Arnaud Durand

Arnaud Durand

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Bontemps

Bontemps

4 out of 5 stars
Produit culte ? Les sablés, le cake au citron, les tartes !Bien vu ? La petite cour intérieure, ultra charmante, pour le retour des beaux jours.Bontemps ? Ça fait un bail qu’on chante leurs louanges ! La faute à leur dinguerie de cake au citron et à leurs sablés, qui vous montent à la tête dès le premier coup de croc — recette secrète, évidemment...  La petite pâtisserie de la rue de Bretagne a eu la brillante idée d’ouvrir un salon de thé accolé à sa boutique. Un boudoir ultra féminin avec moelleux fauteuils et vaisselle dépareillée digne du Chapelier fou d'Alice au Pays des merveilles… Le gros truc en plus ? Sa courette intérieure : mobilier blanc en fer forgé et bouquets de fleurs à gogo, où dévorer des gâteaux mimis et délicieux. Car si la carte des breuvages est un peu passe-partout (café Arabica d’Éthiopie à 3,50 €, thé Sencha de Chine aux agrumes à 7 €), on ne vient pas vraiment là pour ça. Démarrage en douceur avec les fondamentaux : le trio de petits sablés garnis (6 €) ; on passe fissa la seconde avec le maxi sablé au Gianduja (5 €) ; et on touche le nirvana du doigt avec deux parts de tartes aux fruits de saison : figue de Solliès et mirabelles de Lorraine (8 € chaque). Bonne nouvelle : ce sublime salon de thé mute en cantine au déjeuner, en planque à apéro en fin d’aprem' (avec tapas à picorer) et surtout, samedi ET dimanche, ils proposent un pantagruélique brunch sucré-salé (38 €) : orangeade et fleur d’oranger du Liban, thé, café ou chocolat chaud à l’ancienne,
Arnaud Larher

Arnaud Larher

4 out of 5 stars
Produit culte ? Le baba, le kouign-amannBien vu ? Un MOF à prix maîtrisé, youpi ! Arnaud Larher, c’est le pâtissier intemporel, le MOF loin des modes, installé à Paname depuis presque... vingt ans ! Alors on va réviser nos classiques avec lui. Et pour ça, autant choisir la boutique paisible de la rue de Seine, à l’écart du fief montmartrois. Espace propret, accueil aimable : premier bon point ! Vu que le sieur Larher est breton, impossible de ne pas tester le kouign-amman (2,90 €). Et WAOUH, il est bon comme dans le Finistère : feuilleté, caramélisé et beurré (bon ok, peut-être pas autant que là-bas quand même). On continue avec la tarte tatin orange comme l'auto-bronzage de Trump (5,90 €). Les pommes sont fondantes et scellées dans une gelée bien caramélisée. Attaque acidulée et finale douce amère... La partition est fort sucrée, mais s’équilibre avec le petit nuage de chantilly. La base crunchy titille bien les chicots. Ça passe crème ! Double shot de praliné ensuite avec le Paris-Brest (6,10 €) et le mille-feuille (5,90 €). Les deux sont gourmands et régressifs. La surprise vient encore des textures, mais on ne vous en dit pas plus !  Le meilleur pour la fin avec le Baba du Chef (6,10 €) : une belle éponge imbibée d’un excellent rhum agricole martiniquais vieilli en fûts de chêne, punché par un sirop d’agrumes. Généreux et décadent ! À noter aussi : la belle gamme de chocolats et macarons.Autres adresses parisiennes : - 53 rue Caulaincourt, 18e (du mardi au samedi de 10h à
Le Bricheton

