper du très célèbre restaurant Foxy de Griffintown, reconnu pour son four à bois. C’est là que nous avons parlé de sa carrière, des endroits où elle aime manger en ville et de ses expériences avec la culture fortement masculine des cuisines. Cet entretien a fait l’objet d’un montage et il a été condensé pour plus de clarté. La page en anglais de Wikipédia sur la ville de Saint-Lambert, au Québec, liste, parmi ses « Natifs et résidents marquants » l’astronaute Steve MacLean et la musicienne Régine Chassagne d’Arcade Fire. Le temps nous dira si Leigh Roper parvient un jour à atteindre ce palmarès. En fait, vous pourriez l’ajouter vous-même maintenant, mais sa réputation comme l’une des meilleures et plus brillantes chefs de Montréal est déjà établie.  Pourtant, il n’était pas écrit dans le ciel que Leigh deviendrait chef. Enfant, sa relation avec la nourriture n’était pas facile. Ce n’est que plus tard qu’elle découvert le monde une bouchée à la fois, inspirée par les grands chefs cuisiniers près desquels elle a évolué et par les cinq mois qu’elle a passés à découvrir les saveurs de l’Inde
“My path has been a very fortunate one”: In conversation with Chef Leigh Roper

“My path has been a very fortunate one”: In conversation with Chef Leigh Roper

There are good chefs in Montreal, and then there are great chefs in Montreal—we want to hear their stories. That’s what you’ll find in these interviews, a series where Time Out Montreal talks to the incredible women representing the best of this city’s restaurant scene, all of whom can be found at Time Out Market Montréal. For our first interview, we spoke to chef Leigh Roper of the highly celebrated wood-fired Griffintown restaurant Foxy, about her career, her experiences with bro culture in kitchens and where she likes to eat in the city.   This interview has been edited and condensed for clarity. The Wikipedia page for Saint-Lambert, Québec, lists, among its “Notable natives and residents,” astronaut Steve MacLean and Arcade Fire’s Régine Chassagne. Time will tell whether Leigh Roper will ascend to these kinds of heights, and while you could just edit her in now, time has already told that she’s one of Montreal’s best and brightest culinary talents. Her career wasn’t fated in the stars, though: A “picky eater” as a kid, she fell into the life bit by bit over time, inspired as much by the great cooks she grew up around as by the five months she spent tasting her way around India when she was 19. Let’s begin at the beginning: Who are you, what do you do, and how long have you been doing it? My name is Leigh Roper, and I’m a chef at Foxy. There’s two chefs at Foxy, me and my colleague Vince [Vincent Russell], and we together run the kitchen at Time Out. I’ve been cooking, it