Le Bricheton

5 out of 5 stars
Produit culte ? TOUS les painsBien vu ? La petite épicerie et les vins nature... Et le tote bag stylé ! À moins d’habiter au sud du vingtième, aller au Bricheton, c’est un peu l'expé, le pèlerinage que tout amateur de bon pain parisien —de « bricheton » en argot, justement— se doit d’effectuer une fois dans sa vie pour accéder au paradis du 100% nature.Grâce soit rendue à Maxime Bussy, mitron intransigeant sur la qualité, qui ne travaille qu'avec des farines de céréales de variétés anciennes et bio, issues de petits moulins artisanaux. Résultat : un taux de gluten très bas, idéal pour les intolérants. Pour fabriquer ses pâtons, le zigue a choisi la meilleure eau qui soit (la plus locale aussi) : celle des puits artésiens de Paris. Le sel ? Il vient de la Salorge de Vertonne (Île d'Olonne). La suite ? Le temps (et un imparable levain naturel) fait son affaire, transmutant leeeeentement ces purs ingrédients en miches succulentes et ultra-digestes. On choisit deux pains sur blés de population (9 €/kg) et un multi-céréales (courge, lin, sésame, tournesol, 12 €/kg). Goût délicieux, levain subtil, texture dense et spongieuse, cuissons nickel... Saveurs et conservation exceptionnelles. Les autres variétés (seigle, petit épeautre…) partent comme des petits pains : un conseil, arrivez à l’ouverture ! Avant de partir, on zieute le coin épicerie et ses produits tout aussi « nature » que le pain : vins vivants sans sulfites ajoutés (coucou Brendan Tracey, le cow-boy de la Loire), jus, in
Dreamin Man

Dreamin Man

3 out of 5 stars
Produit culte ? Les sablés en forme de cheval (hiiiii !)Bien vu ? Le choix de torréfacteurs étrangers Outre la célèbre chanson de Neil Young, Dreamin Man, c’est ce tout nouveau coffee shop planqué vers Répu (encore un !). C’est aussi et surtout le surnom du barista japonais qui, avec sa compatriote pâtissière, y propose en toute simplicité café de spécialité, boissons chaudes et petits gâteaux faits maison. Façade grise passe-partout et déco savamment dépouillée (pierre apparente et bois brut)... On ne sait quelle sommité du Feng Shui a organisé le lieu, mais il s’en dégage instantanément un sentiment de profonde zénitude. Du coup, on a les chakras bien ouverts pour déguster un filtre (5 €) issus des grains torréfiés par le copenhagois April, et une part de carrot cake (4 €) simple et efficace. Le reste de la carte continue franchement dans le classique. Côté gâteaux, c’est sablés, cookies, muffins et scones selon arrivages ! Et pour les boissons chaudes, outre les cafés, on trouve simplement du thé et du chocolat chaud (5 € chaque). Petite originalité quand même : les grains utilisés en expresso viennent du torréfacteur berlinois Five Elephant.
Gramme 3

Gramme 3

5 out of 5 stars
Alerte ! Sans vouloir en faire des caisses, on vient de découvrir une petite pépite qui pèse lourd dans le Haut-Marais. Son nom ? Gramme ! Façade crème, déco un peu vintage et plats entièrement maison, préparés pour le déjeuner (et le brunch le dimanche) sur place à partir d’ingrédients de qualité, en circuit court autant que possible. Pouce en l'air pour le Banh Mi Dog (10 €), revisite premium du casse-dalle vietnamien : pulled pork des Viandes du Châteauneuf, légumes des Halles Trottemant en pickles, mayo verte à la coriandre, le tout dans un moelleux pain à hot-dog du Petit Grain… Futur hit du spot, extra et taillé pour Insta-gramme ! On arrose le tout d’un bon ballon de vin nature (6 €)… Et hop quelques grammes dans l'sang ! À la carte des boissons également : bières artisanales (6,50 €) de La Brasserie fondamentale, jus maison ou artisanaux (3,50-5 €). Et pour les chauds du gosier : expresso (2,50 €) sur grains d’Éthiopie Lomi, filtre (3,50 €) du torréfacteur Kawa, et thés (4,50 €) de chez Kodama. Nickel avec la batterie de carrot cake, cookies (notamment celui au chocolat et noisettes torréfiées, très coquin), gâteau au chocolat, scones… On se paie une bonne tranche de brioche perdue au pop-corn et au caramel (9 €), préparée minute, délicieuse. Et surtout, avant de partir, on s’arrête au rayon épicerie – granola (8 €), gomasio (4 €) et dukkah (4,50 €) maison – et on repart avec une confiture maison (6,50 €) pomme poire anis cuméo pimpée aux épices Nomie. On a déjà envie
Fermentation Générale

Fermentation Générale

5 out of 5 stars
Pour qui ? Un(e) 100% nature Produits culte ? Les pains aux farines anciennes, les belles bouteilles de jaja sans soufre ajouté, les légumes lacto-fermentés L’art de la fermentation semble être la dernière marotte des toques et défenseurs en tous poils du bien-manger. Et pour cause : saveurs décuplées, digestion facilitée, nutriments mieux libérés… Votre petit corps vous remerciera ! Il n’en fallait pas plus pour donner l’idée à certains de bâtir un temple dédié à la bonne bactérie. C’est chose faite avec ce bien-nommé Fermentation Générale, nouveau bouclard qui fait taffer le micro-organisme : pain, vin, café, légumes… Bah oui, tout ça, c’est fermenté ! Valentin le mitron formé au Bricheton (excellente boulange du 20e) pompe l’eau des puits artésiens de Paris pour arroser de pures farines de variétés anciennes, issues de petits moulins artisanaux. Et que la magie du levain opère ! C’est parfois aussi Shinya, formé par le pape du pain nature Roland Feuillas, qui œuvre au fournil. Au palmarès des deux acolytes : des miches bien hydratées, nourrissantes et savoureuses (8-12 €/kg), comme ces pains au blé khorasan ou au blé de Tréziers (Aude) qui fleurent bon la céréale ! Ou encore ce pain raisins/noix/orange, extra, plein goût, aux parfums délicats. Le plus bel hommage qu’on puisse rendre à mère Nature !  Et c'est pas tout. Dans ce véritable OVNI on peut aussi dénicher les pâtes fraîches de chez Solina (18 €/kg), une belle sélection de jaja naturiste (La Sorga en force), des lég
Circus Bakery

Circus Bakery

5 out of 5 stars
Produits culte ? Le main bread au levain, le cinnamon bun, la margheritaBien vu ? Les bancs en bois pour déguster au milieu des pommes et des sacs de farine Ça faisait bien six mois qu’on attendait que la team de Fragments dresse son chapiteau boulanger au milieu du désert gastronomique du Quartier Latin. Jusqu’à ce beau jour d’octobre où enfin le cirque s’est posé rue Galande ! Devanture à petits carreaux de bois, tellement stylée. Et derrière, c’est grand spectacle : lumière chaude, musique lounge, odeur qui te met direct l’eau à la bouche, vue plongeante sur le fournil… Ça va être showtime !  On se rue ici pour le déjà fameux cinnamon bun au levain (6 €) acclamé de toutes parts comme "le meilleur de Paris" —on confirme ! Moelleux, caramélisé, et blindé en pure cannelle (Épices Shira au sourcing) : une vraie dinguerie ! On l’accompagne comme il se doit d’un cappuccino (5 €) à base de grains de l’excellent torréfacteur Hexagone. On est à l’aise comme au village, là sur notre banc au milieu des sacs de farine et des cagettes de pommes, et on s’émerveille devant le show. Ici, ça dompte levain et farines bio de petits moulins pour créer un main bread (10 €/kg) rustique et plein de goût, le genre qui te marque pour longtemps. Et ça jongle avec les petits buns aux graines (2,50 €) garnis à la demande de beurre ou confiture maison, et avec les choco buns (4 €) ultra régressifs. Clou du spectacle : Circus vient de lever le rideau sur des Margherita et Marinara de folie (15 € chaque
Binici

Binici

5 out of 5 stars
Produit culte ? Les gâteaux roulés, le « grain latte » (à la larme de Job)Bien vu ? Le lieu apaisant et les prix doux pour le quartier C'est la petite pépite qu'on se refile sous le manteau, entre amoureux de la Corée. Rue Chapon, à quelques numéros du coffee shop Loustic, Kim Hyunbin nous transporte au bien nommé pays du Matin-Calme. Dans cette zone paisible du Marais où les spots cool remplacent peu à peu les grossistes, sa jolie devanture menthe à l'eau tranche avec les commerces alentour. Ultra-lumineux et spacieux, Binici est le paradis des amateurs de cafés et pâtisseries. Ça sent direct la planque pour papoter ou travailler, et surtout se régaler !  À côté des excellents kawas (2,50 €) du voisin Terres de Café et de classiques chocolats chauds (5 €), la carte des boissons s’envole vite vers l’Asie de l’Est : latte et choco chaud au matcha (5 €), thés à la prune (savoureux et très doux), prune ou gingembre (4,50 €), et surtout (alléluia) ce « grain latte » (4 €) à la larme de Job torréfiée (une céréale asiatique ultra-healthy), rarissime à Paris ! Niveau pâtisseries, du classique sauce coréenne : rollcakes (4,50 €), tiramisu (5 €), gâteau chocolat et brownie (3 €)… On tente deux roulés : earl grey et chocolat. Les génoises apportent juste ce qu’il faut de mâche, et les crèmes sont légères, peu sucrées et bien parfumées. C’est simple et efficace, et à prix doux pour le quartier. On trouve aussi d'adorables petites ganaches (3 € les 4 pièces) : savoureuses mais plutôt suc
La Chance

La Chance

5 out of 5 stars
Pour qui ? Les appétits végans mais pas que !Plat culte ? Le curry, les laits végétauxRemplacer la coupe au bol par un bon coup de bol végétal... Un projet d’avenir qu’il fallait oser. La Chance l’a fait ! Quelques mois à peine après Circus Bakery, l’équipe de Fragments vient de faire sortir de terre rue Custine un nouveau projet versatile et inspiré, fruit de sa rencontre avec le fleuriste Rosebud (situé place de l’Odéon). Squattant les murs de l'ancien salon Coiffure d’Art, un lieu génialement improbable, façon jungle urbaine. Première facette de ce pot-pourri tout sauf pourri : une offre courte de restauration végane à base de curry (10 €), bouillon (5 €) et expresso (2,50 €). Si courte qu’au moins, on a la chance de tout tester ! Le curry laisse éclore un beau bouquet de saveurs et de textures (merci les épices Shira) avec un bouillon extra, qui fournit la sève essentielle pour attaquer les lundis au soleil. Dans la tasse, c'est Hexagone qui sème le grain, pour un résultat toujours explosif. Preuve qu’on peut se faire plaisir et s’exciter les papilles tout en mangeant végan. La bande devrait même produire très bientôt des laits végétaux artisanaux (rares à Paris) et s'engage à fond pour la végétalisation urbaine, en incitant commerçants et riverains à fleurir leur espace public, dans les carrés, sur les trottoirs ou dans leur logement. Bravo !
Pico

Pico

4 out of 5 stars
Produit culte ? Trop tôt pour le dire, mais on adore leur tarte TatinBien vu ? L’étage pour être un peu plus au calme Quelle brillante idée que ce coffee shop, implanté dans un quartier ultra-fréquenté, mais plutôt pauvre niveau coolitude dans l'assiette : le Louvre. Le lieu est sobre mais le service, aux petits oignons, nous donne bien envie d’y traîner les pattes. Un simple coup d’œil à la carte suffit pour voir que le sourcing est de qualité : grains Hexagone Café, thés Lupicia et golden latte aux épices Shira (la Rolls en la matière). On commence par un basique : un double expresso (3 €) à base de Fazenda Passeio du Brésil, très bien extrait. Tout fait envie dans la vitrine des pâtisseries maison : gâteau moelleux aux oranges maltaises (5 €), carrot cake (5 €), scones crème confiture (5 €)… La Tatin (6 €), qui brille façon « tu peux te voir dedans », laisse augurer une belle régalade. Bingo ! Bien gourmande, servie avec un peu de crème, les pommes Elstar bien acidulées, la pâte brisée très craquante et caramélisée… Un petit plaisir régressif qui nous donne envie de repartir avec du rab : une part de tarte au citron (5 €) prise en loucedé au moment de passer à la caisse. Waouh, la bombe d’acidité ! Quant au dèj, le spot la joue simple et healthy avec des toasts kale/avocat ou des salades (11-12 €). 
The French Bastards

The French Bastards

3 out of 5 stars
Produits culte ? Le pain cranberries pecan, le cruffin, la tarte litchi hibiscusBien vu ? La petite table haute au fond pour consommer sur place Une inauguration en fanfare le mois dernier, abondamment instagramée par nos influenceurs chouchous… La voici, la nouvelle boulange hipster qui met le feu aux réseaux sociaux et qui promet de dépoussiérer le milieu ! Alors derrière l’esthétique brooklynienne et le nom WTF, cette boulange dans le vent dépoussière-t-elle vraiment ? Les recettes de pain (10-18 €/kg à la coupe) font plutôt dans le mainstream. On teste une tourte de seigle et le pain cranberries pécan. Des miches bien poussées en cuisson. Les notes caramélisées exhalent, mais adios les arômes plus subtils. Côté viennoiseries (1-3 €), les roulés (pistache-chocolat / cannelle de Nomie Épices), et le cruffin (hybride fashion entre le croissant et le muffin) au citron se la jouent foodporn, façon émoji flamme ! Alors déso, on veut pas faire les bâtards, mais les cuissons sont clairement à revoir. On se finit avec la tarte signature litchi hibiscus. Le fond de pâte au charbon végétal est bien craquant (et facilitera votre digestion), et les litchis sont frais et sympas. La main est un chouïa lourde sur le sucre, mais bon, l’honneur est sauf !  Bilan : la fougue de la jeunesse, mais encore un manque patent de régularité. Pas de quoi traverser la capitale, mais pourquoi pas pour un stop gourmand quand on passe par là, à base de casse-dalles bien sourcés (10 € en formule), ou d’u
Senoble Famille Gourmande

Senoble Famille Gourmande

2 out of 5 stars
Produit culte ? L’île flottante classiqueBien vu ? La musique, plus enlevée que les gâteaux Senoble, ça vous dit rien ? Mais si ! Y a encore pas si longtemps, c’était le comble du chic au rayon yaourt de l’Hyper ! Depuis deux ans, la famille a un peu lâché l’agroalimentaire pour ouvrir une pâtisserie-glacerie dans le quartier des Victoires (à deux pas de Little Tokyo). On avait déjà tâté le terrain à l’époque, avec leur Île flottante-signature (8 €), pas paradisiaque, mais prometteuse — disons suffisamment pour nous donner envie d’y retourner un jour. Alors cette fois, on est parti sur la formule Tea Time (18 €) : boisson chaude ou froide, une pâtisserie, des gâteaux de voyage. Une gorgée d’un banal Earl Grey (8 €) —on avait en fait commandé un thé vert aux fruits « Les Bonheurs de Sophie », mais passons…— et on attaque avec les fameux gâteaux de voyage (madeleine, financier, cake aux fruits confits). Les goûts sont là (encore heureux !), mais c’est sacrément mastoc… Un peu de moelleux, que diable ! L’entremet Impérial (7 €) ne rattrape pas vraiment le coup : confit de cassis de Bourgogne, certes agréable, mais bavaroise de marrons quasi inexistante, montage bâclé et textures décevantes. Et le cheesecake à la française (6,50 €), pris en supplément ? Biscuit spéculos plutôt ok, mais appareil au fromage blanc lourd et pâteux est à vous mettre K.O. ! On relit la description sur la carte : « léger et aérien ». LOL.  Côté positif, on retiendra que le lieu est propre, la musique d’